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Vieux 23/05/2016, 19h33
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Il revient et il n'est pas cont...Ouais, bon, il est fidèle à lui même, quoi.

Deux semaines de retard (ou trois, je sais plus?) mais voilà une bonne grosse dose de lectures VO diverses!


DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Harley Quinn 28

Genre : Très bonne fin d’un des meilleurs arcs de la série

Harley affronte le pastiche de Deadpool qui l’a kidnappée afin de la convaincre de l’épouser. Son cadeau de noces leur vaut d’être assiégés par le nouveau chef de la police de New York.

Voilà un beau numéro de conclusion d’arc, avec une fin bien fichue et ouverte pour une des histoires les plus convaincantes impliquant la belle Harley.
On apprend plein de choses sur elle et son moi profond tout en profitant d’une bonne qualité d’écriture.

Il nous reste encore 2 numéros avant le reboot. Continuons à profiter de cette très bonne version new 52 d’Harley Quinn !

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Catégorie « Bon »

RIEN

Catégorie « Sympa »

Gotham academy 18

Genre : La fin avant le renouveau

Fin du yearbook qui revient cette fois sur les profs disparus mystérieusement (ou non) de la Gotham academy.

3 histoires inégales et sympathiques bouclent cette série qui aura été un peu décevante au final.
A venir, un numéro one shot et un reboot plus un crossover avec le titre Lumberjanes, mais je ne serai plus là pour lire ça. Je regretterai quand même Maps.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 12/20


MARVEL

Catégorie « Excellent »

Silver surfer 4

Genre : Changement de statu quo

Le surfer se remet de son combat titanesque contre les héros de la Terre et les envahisseurs voleurs de culture, mais les conséquences de ses actes ne peuvent rester impunis et le chef des E.T se venge d’une bien perfide manière…

Encore un numéro de très haute volée de ce qui s’annonce comme un des runs les plus mémorables du personnage, original, riche en surprises bien menées (Alicia Masters dans les épisodes 3 et 4) et en bonnes idées.

Le cliffhanger annonce ce qui ressemble à une ère déjà vue du personnage mais peut être intéressante si elle est bien amenée.
A noter que ce numéro m’a pas mal pris à la gorge car il est assez émouvant, en plus de ses références à Kirby et Lee.

Scénario : 17/20
Dialogues : 18/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20

Catégorie « Très bon »

The punisher 1

Genre : Il revient ! Alb…Punisher !

C’est le grand retour de Frank dans l’univers Marvel post Secret wars !
Pupu tombe sur les membres d’un réseau de trafiquants de drogue écoulant un produit qui désinhibe et rend colossalement forts les utilisateurs.
Problème : l’opération est régie en local par une de ses connaissances du Viet-nam et il interrompt par ses actions une intervention montée de longue haleine par la DEA, l’agence fédérale de lutte contre les stups.
Sans compter le psychopathe de numéro 2 du réseau, qui semble bien décidé à lui découper le visage…

La scénariste de Gotham academy fait pour l’instant des étincelles avec ce premier numéro qui exploite très bien le trait réaliste de Dillon, grand habitué du personnage.
Un numéro 1 parfaitement bien dosé dont on attend la suite avec impatience

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Sam Wilson : Captain America 9

Genre : Prémices de la guerre civile

Dans la foulée des évènements d’assault on pleasant hill, le debriefing des évènements entre les héros et la directrice Maria Hill menace de dégénérer quand celle-ci leur demande de cacher la vérité au public sur cette prison du SHIELD qui violait les droits de l’Homme des criminels en les dépossédant de leur personnalité et en réécrivant partiellement la réalité.

Sam Wilson est en effet partisan de tout révéler pour qu’elle paye ses crimes, quitte à égratigner l’image des super-héros. Mais Steve Rogers lui propose une troisième voie tout en adoubant en public ce Captain America très décrié dans l’opinion.
Malgré un dessin pas forcément folichon, ce numéro est très marquant car il laisse entrevoir une des lignes d’opposition possibles entre les deux camps du futur crossover Secret wars.
Spencer est le choix idéal pour les dialogues qui poursuivent cette impression que nous avons un run marquant en face de nous et bien plus convaincant que celui de Remender.
Perso, je me régale.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20

Steve Rogers : Captain America /Spider man FCBD

Genre : Le retour de Cap (et les ennuis de Spidey qui recommencent)

Ce numéro gratuit du FCBD propose deux histoires : la première est consacrée au grand retour de Steve Rogers comme Captain America (oui, il y’en aura deux désormais, comme pour les Spidey).
On le voit dans son nouveau costume avec un écu inspiré de son tout premier bouclier de Captain America comics 1 de 1941, arme dont une partie est détachable comme on le voit à la lecture de ce numéro.
Le clone du Red skull qui a récupéré les pouvoirs mentaux de Charles Xavier après les évènements d’Avengers vs X men et qui était en partie derrière les évènements de cette bouillie infâme d’Axis a décidé de refonder l’Hydra en recrutant chez les néo nazis et l’ultra droite (comme on dit aujourd’hui) la base de sa nouvelle armée et en piochant parmi les plus jeunes, les plus crétins et les plus insatisfaits de la société américaine qui sont prêts à tout pour avoir un idéal, quel qu’il soit (ce qui me rappelle une certaine situation en France).

Cap témoigne de la situation devant le congrès et donne sa version d’une opération du SHIELD qui y’est liée et qui a fait des victimes.
Il s’agit du préambule à la future nouvelle série dédié à Steve Rogers.

