Greg Rucka chauffe le chaud et le froid chez Urban :
Il part sur un bon pitch avec
Loïs Lane : ennemie du peuple qui enquête sur les sales petits secrets de la Maison Blanche, prise entre sa loyauté envers son super-mari et en flashback, des souvenirs de son père et de sa loyauté à son devoir de soldat.
Malheureusement, Rucka se mélange les pinceaux avec des histoires de magie et de multivers, et tout le récit se casse la figure.
Dommage! Grosse déception, surtout que la partie graphique par Mike Perkins est vraiment bien!
Heureusement,
Lazarus - tome 8 relève le niveau avec un format totalement identique à ceux de Glénat, avec la même présentation, à part le logo!
La série reste solide aussi bien au scénario qu'au dessin par Michael Lark, autant pour l'action et le suspens autour de la guerre des familles qui entre dans une phase décisive, des révélations sur le passé de celles-ci, des fantômes qui s'apprêtent à surgir, que dans les sentiments complexes des personnages et de leurs attachements.
Toujours un régal!