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Vieux 27/05/2016, 18h35
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-Généalogiste Sénile--Sentinelle du Temple-
 
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DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Secret six 14

Genre : Fin d’un run un peu décevant

Strix est toujours prisonnière contre son gré mais sa « famille » vient la délivrer !

Cet épisode conclut la version new 52 de cette incarnation de Secret six.
Il est certes assez facile mais bénéficie de très bons dialogues, de dessins de qualité et de quelques surprises intéressantes concernant la ventriloque.

Un final assez optimiste qui change et laisser une bonne impression finale.
Bien sûr, la comparaison avec l’excellent run pré New 52 est très défavorable à l’actuel run finissant, d’autant plus que l’intrigue des grands anciens n’est pas résolue (il en reste un dans la nature !)
Le titre ne reprendra pas après DC rebirth.

Ah oui: la couverture ment!

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Batgirl 52

Genre : Bonne surprise

L’organisation Gladius (déjà aperçue dans le numéro précédent et dans le dernier annual en date, qui ne m’ont pas laissé une forte impression, pour le moins) a pris en otage les étudiants de la Gotham academy.
Balgirl et son équipe les délivrent mais la cinglée de chef de l’organisation a pris d’autres otages ailleurs…

Le début du numéro est assez cliché et se lit d’un œil mais la fin, qui voit le départ de Batgirl de Gotham au cours d’une fête qui revient de manière intelligente sur les personnages amicaux de ce run New 52 laisse une bonne impression au lecteur, d’autant que les dessins de Tarr sont enfin de retour et que certaines planches sont superbes.

Ce numéro boucle donc la carrière de la Batgirl 52 avant un nouveau départ post DC rebirth.
Batgirl aura un titre solo et un titre de groupe mais je ne serai plus de la partie.

...Allez, je râle une dernière fois : la première partie des 52 numéros de cette Batgirl New 52, ceux par Gail Simone, sont deux fois meilleurs que les suivants, du 35 au 52, un pétard mouillé selon moi.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »


Steve Rogers : Captain America 1

Genre : Heil Hydra !

Steve Rogers est de retour et en pleine possession de ses moyens depuis un mystérieux évènement lié, semble-il, à un cube cosmique, durant les évènements du crossover Assault on Pleasant hill.

Armé d’un lourd écu aux fonctions étranges et intéressantes (séparable en deux parties et capable de générer un laser qui peut percer un blindage, par exemple), il affronte les hordes de l’Hydra.
Celles-ci sont désormais sous la coupe du clone du Red Skull qui a récupéré les pouvoirs de Charles Xavier à l’isue du crossover Avengers vs X men et est partiellement derrière les évènements du piteux crossover Axis.
Directement crée durant la Seconde guerre Mondiale dans l’hypothèse d’une chute probable du nazisme, ce clone a été activé à la mort du vrai Red Skull (durant Captain America Reborn) et a décidé d’utiliser les mécontents et les rejetés de la société pour refonder une hydra plus discrète et infiltrant toutes les strates de la société (sur le modèle du film Captain America II : le soldat de l’hiver).
Il tient donc des conférences improvisées dans des bars auprès de groupes de néo-nazis et laisse le bouche à oreilles faire le reste, sur le modèle d’un certain Adolf…En effet, il considère que des gens convaincus par sa démarche et ses idées seront plus efficaces que des pantins manipulés par son pouvoir mental.
J’ai d’ailleurs particulièrement apprécié l’utilisation que le criminel fait de la situation actuelle des migrants en Europe et le parallèle qu’il fait avec la situation de la frontière entre le Mexique et les USA.
Une fois de plus, le scénariste utilise avec talent les évènements du monde réel pour apporter de l’eau à son moulin. En voilà un qui a tout compris à la façon d’écrire un titre Captain America !

Nous faisons également connaissance dans ce numéro d’un jeune homme anonyme qui a rejoint l’Hydra suite à une enfance chaotique et à de mauvais choix et dont la route va croiser celle d’un Steve Rogers en opération contre-terroriste.
Spencer en profite pour dresser un parallèle entre la vie des trois personnages, leur vie, leur pensée et ce qui les a conduit à agir comme ils le font, retconnant partiellement les origines de Cap, dont la mère a donc été sauvée par une anonyme et courageuse rupine quand il était enfant, qui lui a en partie servi de modèle.

