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Vieux 11/03/2018, 18h35
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-Généalogiste Sénile--Sentinelle du Temple-
 
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Non, le faucon a rien à voir avec les évènements de Damnation. En plus, c'est le moins bon des titres Marvel que je lis. Tu peux t'en passer!
Bon, sinon, je sais que j'ai un retard monstrueux. Désolé. Le côté hebdo parait loin désormais!


DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 38 et 39

Genre : Harley contre les sbires du pingouin



Harley traque, tout comme ses alliés séparés d'elle, les criminels gothamites lâchés par le Pingouin dans New York après son OPA contre les mafieux locaux : Mister Freeze tente de s'emparer de la plage de Coney Island tout comme Killer Croc mais il n'y a pas que les super méchants les plus connus dans le lot : on croisera l'étrange Condiment King, le Gorilla gang, Killer moth, Mister Zsasz, Hugo Strange...

Tieri continue de nous livrer un run vraiment bon et personnel, très différent de celui des auteurs précédents, bien qu'assez classique (pas de nouveaux perso, utilisation de criminels déjà existants...).
Reste que ces numéros sont un petit plaisir de lecture, notamment parce qu'ils exploitent très bien la personnalité de notre héroïne et de ses nombreux alliés.
Du bon, même si on regrette les nombreux dessinateurs et un manque de constance graphique entre les numéros.

Scénario : 14/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20


MARVEL

Catégorie « Excellent »

Punisher : the platoon 6

Genre : La première apparition de la malédiction du Punisher?



Les anciens alliés de Frank Castle continuent de raconter les jours durant lesquels ils ont côtoyé le futur Punisher, avant que celui-ci ne devienne un ranger et notamment leur bataille contre un escadron du Viet-minh mené par une femme éprise de vengeance dont Frank a tué la famille lors d'un bombardement via un bombardement qu'il a demandé...

Ennis termine son récit de façon absolument sublime, notamment la dernière page. Après nous avoir montré durant 6 numéros Castle comme un militaire exemplaire, bien loin du personnage que l'on connait, il laisse le dernier mot à un de ses alliés et celui-ci reste longtemps dans la mémoire du lecteur tant il est fort. Ennis prend en effet son lecteur à contrepied, allant à l'envers de ce que celui-ci attend au moins en partie pour se concentrer sur les combattants ce conflit désormais ancien et marqué pour les Américains par leur première défaite militaire notable du vingtième siècle. Et annonce de futures mini-séries sur la période vietnamienne du Punisher. On en salive d'avance.
Chapeau, monsieur Garth!

Scénario : 18/20
Dialogues :18/20
Dessins, encrage, couleur : 18/20
Note finale : 18/20


Catégorie « Très bon »

The despicable Deadpool 295

Genre : Juste avant la liberté, deux dilemmes moraux...



Deux des missions les plus moralement éprouvantes et répréhensibles pour le mercenaire intarissable dans ce numéro et pas des moindres. Ce sont les dernières stipulées par son contrat avec son employeur et il pourra revenir à un semblent de liberté ensuite : la première consiste à tuer Evan, un jeune X man qui n'est autre qu'un possible En Sabbah Nur (alias le génocidaire Apocalypse) dans un futur possible (l'ère d'Apocalypse, qu'il faudra que je lise un jour quand même).
La seconde consiste à tuer une anonyme, ce que Deadpool fera selon une manière qui rappelle qui rappelle l'un de ceux de V dans V pour vendetta.

Deux histoires superbement mises en scène dans lesquelles on voit Deadpool se débattre avec son nouveau statut de tueur à gages et le rejet dont il fait l'objet de ses anciens alliés, montrant avec talent qu'il est loin d'être revenu à ses premières apparitions de garde du corps de Tolliver (remember the nineties!).
On a hâte de voir ce que les auteurs nous réservent dans le numéro suivant : rien moins qu'un duel contre Captain America, bien décidé à l'emprisonner pour ses crimes!

Scénario : 16/20
Dialogues :17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Captain America 699

Genre : Cap, le contraire d'un faiseur de rois!



Cap mène la lutte contre les arrivistes qui ont pris le contrôle des USA dans le futur et doit appréhender leurs champions, les seuls super-héros ayant survécu à la détonation de bombes atomiques sur le territoire (cf cover).

