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Vieux 08/04/2018, 16h59
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-Généalogiste Sénile--Sentinelle du Temple-
 
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Je ne suis pas mort, non, non!

DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 40 et 41

Genre : On achève bien les pingouins



Ces deux épisode concluent l'arc narratif Angry bird de la nouvelle équipe. Harley tente de juguler l'invasion des super villains emmenés par le pingouin pour conquérir son Coney island favori et elle va être forcée de reconnaître que l'union fait la force et de s'appuyer sur ses alliés pour vaincre.

C'est amusant car je l'ai lu comme une métaphore de la situation de Tieri, le nouveau scénariste. Devait il envoyer paitre le supporting cast développé durant toutes ces années par Conner et Palmiotti pour voler de ses propres ailes et créer le sien ou le reprendre tel quel afin de se l'approprier? La décision est donc prise et Harley est tout sauf une anti-héroïne solitaire.
Cet arc était très plaisant et changeait de la satire sociale et du mélange de parodie et de tranche de vie habituel pour revenir à une histoire plus classique de l'univers de Batman (dont on se demande bien pourquoi il n'a pas agi en se rendant compte que la moitié des plus dangereux psychopathes de Gotham avait migré vers New York). En tout cas, Tieri réussit son examen de passage et constitue un digne héritier de l'équipe créative précédente.

Scénario : 14/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20


MARVEL

Catégorie « Excellent »

Thanos : the infinity siblings OGN

Genre : Lifting intégral de personnage



Thanos a un frère réserviste des vengeurs, Eros (nom de code Starfox), un personnage relativement amoral (ce qui a été brocardé dans les She Hulk de Slott) qui a toujours vécu dans son ombre et lui a servi de contrepoint relativement bienveillant à l'adresse du lecteur tout en étant toujours sous exploité.
Cet original graphic novel décide de lui redonner du lustre et d'en faire un anti-héros du genre de son frère, avec une histoire très compliquée (forcément elle implique Kang le tyran temporel!) qui sert de base d'opérations à Starfox pour comploter contre son frère et garantir sa sécurité future...voire plus?

Un OGN très convaincant, malgré une base scénaristique très simple (la planète présentée étant peu originale et un simple prétexte aux manigances des personnages) mais qui exploite avec talent les paradoxes temporels et autres plans à tiroirs qui s'entrechoquent. Thanos lui-même a ses propres plans mais est manipulé par un personnage très intéressant.
C'est aussi l'occasion pour Starlin de ressortir du placard un personnage malheureusement peu réussi, issu de sa courte série Thanos : redemption, qui commence déjà à dater.
En tout cas, le scénariste tient toujours la forme et je ne comprends pas ceux qui n'aiment pas ses histoires récentes en OGN. Il faut aller au delà du très décevant The infinity abyss. Il s'est repris depuis.
Le nouveau style de Davis est par contre un poil décevant même s'il reste toujours très bon. J'ai du mal avec son Thanos.

Scénario : 16/20
Dialogues :17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 17/20

Catégorie « Très bon »


Marvel two in one : the Thing and the human torch 5

Genre : La rédemption de Reed Richards



Toujours coincés dans un monde dans lequel Reed et Sue Richards sont les seuls fantastiques survivants et où les super-héros appartiennent tous au SHIELD et attendent le retour d'un Galactus plus dangereux que jamais, Ben et Johnny vont trouver le moyen de raviver la flamme de cette version parallèle de leur ami juste avant le grand final!

Avec l'annonce du retour de l'équipe des FF cet été, ce titre est condamné à court terme et c'est un peu dommage car le scénariste avait réussi à trouver le ton juste pour ces personnages.

Scénario : 16/20
Dialogues :17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

The despicable Deadpool 297

Genre : Lancement d'une chasse à l'homme



Après les évènements de l'arc précédent, Deadpool a des tendances suicidaires et décide de provoquer les super criminels de l'univers Marvel pour qu'ils le tuent, mettant même 20 millions de dollars en jeu pour rameuter ses amis mercenaires.

Ce très bon numéro lance le compte à rebours vers le numéro 300, qui sera le dernier de Gerry Duggan, qui aura tenu 5 ans dont une bonne partie avec son complice Brian Posehn.
On a hâte de voir ce qu'il nous réserve mais là, c'est du très bon, avec une bonne dose de méchants de seconde zone bien exploités comme Jack O'Lantern et les deux experts en échasses télescopiques favoris de Spidey et DD!

Scénario : 16/20
Dialogues :17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Ben Reilly : the scarlet spider 16 (Damnation)

Genre : Ben en mode bouffon



Contrairement à ce que montre la mensongère couverture, on ne voit pas Kaine dans ce numéro et les deux n'ont pas décidé de se lancer dans un remake de Streets of rage, ce qui est certes bien dommage.
On est toujours dans le crossover Damnation et Peter David envoie Ben contenir les civils démonisés avec sa toile, en profitant pour montrer d'étranges défaillances dans le spider sense de notre héros, faisant des blagues qui tombent juste et concluant son histoire par une étrange fin qui donne envie d'en savoir plus et est bien plus intéressante que les deux autres opus du crossover sortis ces dernières semaines (voir plus bas).
Perso, je le suis régalé à la lecture, regrettant seulement que Sliney redescende à son décevant niveau habituel...

