DC
Catégorie « Excellent »
RIEN
Catégorie « Très bon »
RIEN
Catégorie « Bon »
Harley Quinn 14
Genre : Problèmes de nuisibles
Avec une menace qui constituera très certainement le gros de ce nouvel arc en toile de fond, Harley affronte l’arrivée d’hommes insectes venus du trou qu’elle a fait creuser dans les sous-sols de son immeuble. Ceux-ci sont bien décidés à faire revenir leur dieu parmi les vivants et celui-ci possède des pouvoirs qui vont bien au-delà du savoir-faire de la belle clown…
Nouvel arc qui démarre bien, notamment si la réflexion de fond sur les SDF qui se profile est effectivement exploitée. Le côté un peu nawak de la situation (des ET qui sortent de terre et ressuscitent une sorte de Superman) est quant à lui amusant et bien écrit, avec même une petite réflexion gentille sur Trump.
Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20
MARVEL
Catégorie « Excellent »
Steve Rogers : Captain America 11
Genre : Le premier ministre de l’empire secret
Suite du flashback retcon qui a mené à la situation actuelle et suite des évènements qui vont nous amener au futur crossover Secret empire cet été, avec le retour inattendu d’une tête connue.
Encore un numéro de haute volée dont il est difficile de parler du contenu sans spoiler tout l’intérêt.
Notons juste que Rogers à mon avis commet sa première erreur et que celle-ci sera sûrement lourde de conséquences. Le flashback est lui aussi un régal de lecture et permet d’admirer les trésors d’habiles manipulations scénaristiques que Spencer emploie afin d’éviter de « salir » son héros titre.
En somme, toujours un régal. Il est loin le temps des piteux numéros de Remender !
Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 17/20
Catégorie « Très bon »
Sam Wilson : Captain America 19
Genre : Un procès tristement ordinaire
Rage, qui souhaite montrer à l’Amérique toute entière comment se passe le procès d’un noir injustement accusé quand il n’est pas un super-héros, a décidé de ne pas bénéficier de l’aide des vengeurs et de se faire défendre pas l’avocat commis d’office.
Spencer en profite pour livrer la réalité d’un procès sans le grandiloquent hollywoodien, expédié le plus vite possible même s’il est effectivement mené dans les règles par un juge qui ne croit qu’aux vertus de la répression et refuse les preuves vidéo.
C’est logiquement le début d’évènements violents qui font écho actuellement en France…
Comme d’habitude avec le scénariste, une habile réflexion sur la société américaine et un run qui fait honneur à Captain America, avec un Sam Wilson très bien employé.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20
Doctor Strange 17
Genre : Le retour de la magie
Le docteur assiste à la renaissance progressive de la magie après le passage de l’empirikul et reçoit la visite de Man-thing, tandis que l’étrange Mister Misery met son plan en application.
Avec de très beaux dessins au style très eighties de Frazer Irving, ce numéro qui initie vraiment le prochain affrontement du docteur est une sorte d’introduction très bien fichue.
Le style du dessinateur, très éthéré, convient parfaitement pour décrire l’ambiance magique des lieux étranges visités dans ce numéro et ses monstres sont vraiment impressionnants et très organiques (magnifiques Man-thing et Misery).
Encore un très bon numéro d’une série qui ne déçoit pas.
Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20
RIEN
Catégorie « Bon »
Deadpool 27
Genre : Trudeau et Trump
Deadpool file un coup de main à Steve Rogers pour appréhender trois surhommes habillés aux couleurs du Stars and stripes et qui demandent à parler à la légende vivante.
Ravi de filer un coup de main à Cap, Deadpool ne s’aperçoit pas du tout de ce qui se joue en coulisses mais un détail met la puce à l’oreille de Coulson, véritable protagoniste de ce numéro.
Un Fill in très agréable qui permet d’intégrer un peu plus Deadpool dans les évènements qui vont secouer le monde Marvel cet été.
La fin est surprenante et constitue vraisemblablement la deuxième erreur de Rogers après un parcours sans-fautes.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20
The Punisher 9
Genre : Course-poursuite
Pupu enterre sa logeuse et part à la recherché de son meurtrier tandis que l’agent de la DEA qui est à sa poursuite est prisonnière de The face, de plus en plus psychotique à cause de la drogue qu’il a consommé.
Ça ne peut que mal finir.
Le titre pâtit vraiment de son rythme narratif un peu trop lent ces derniers numéros mais surtout de la mort de Steve Dillon, qui y’apportait une plus-value certaine.
Le nouveau dessinateur est très limité et c’est bien dommage pour nous.
Vivement qu’un nouveau type avec plus d’envergure reprenne le flambeau.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 13/20
