Oh, comme j'ai aimé ce
Wonder Woman #1, pas un numéro lu en 5 minutes et je n'ai pas vu le temps passer.
Tom King prend le temps de poser les fondations avant de faire intervenir l'héroïne puis de faire le lien avec
Wonder Woman #800.
L'auteur en profite pour critiquer la politique américaine, politique qui risque de connaître une recrudescence encore plus marquée l'année prochaine si le gros tas revient Il fait bien le distinguo entre une frange manipulée et la jeunesse encore "pure".
Pour le moment, assez 1er degré par rapport à certains travaux mais ça se lit très bien.
Daniel Sampere au top comme prévu.
Sinon, j'ai lu
Big Game #3 ce matin, dur de ne pas croire à Deus Ex pour certains personnages quand certains corps ne sont pas montrés, ça sent l'intervention magique (
).
Mark Millar utilise ses créations comme des kleenex car il peut se le permettre, c'est assez saisissant.
En plus, Pepe Larraz restitue une sacrée ambiance.
Envie d'en lire plus.