Scénario : 16/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 16/20


The Punisher 223

Genre : Château inébranlable



Pupu a un plan génial pour empêcher le missile nucléaire lancé par le dictateur et un autre pour éliminer ses ennemis en armure...mais celui-ci a ses limites. Mais comme Frank est l'un des soldats les plus dangereux au monde, ça ne l'empêchera pas de terminer sa mission "un peu" en dehors des clous fixés par Fury Jr...et d'acquérir une renommée bien gênante pour les USA!

Un très bon numéro riche en action et dessiné et colorisé de main de maître, facilement le meilleur des numéros jusque là. La suite promet d'être juteuse, avec le retour au pays.

Scénario : 15/20
Dialogues :15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20


Catégorie « Bon »

RIEN

Catégorie « Sympa »

Doctor Strange : damnation 3

Genre : faux numéro...




Nos amis font face aux troupes spéciales de Mephisto, qui a mis les petits plats dans les grands. S'ensuivent d'interminables pages de baston assez moches dessinées par un Kudranski et colorisées par un Brown qu'on a connus plus inspirés.
En bref, je me suis furieusement ennuyé à la lecture de ce numéro et je n'ai pas du tout goûté les dessins fadasses et le scénario assez quelconque. Encore un numéro et c'est fini!

Scénario : 12/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 12/20

Johnny Blaze : Ghost rider 1

Genre : Un tir pour rien



Faisant suite au cliffhanger de Damnation 3, Johnny, le ghost rider originel de Marvel, se retrouve aux mains de Mephisto, celui qui lui a donné ses pouvoirs. Pour s'en sortir, il va devoir faire équipe avec des seconds couteaux décédés comme la rose (ancien ennemi de Spidey au coeur d'un de ses meilleurs arcs narratifs des années 80) et Man Elephant (ancien ennemi de She Hulk). Mais il a un malus de taille...

Un épisode one shot bien décevant, un peu bouche-trou et qui est même parfois laborieux et peu passionnant, malgré une partie graphique un poil plus sympa que celle de Damnation 3.
Sitôt lu, sitôt oublié, malgré la superbe couverture de Clayton Crain (ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu en train de dessiner un comic, tiens).

Scénario : 12/20
Dialogues :13/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 12/20


IDW

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Deviations TPB 2

Genre : What if mal fagotés



2ème tome dédié aux uchronies des franchises détenues par IDW, nous y retrouvons non par 5, comme précédemment, mais 4 histoires seulement.

La première prend comme point de divergence une histoire de Judge Dredd dans laquelle il a été mordu par un loup-garou et enfermé avant de trouver un remède à son mal. Dans cette version, le sérum ne peut lui être administré à temps et il demeure une créature sauvage. Mais la volonté de Dredd est indomptable et il apprend bien vite à contrôler ses pulsions bestiales.

Une histoire qui est la plus convaincante du volume car elle dispose d'une narration efficace et de dessins réussis et percutants de John MacCrea. Une bonne surpris et un What if réussi qu'on comprend sans avoir lu l'histoire d'origine.

En second, on a une étonnante histoire de...My little pony (mon petit poney!)dessinée avec un style cartoon et comique réussi.On remercie le cartouche introductif car je ne connais rien de cet univers. La divergence se situe apparemment au tout début de la série : la princesse du soleil (ou plutôt déesse?) des poneys décide de prendre sous son aile non pas l'élève la plus prometteuse, Twilight Sparkle, mais un fat imbu de lui même, le prince Blueblood, pour lui donner la meilleure tutrice du royaume, elle-même, et le sauver de ses défauts, le réformer.
Bien sûr, ce personnage indolent et incapable fait tout de travers et provoque catastrophe sur catastrophe, faisant apparemment grandement diverger les éléments du début de la série si j'ai bien compris.
Etrangement, c'est assez plaisant à suivre, grâce à un humour omniprésent et plutôt réussi. On baisse d'un cran après Dredd, mais ça reste très chouette, avec une fin sympa.

Bien moins convaincante, la troisième histoire se penche sur Star Trek premier contact. Comme l'explique l'introduction au lecteur inculte (moi), les vulcains n'ont pas rencontré les Terriens aux USA et la Terre a été ravagée par les Romuliens et est devenue une planète prison. Mais on est dans Star Trek et la résistance existe. La fédération renaitra elle de ses cendres?
Une histoire très classique et pas folichonne, assez ennuyeuse et malheureusement victime de ses dessins assez quelconques.

La dernière histoire du volume est la plus faible, comme elle l'était déjà dans le volume précédent. Elle est consacrée à X files, alias une série dont je ne connais rien à part le duo Scully/Mulder. Il s'agit d'ailleurs de la suite de cette histoire, dans laquelle c'est Fox et non sa soeur qui a été enlevée et qui semble faire partie d'un complot mené par l'homme à la cigarette (si j'ai bien tout pigé). Scully fait équipe avec Sam Mulder au sein du FBI et ça ne change pas grand chose, en tout cas pour moi. Il ne se passe pas des masses de trucs et c'est toujours aussi chiant.

Au final, un volume inférieur au précédent et un peu décevant mais les What if et elseworlds sont tellement rares de nos jours que c'est déjà appréciable.

Scénario : 14/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20

Dernière modification par Man-Thing ; 28/04/2018 à 14h01.
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