Je valide également ce deuxième numéro. Plus dur, le BEHIND ENEMY LINES n'est pas qu'un sous titre. Kurt Busiek va également puiser dans des éléments, parfois furtif, mis en place dans la première LS (les différents territoires, les démons-esprits invoqués, le rôle des dragonnets).
Et Carlos Pacheco, qui travaillait dessus depuis 2019 (beaucoup de repérages, de recherches sur les costumes, affiches, architectures de l'époque) s'éclate, son trait étant particulièrement mis en valeur pas la colorisation de José Villarrubia. Fonteriz se fait discret sur l'encrage, respectant assez le trait de Pacheco, sans le dénaturer, juste ce qu'il faut. C'est différent de ce que faisait Merino sur la première LS mais cela donne à l'arrivée, un rendu différent pour une expérience différente.
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