Discussion: Critiques VO 2023
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Vieux 24/01/2023, 14h54
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Ben Wawe Ben Wawe est connecté maintenant
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Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2Ben Wawe a déjà vu 3 fois le film Avengers 2
Action Comics #1051
C'est bien. C'est très bien, même.
Parce que c'est bien fait, et parce que ça donne le sourire. Tous les auteurs livrent des prestations différentes, mais avec des personnages qui sourient, qui sont "bien", qui veulent aider. Ca donne la banane, et c'est cool !

Ca débute avec le segment principal. Phillip Kennedy Johnson lance les grandes manoeuvres avec la SupFamily et Metropolis. Superman décide de réunir et de faire vivre sa famille, avec Supergirl, Conner, Jon, Natasha & John Irons mais aussi Kenan Kong et les deux jumeaux de Warworld (Super-Twins). Tous ont de nouveaux costumes (avec de très bons designs). Superman les réunit pour impulser de nouvelles choses dans le monde, avec l'entreprise Steelcorps qui créé une nouvelle tour pour amener la technologie supérieure à Metropolis et à la planète. Lois & Clark adoptent les Super-Twins (ce qui trouble légèrement Jon, même s'il reste positif). L'annonce générale est faite, mais Metallo piloté par Lex attaque dans l'espoir que Luthor relâche sa soeur. Et ça va faire mal.
C'est top. Bon, l'aventure avec Metallo s'annonce classique, mais ce n'est pas ça que je retiens. J'adore l'idée d'une SupFamily vivante et active. J'adore les quelques interactions vues. J'adore voir Clark en figure paternelle mais douce parmi les siens. J'adore l'humour (le sous-entendu que Lois a demandé à Clark de garder le costume de gladiateur pour leurs moments intimes). J'adore la douceur générale qui se dégage de ça. J'adore aussi l'idée d'un transfert de technologie.
J'adore. Et c'est super joli, avec un Rafa Sandoval plus cadré, assez proche finalement de Daniel Sampere, et c'est top.

On continue avec Dan Jurgens et Lee Weeks qui évoquent un chapitre secret de la famille. Après l'épisode spécial sur Doomsday, et la création de Doombreaker, dans la jeunesse de Jon, les Kent sont retournés vivre un temps dans leur ferme où ils ont élevé Jon dans ses premières heures. Clark retrouve par habitude le costume noir, alors que Jon a conservé en secret l'éclat de Doomsday qui a créé Doombreaker. Surtout, Jon voit arriver un vaisseau venu des étoiles avec une étonnante une fille dedans !
C'est mignon et cool. Dan Jurgens gère bien ses personnages et sa situation, même si le délire Doombreaker ne m'a pas plu. C'est surtout extrêmement joli et réussi, avec un Lee Weeks formidable.

Enfin, Leah Williams poursuit son travail sur Power Girl. Karen a des pouvoirs psioniques depuis Lazarus Planet, elle se forme auprès d'Omen et toutes deux "ouvrent" une sorte d'agence de conseil et gestion psychique. Elles commencent par aider Nightwing et surtout Beast Boy, coincé sous forme de chien depuis la tentative d'assassinat par Deathstroke. PG vient "visiter" Garfield dans son esprit, et tente de délier les noeuds dans son être.
C'est sympa'. Un peu trop bavard, trop descriptif dans les dialogues, mais Leah Williams a une bonne idée et de bons personnages. C'est par contre très joli, avec une Marguerite Sauvage qui propose des planches oniriques, jolies, poétiques.

Un très, très bon début qui donne le sourire.

