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Vieux 21/09/2018, 18h36
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DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Harley Quinn 50

Genre : crise dans la continuité



Harley se balade tranquillement avec sa mère quand l'ouverture d'un comic ressemblant étrangement à celui que nous sommes en train de lire provoque le chaos total dans la continuité des comics DC!
Harley doit découvrir ce qui se cache derrière le créateur de la BD et faire revenir sa mère sans tout casser avec l'aide d'une policière de la continuité, Jonni DC!

Un des meilleurs numéros de la série jusqu'ici! Visuellement somptueux, Ce numéro 50 est un bel hommage aux personnages de la firme dans des versions plus absurdes les unes que les autres (pirates, dinosaures...).
L'histoire racontée est simple mais enlevée et on passe un très bon moment devant ce numéro 50.

Scénario : 14/20
Dialogues :15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Fantastic four 2

Genre : Le vrai retour



Que sont devenus les Richards, leurs enfants et les jeunes membres de la Future foundation depuis le dernier numéro de Secret wars? Comme on l'a vu dans le numéro précédent, ils sont vivants (quelle surprise!) et ont passé les derniers mois à créer des planètes et des peuples entiers à l'aide des pouvoirs conjugués de Franklin Richards (alias Powerhouse) et Owen Reece (alias Molecule man) pour reconstruire ce qui avait disparu avant la planète de Doom.
Les enfants sont désormais des adolescents et tout va pour le mieux jusqu'à l'apparition d'une de ces ennemies surpuissantes que les FF ont l'habitude d'affronter et qui menace de destruction tout ce qu'ils ont créée récemment...

Un numéro bien plus FF que le précédent, nous montrant enfin ces personnages perdus de vue depuis longtemps et avec quel talent! La dessinatrice est bien plus convaincante sur ces planches aux couleurs somptueuses (merci à la colorisation de Marte Gracia, qui embellit énormément les dessins) et Waid nous plonge dans le bain après le numéro introductif précédent. Les choses sérieuses commencent et les FF se retrouvent dans de bien difficiles conditions, un régal pour le lecteur.
Si la suite est du même tonneau, ça va être un run mémorable!

Scénario : 16/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Defenders epic collection TPB 8 : the new Defenders

