P. Xavier Fournier vient publiquement ici me traiter de débile mental, heureux de l'arrêt d'un mag auquel je reproche depuis toujours d'être trop cher, et dont je ne me plains pas qu'il ait publié mon unique courrier mais qu'il l'ait compris de travers.
Je ne me me suis pas réjoui de la fin de CB. Par contre, je constate que critiquer CB revient à passer pour un aigri obsédé... Ce qui est assez savoureux de la part d'un journaliste me prévenant (et avertissant ses confrères) que je serai le lecteur chiant à censurer.
Paradoxe brillant par sa nullité que d'avoir si souvent prié que ses lecteurs écrivent à CB pour ensuite venir le leur reprocher quand l'aventure est terminée parce que l'un d'eux a le toupet de ne pas avoir toujours été comblé par votre production.
Sachez enfin, cher M. Fournier, que j' ai quand même apprécié votre magazine pendant une 50taine de numéros sans vous harceler, en payant honnêtement : ça me semble mériter un respect que votre commentaire ne tient pas.
J' ai peut-être le dépit facile et sévère, mais vous avez pour le coup la rancune insultante et tenace, ce qui, tout compte fait, me convainc que de nous deux, je ne suis sans doute pas le moins élégant.
Ce qui ne m'empêche pas, malgré tout, ni de souhaiter un rebond d'un mag - vraiment - consacré à toute la BD américaine, d'y contribuer, et de continuer à vous lire sur FB.
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