Justice Society of America #2
C'est bien, ça.
Geoff Johns s'amuse sur son intrigue temporelle, mais ne perd pas de temps. Sa Helena Wayne du futur se réveille en 1940, envoyée par sa mère pour échapper au mystérieux étranger, bien révélé être Per Degaton. Huntress, aussi observatrice que son père, se présente à la JSA, mais le scan de Dr Fate le trouble et le "projette" en 1941, où il erre dans Slaughter Swamp. Avec Salem The Witch Girl, sa sidekick, à aider Mr "Thaddeus Brown" Miracle qui veut arrêter Solomon Grundy (et son "épouse"), tout en évoquant la Justice Society Dark. Dr Fate revient en 1940, "voit" la menace future mais Helena est encore happée par le Temps et erre dans plusieurs époques... avant de revenir au présent, pour voir la JLD et Khalid "Dr Fate" Nassour.
C'est bien, oui. Geoff Johns ne perd pas de temps, confirme l'évidente identité du super-vilain, et s'amuse des errances temporelles ; cool. Sa Helena est plutôt intéressante, compétente sans être encore trop brillante. Les passages avec Selina (qui se sacrifie dans le futur [ou le futur passé ?]) sont bons, comme le petit lien avec la mini-série Stargirl: The Lost Children.
C'est bien. Ca n'avance pas tant que ça, quand même, mais c'est solide et fluide, avec une bonne approche générale. Mikel Janin assure, il est aidé par un bon Scott Kolins et un Jerry Ordway appliqué.

C'est bien et intriguant. Cool !

Lazarus Planet: Once We Were Gods #1
On poursuit la saga Lazarus Planet avec ici un numéro sur un côté un peu fourre-tout, autant sur la mythologie que les Atlantes et les extraterrestres.

On débute avec Huner Pains de Francis Manapul. Des humains perdus face aux événements découvrent un mystérieux étranger, nu, dans l'eau dans ce qui semble être l'Alaska. Ils le recueillent, il se réveille et les agresse, semblant vouloir dévorer... un chien. Aquaman arrive pour calmer le jeu, et révéler que le Lazarus Volcano a changé l'étranger et d'autres : ce sont

C'est pas mal. C'est surtout joli, car le scénario de Manapul est bien basique alors que son dessin est réussi. Sympa', sans plus.

On enchaîne avec Songs of Pain de Dan Watters et Max Dunbar. Martian Manhunter intervient à Metropolis car la pluie Lazarus a donné des pouvoirs de super-empathie à quelqu'un, qui est débordé par ça. Il "absorbe" la douleur des événements de Doomsday, a posteriori, et cela forme une créature psychique terrible. L'homme se sacrifie pour stopper ça, ce qui fait ensuite réfléchir J'Onn et Superman.
Mouais. L'idée est sympa', mais limitée, et l'exécution très faible. Ni bon, ni mauvais, juste anodin.

On poursuit avec Song of the Dead par Phillip Kennedy Johnson et Jack Herbert. Diana s'entraîne avec une nouvelle Amazone sur la plage de Themyscira, quand des morts-vivants attaquent : ce sont les troupes d'Herakles jadis tuées ici, qui reviennent attaquer. Diana lutte, les Amazones viennent aider et repoussent l'ennemi. Il s'avère que Doom's Doorway est rouvert à cause du Lazarus Volcano, et les âmes de tous ceux tués par les Amazones reviennent ; mais elles sont prêtes.
Sympa', mais aussi limité. L'idée que les "crimes" des Amazones viennent les hanter est sympathique, mais ça reste essentiellement une grosse bagarre facile. Herbert propose des planches efficaces, sans briller.

On achève avec The Price of Eternity de Josie Campbell et Caitlin Yarsky. Mary, nouvelle Shazam, vient après la fin de sa mini-série pour retrouver Black Adam, mais elle tombe sur "White Adam", son héritier vu dans la maxi-série actuelle. Elle le récupère pour aller dans le Rocher d'Eternité après une vision maléfique, et affronte des illusions car le Rocher est troublé par le Lazarus Volcano. Tous deux parviennent à libérer Billy, enfermé dedans. Billy retrouve sa famille, c'est cool ! Mais, ailleurs, le Sorcier semble avoir perdu l'esprit et veut s'en prendre à eux.
Simple mais efficace. On est sur de la préparation à la mini-série Revenge of the Gods, ça fait le job sans briller. C'est sobre, ça fait le job et le retour de Billy fait sourire.

Un one-shot bien moyen. Jamais vraiment mauvais, jamais bon, ça se lit mais ça s'oublie vite. Bof-bof.
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