Ca pue l'opportunisme commercial à deux balles.
DC nous balance plusieurs personnages qui deviennent d'un seul coup homo / bi, mais au final ça sonne creux, ils donnent juste l'impression de vouloir remplir des quotas.
Je regrette surtout que ce remplissage fasse un effet Barbara Streisand, et ne sert en rien à lutter contre l'homophobie.
Il y a une quinzaine d'années, on avait eu Green Lantern Vol 3 #154.
En terme d'écriture, c'était autre chose que les machins pondus ces dernières années avec Jon Kent ou Tim Drake (pour ne citer qu'eux).
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