Genre : Les Defenders deviennent un équipe classique



Ce pavé de 500 pages regroupe les numéros 126 à 137 de defenders volume 1, rebaptisé New Defenders depuis le numéro 125. Il regroupe également les mini-séries "Iceberg" et "Beauty and the beast".
Il couvre une période inédite en France et fait de la "non équipe" une team classique approuvée par le gouvernement et possédant des pouvoirs légaux similaires à ceux des Vengeurs, tout en vivant des aventures plus ancrées dans le quotidien et la magie en général.
Namor, Hulk, le docteur Strange et le surfeur d'argent partis, l'équipe est composée des anciens encore présents (la gargouille, la valkyrie, le fauve), de Moondragon confiée par Odin à la valkyrie afin qu'elle apprenne l'humilité sur Terre et des deux anciens X men Angel et Iceberg, heureux de retrouver leur compagnon poilu après l'échec de l'équipe des Vengeurs.
Dans les numéros 126 à 130, écrits par DeMatteis, l'équipe affronte une nouvelle itération de l'empire secret, groupe ennemi de Captain America et regroupé autour d'un nouveau chef assez charismatique et très intéressant créée par DeMatteis dans les pages de Marvel team-up.
Avec l'aide de Nick Fury et du SHIELD, l'équipe fait ainsi ses premières armes contre des antagonistes réussis lors d'un arc très bien écrit et dessiné par Alan Kupperberg, Don Perlin et Sal Buscema avec Mike Zeck pour le numéro final de l'arc dans le 130.
L'équipe graphique est extrêmement cohérente et même l'habituellement décevant Don Perlin est mis en valeur par l'encrage efficace de Kim Demulder.
Cet arc est également l'occasion de changer la base d'opérations de l'équipe pour l'état du nouveau-Mexique avec Angel en généreux bailleur de fonds qui fait son Tony Stark.
Peter Gillis, nouveau scénariste de la série après le départ de DeMatteis, exploite tout d'abord un script de son prédecesseur dans le numéro 131 et lance l'étrange menace du Morse (plus tard un ennemi attitré de Deadpool) dans les pattes de Défenseurs également bien embêtés par l'aide que veut leur apporter le minable Frog-man, bouffon tiré des aventures de Spider-man.
Après ce numéro comique qui montre que l'équipe n'est pas aussi sérieuse que les vengeurs, par exemple, et bien plus "familiale", on enchaîne avec les 4 numéros de la mini-série Iceberg par DeMatteis et Kuperberg.
Il s'agit du joyau de ce volume, une aventure intime du héros qui rend visite à ses parents. Il fait la rencontre d'une belle jeune femme mystérieuse qui va lui faire vivre des aventures incroyables et très métaphysiques typiques du scénariste, excellemment bien mises en scène par un Kupperberg inspiré. Cette histoire intimiste et humaine est belle, simple et profonde à la fois.
On reprend le run habituel avec le numéro 132, toujours de Gillis au scénario et Kupperberg au dessin, dans lequel les Defenders affrontent un homme victime d'une mutation répugnante qui va les éloigner un temps de leur base avec le 133, dans lequel ils aident deux privés dans le Chinatown de San Francisco.
Et ensuite, hop! on enchaîne avec la mini-série Beauty and the beast d'Ann Nocenti (dont c'est la seule incursion dans les pages de ce volume) et Don Perlin aux dessins.
Elle est dédiée au fauve et à Dazzern récemment "outée" comme mutante et en recherche de travail et d'adulation après un passage à vide professionnel. Elle va trouver ce qu'elle cherche auprès d'un producteur très louche qui n'a pas peur des mutants et en emploie énormément mais pas franchement dans la branche qui intéresse Alison Dazzler. Le fauve va tout faire pour la mettre en garde et l'empêcher de gâcher sa vie, étant attiré par elle mais les deux héros se retrouvent vite au cœur d'une machination dans impliquant un certain Docteur Fatalis...
Cette mini-série, c'est du Ann Nocenti dans ce qu'elle a de plus mauvais, lourd, pénible à lire et indigeste, avec des réactions qui ne sentent pas franchement le réalisme par moments. L'implication de Fatalis est complètement gratuite en plus. C'est dommage car tout le discours sur la façon dont sont perçus les mutants est passionnante. Pour la partie graphique, c'est du Don Perlin de qualité, très aidé par l'encrage de Kim Demulder.
Retour au run de Gillis avec le 134, le meilleur numéro du volume pour ce qui concerne le run, qui voit un assassin doué, Manslaughter, lancé sur les traces des Defenders. Très bien écrit et dessiné, il est assez éprouvant car les personnages tombent comme des mouches de façon assez angoissante! Au contraire, le 135 est assez basique et confronte les personnages à un redneck incendiaire qui a le pouvoir de résister aux flammes. Les numéros 136 et 137 sont dédiés au meilleur personnage, de la bande, la gargouille, dont la nature démoniaque du corps le met à la merci d'un magicien afghan désireux d'employer son aide contre les soviétiques qui envahissent son pays. Ils sont bien menés et témoignent de la volonté de Gillis de ne laisser aucun personnage, fut il le plus mineur, sur le bas-côté, ses scripts ayant le don de donner un caractère humain et vivant aux héros et de rendre leurs interactions franchement passionnantes.

L'un dans l'autre, un des meilleurs volumes des Epic collection consacrés aux Defenders et celui qui dispose des plus beaux dessins. Le choix d'avoir crée une équipe à la composition stable mais constituée de seconds couteaux pour la plupart (dans la BD, les gens confondent Iceberg avec le Silver surfer!) est judicieux car on s'attache plus à des personnages susceptibles de mourir qu'à des super-héros prestigieux.
L'écriture de DeMatteis et Gillis, qui met l'accent sur l'Humain et ses doutes, est aussi une des grandes forces d'un volume passionnant malgré la faible portée des aventures de l'équipe, qui ne sauve pas le monde mais doit déjà parvenir à fonctionner comme un groupe.

Scénario : 16/20
Dialogues :17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20

Doctor Strange 5 (numérotation legacy 395)

Genre : Asgardian doc



Le doc forge de nouveaux outils magiques pour venir en aide à son allié et à ses ennemis qui menacent de détruire la Terre.

Encore un superbe numéro qui utilise parfaitement les superbes planches de Jesus Saiz. Le cliffhanger promet une suite intéressante après cette première séquence dans l'espace.