Un numéro très rapide, qui voit le pouvoir en place renversé au terme d'une révolution de ce seul opus 699!
J'aurais apprécié que cela tienne sur au moins deux pour plus de réalisme, car là, le gouvernement s'écroule comme un château de cartes.
Son boss apparait ici encore plus nettement que dans le 698 comme une caricature de Donald Trump même pas vaguement masquée. Sympa, mais facile.
J'ai tout de même adoré la mise en pages fabuleuse de Chris Samnee, dont a appris récemment avec une énorme déception le départ de Marvel après le numéro 700 et après seulement 6 petits numéros!
Le scénariste Mark Waid lui-même part au début de l'été, remplacé dès le 4 juillet (symbole!)
Enfin, bon, encore au moins un numéro anniversaire qui devrait être épique en vue.

Scénario : 15/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 18/20
Note finale : 16/20

Doctor Strange 386

Genre : Le doc est à bout de nerfs



Ce numéro reprend les évènements de Damnation 1 (voir ci-dessous) vus du point de vue et des pensées de Doctor Strange, particulièrement éprouvé par les évènements du relaunch depuis Aaron et sous Cates.
Il bénéficie de très bons dialogues intimistes et assez drôles de Cates, plus limité dans ses marges d'écriture dans les numéros du crossover (trop de choses à mettre en scène).

On apprécie la présence du nouveau compagnon à poils du docteur, très spirituel, et les superbes dessins d'Henrichon, toujours aussi adaptés à l'univers magique du Doc.
Le 387 racontera pourquoi on en est arrivés au cliffhanger de Damnation 2.

Scénario : 15/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20


Doctor Strange : Damnation 1 et 2

Genre : Le doc à Las Vegas



Suite aux évènements de Secret empire, qui ont vu la destruction totale de Las Vegas, mais aussi suite à son regain de pouvoirs récent suite à sa bataille contre Loki, Strange décide de faire une bonne action en faisant revenir la ville du vice de ses cendres, sans faire attention aux conséquences. Et celles-ci sont simples : un immense casino très bizarre et sentant le souffre apparait au cœur de la ville
Las, une bonne partie de ses habitants étaient aux mains de Mephisto et de ses enfers suite à leur mort et celui-ci est lésé. En effet, suite aux nouveaux principes régissant la magie édictés par Aaron durant son récent run sur Doctor Strange, tout sort a pour prix de son effet un sacrifice consenti par son lanceur ou ceux qui travaillent avec lui.
Strange doit donc consentir à un jeu à quitte ou double contre le diable, dont l'enjeu est rien moins que le sort de la ville et des vengeurs qui l'ont accompagné durant la cérémonie.
Piégé, il ne pourra compter que sur son ami Wong, avec qui il est fâché depuis le run d'Aaron (en même temps, ils passent leur temps à se brouiller et se rabibocher depuis les années 90, ces deux-là) et une alliance de héros plus ou moins liés au pan occulte de l'univers Marvel : Elisa Bloodstone, la chasseuse de monstres, Blade, le chasseur de vampires, Iron fist, l'artiste martial au poing mystique, Man-thing, redevenu muet, Doctor Voodoo, le mage qui a été brièvement le sorcier suprême et vengeur à plein temps, le cinglé justicier urbain Moon Knight et le Ghost rider originel, Johnny Blaze...Auxquels s'adjoindra dès le numéro 2 Scarlet Spider, le clone de Spidey qui réside à Las vegas depuis peu.

Un crossover joliment réalisé avec un Mephisto qui fait énormément penser au Joker de Batman par moments. Rien que du très classique mais il a le mérite de nous faire connaître la façon dont Las Vegas s'est relevée de ses cendres et de redonner de l'importance à Doctor Strange au sein d el'univers Marvel. En effet, il a été un peu mis de côté ces dernières années alors qu'il est membre fondateur des Defenders et appartint aux vengeurs pendant les années Bendis.
Son côté baroudeur de mauvais poil qu'il arbore depuis le run d'Aaron lui va plutôt bien même si il semble un peu trop sûr de lui depuis quelques numéros.

Scénario : 15/20
Dialogues :15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20
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