Ça rappelle tous les projets "painted" des 90's (dont un paquet de Batman déjà), avec des artistes plus ou moins doués... à leur décharge, c'était pas du numérique donc même si c'était pas terrible, ça faisait plus "vrai" et on pouvait être indulgent.
Sinon ici on retrouve les forces et faiblesses de Sharp (et depuis toujours): le beau, voir très beau côtoie le moche outrancier de mauvais goût. Un vrai Son of the Biz.
So 90's je disais au début... Ça doit être pour ça que je l'aime bien