Et c'est une série très agréable, avec une vraie fraîcheur.
Bon, les adversaires de Kate jusque-là ne sont pas renversants, mais il semble que depuis le #7, une intrigue plus étoffée et personnelle se développe.
Par ailleurs, le turn-over entre Romero et Michael Walsh est excellent : ils ont des styles similaires, ce qui conserve à la série une unité graphique. Romero est au-dessus de son partenaire (plus d'originalité dans le découpage, un trait maîtrisé avec un bel encrage, et auquel la colo rend grâce), très élégant.
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