Et là vient le cliffhanger qui a valu à Spencer des menaces de mort sur Twitter…


Un numéro riche et dense qui fait aussi la part belle aux personnages secondaires (Rick Jones à nouveau partenaire de Cap, le retour de Jack Flag et Free Spirit, Sharon Carter qui s’oppose à Maria Hill…) et qui promet un postulat passionnant qui va bien différencier les deux Captain America, Steve Rogers, que je surnomme Cap et Sam Wilson, alias Falcap)
Et un dessinateur en très bonne forme !

...Oui, je sais, le costume est moche.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Doctor Strange 8

Genre : Oh oh…

Le doc et ses alliés mages désormais sans pouvoirs en sont réduits à grappiller les quelques reliques qui ont échappé à l’empirikul pour tenter de renverser la vapeur.
Sa bibliothécaire essaie de préserver le dernier tome magique non détruit tandis que les actes des thaumaturgeo-luddites (Gesundheit !) nous font nous rappeler que la maison du doc est aussi une barrière contre certaines menaces magiques oubliées…

Rien à redire. C’est toujours aussi beau, bon, original et bien raconté. Du Doctor Strange de haute volée, peut-être toujours un poil trop décompressé.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20



Carnage 8

Genre : ça continue de plus belle

A Jakarta, Carnage a besoin d’un autel pour canaliser et pérenniser ses nouveaux pouvoirs, tuant tous ceux capables de lui nuire. A son insu, il est toujours traqué par l’étrange équipe constituée entre autres de John Jameson et d’une de ses connaissances, rejoints par de nouveaux alliés qui semblent en connaitre long sur le symbiote…

La série continue à rénover un personnage qui n’a pas toujours été gâté et à le rendre de plus en plus menaçant.
Les dessins de ce numéro lui font particulièrement honneur.

Scénario : 16/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



Deadpool 12

Genre : Jalons prometteurs

Retour en 2099. La nouvelle Deadpool tente de sauver celui de 2016, désormais sénile en plus d’être fou, des griffes d’un mystérieux assaillant qui a visité sa « Poolcave » (il a même un dollar géant comme un certain détective…), un certain...Zenpool (remember Axis)

Aussi bon que le numéro introductif de l’arc qui se déroulait en 2099 et aussi déroutant, annonçant des choses intéressantes pour les numéros suivants.

Scénario : 16/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

RIEN

Catégorie "Sympa"

Weirdworld 6

Genre : Enfin la fin!

Eh ben, il était temps que ça finisse, vu l’avalanche de clichés et l’absence d’émotion qu’on ressent à la lecture de ce numéro de conclusion.
La fée Morgane tente de convaincre une des héroïnes de l’aider à rejoindre la Terre et est prête à lui raconter n’importe quoi pour ce faire, abusant de sa détresse.
Un sacrifice et quelques phrases sans imagination plus tard, ce volume 3 de Weirdworld sent bon la série arrêtée prématurément et surtout le ratage.

Un foutu gâchis que cette mini. Si vous tombez sur les épisodes de Secret wars Weirdworld, par contre, foncez!

Scénario : 12/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 12/20



IDW

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »


RIEN

Catégorie « Bon »

Street fighter x GI Joe 4

Genre : Demi-finales ennuyeuses

Ça pouvait pas être fendard tout le temps ! Dans ce numéro nous assistons aux matchs de demi-finale et ceux-ci, bien que très bien découpés du point de vue de la fluidité des combats, sont inintéressants au possible, réutilisant même de façon feignasse un mécanisme de scénario pourtant très bien exploité dans le numéro précédent.

Je crois qu’il reste encore deux numéros. Espérons que la série parviendra à nous faire oublier ce qu’on espère être l’unique déception jusqu’ici.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20


Dernière modification par Man-Thing ; 28/05/2016 à 13h13.
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