Scénario : 15/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Venom 6 (numérotation legacy 171)

Genre : Venom s'en va t'en guerre



S'équipant dans une armurerie, Venom part affronter son puissant ennemi avec son allié impromptu.

Un numéro de pure action qui vaut par ses planches sublimes et son utilisation parfaite des symbiotes.

Scénario : 14/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20

The amazing Spider-man annual 1 (numérotation legacy 43)

Genre : Les symbiotes aussi ont des sentiments!




Cet annual dépeint la période post secret wars (premier crossover du nom) et la cohabitation involontaire de Peter avec le symbiote anonyme qu'il pense être un simple costume et qui va devenir Venom un peu plus tard. Le scénariste raconte essentiellement le point de vue du symbiote qui découvre la Terre et décide d'utiliser le corps de Peter à son insu pendant qu'il dort pour lui faire plaisir en terrorisant la pègre. Comme il est muet à cette époque, ceux-ci commencent à se demander si il s'agit bien de leur Spidey habituel...

Une histoire simple qui a le mérite d'aborder la question de la symbiose avec Peter du point de vue du symbiote, qui se sent floué par la réaction finale de Peter qui décide de s'en séparer quand il découvre qu'il s'agit d'un être vivant. On a enfin un point de vue empathique avec la créature qui n'est plus juste un monstre inhumain shooté à l'adrénaline et aux endorphines, ce qui est appréciable.
L'ambiance des années 80 est bien retranscrite dans la narration et la relation avec Black cat. Les dessins, très bien mis en valeur par les couleurs et l'encrage, sont un vrai plus pour ce comic qui fait très bien son job mais n'apporte aucune révélation fracassante ou retcon.
Du bon boulot.

Scénario : 14/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20

Catégorie « Bon »

Journey into mystery : the birth of Krakoa 1

Genre : Faire-part de naissance



Krakoa est cette île vivante bien connue des lecteurs du célèbre Giant-size X-men 1 (1976) qui marquait l'arrivée des X-men nouvelle formule et internationaux (Cyclope, Wolverine, Colossus, Storm...).
Ce one-shot dédié à une aventure inédite de Nick Fury et ses howling commandos nous montre comment elle est arrivée à cette forme de conscience et surtout comment elle a échappé aux investigations et à la découverte avant 1976!
Dans un climat très "horreur", ce one-shot situé au printemps 1945 répond à nos questions tout en s'avérant au final aussi réussi que dispensable dans la continuité.
Les dessins oscillent entre le franchement flippant (les hommes de mousse) et l'à peu-près un peu décevant (les visages manquent de détails).
L'un dans l'autre, une lecture que j'ai apprécié en lecteur des X-men et de Nick Fury.

Scénario : 14/20
Dialogues :15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20

Captain America annual 1 (numérotation legacy ...inconnue car non indiquée sur la couverture!)

Genre : trop classique



Durant la Seconde Guerre mondiale, Captain America et Bucky sont envoyés aider des prisonniers politiques en Allemagne, qui luttent contre les Nazis.

Un annual agréable et assez réussi du point de vue de la cohérence graphique entre les nombreux dessinateurs et encreurs mais qui est d'un cliché achevé, du lu mille fois auparavant.

Scénario : 12/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 13/20

Catégorie « Sympa »

Edge of Spidergeddon 3


Genre : décevant




Dans un monde parallèle, Ben Parker vit avec une tante May hispanique dans un quartier de New York où cette population est majoritaire (ce qui nous vaut quelques dialogues non traduits en Espagnol). Il est devenu, en même temps que son jeune neveu de 13 ans Peter, le Spider-man de ce monde, un rôle qu'il ressent comme un poids contrairement à son neveu.

Le postulat de départ vendait du rêve mais l'exécution chaotique et difficilement compréhensible du simple point de vue de la mise en page et de la narration, gâche tout.
Le monde parallèle est peu exploité et les personnages ne sont pas l'objet d'une recherche de la part des arachnides qui ont combattu dans le conflit précédent, ce qui rend un peu inutile ce one shot. Heureusement que le scénariste mentionne le fait qu'ils seront dans le numéro 3 du crossover principal...
En bref, une déception.

Scénario : 12/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 12/20
Réponse avec citation