Dans la deuxième histoire, Spidey rencontre de manière directe ou non des gens qui sont censés être morts, dont la femme du rhino et celle du caïd du crime.
Un mystérieux personnage masqué comme un certain dieu égyptien ne semble pas étranger à ces phénomènes.
Il s’agit du préambule du futur crossover de Spider-man.

Avec ce numéro qui fait un peu penser aux enjeux du film Civil war (le sénat veut zéro mort et le risque zéro lors des opérations du SHIELD), cette introduction à la nouvelle série de Cap démarre sur les chapeaux de roue avec de superbes dialogues ciselés, une très bonne utilisation de l’actualité qui fait écho aux évènements actuels du proche-orient à travers le prisme du nazisme et un Captain America revenu à son statut de super-héros étalon du Bien (si on excepte une séquence mystérieuse d’interrogation d’un membre d’Hydra).

L’histoire de Spider-man est également intrigante mais m’a moins passionné.


Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20


The totally awesome Hulk 5

Genre : numéro de transition

L’enchanteresse jette son dévolu sur Amadeus Cho pour devenir son champion contre Thor, jouant sur ses certitudes et son narcissisme pour le manipuler.

Un numéro réussi pour une première rencontre mouvementée entre l’ennemie de Thor et le nouveau Hulk, avec un Choi très convaincant qui prend la suite de Frank Cho aux dessins pour un ou deux numéros.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

Deadpool last days of magic 1

Genre : Enterrement du run Marvel now

Face à la menace de l’empirikul, qui draine la magie de la Terre (cf les dix premiers numéros actuels de Doctor Strange), Deadpool recrute l’aide de son copain mage du SHIELD, du fantôme de Benjamin Franklin et de Doctor Voodoo pour sauver l’empire de sa femme, attaqué de toutes parts !

Un numéro stand alone qui permet de revoir une bonne partie du très bon casting pré Secret wars et de les faire sortir dignement de l’intrigue. Le cliffhanger est tout à fait dans le ton tragi-comique auquel nous ont habitués Duggan et Posehn sur le personnage.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

Civil war II 0

Genre : Prélude au crossover de l’été

Forcément, avec un film du nom de Civil war au cinéma, l’occasion était trop belle pour le traditionnel crossover de l’été !
Ce numéro n’est qu’un préambule au crossover qui va nous occuper un temps.
On y voit plusieurs personnages qui se posent bien des questions :

She Hulk rate sa plaidoirie en faveur du pitre, ennemi mineur de Daredevil en arguant que n’importe qui peut changer et qu’il ne faut pas emprisonner les gens dans leur passé, War machine es convoqué par Obama qui lui fait une offre qu’il ne peut pas refuser, un nouvel inhumain nait, qui va bouleverser le statu quo et Captain Marvel se pose bien des questions sur la sécurité du citoyen lambda et la façon d’éviter morts et dégâts matériels et moraux.
Ce numéro est très réussi (au contraire du pitoyable FCBD du même nom, cf ci-dessous) car il ne fait que lancer des pistes, des jalons.
Bendis nous met au plus près du côté humain et fragile des super-héros en nous faisant part de leurs doutes, base de leur futur engagement dans cette nouvelle guerre civile.

Un premier numéro qui fait plaisir.


Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20


Howard the duck 7

Genre : Jurassic Duck

Howard et quelques amis super-héros partent en terre sauvage à la recherche de riches américains étant devenus les victimes d’un parc d’attractions qui en rappelle un autre.

Un numéro avec un ton assez Formerly known as the JLA plutôt réussi dans lequel les super-héros passent pour une bande de demeurés psychorigides sauvés par le bon sens d’Howard.
Bien fichu et assez amusant mais anecdotique. Avec le numéro 8, on revient enfin aux choses sérieuses !

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

Catégorie « Bon »

Captain America epic collection TPB 22 : Man without a country

Genre : Débuts ayant mal vieilli du run de Waid et Garney

Au début de ce run de 1995, Captain America a disparu et est présumé mort, victime d’un défaut de son sérum du super soldat à la fin du très bon (et long) run de Gruenwald.
Ce TPB un peu fourre-tout commence par un numéro dont Cap est absent : des extrémistes en armure sophistiquée tiennent le président Clinton en otage et menacent de se faire sauter si Captain America en personne ne vient pas à leur rencontre. Comme il n’est pas là, ce sont les vengeurs, ainsi qu’une jeune recrue du SHIELD qui le considère comme une relique poussiéreuse, qui viennent à leur rencontre.
Ce bon numéro a le mérite de montrer la nature très spéciale du baromètre moral des héros Marvel, ce qu’il signifie pour les vengeurs et pour le citoyen lambda.
Malgré l’absence du héros, son aura plane et laisse présager le meilleur.

Ça tombe bien : le très bon arc Operation rebirth débarque ensuite et laisse une impression assez mémorable. Cap est réanimé par une Sharon Carter qui lui en veut car elle a été laissée pour morte par le SHIELD qui lui a caché la vérité et a connu l’enfer. Son mystérieux allié et bienfaiteur a besoin de l’aide de Cap pour empêcher l’avènement de Hatemonger (un clone d’Adolf Hitler enfermé dans un cube cosmique par Red Skull dans les pages du numéro 17 du très bon titre des années 70 Super villain team up) comme maître du monde.

Cap a été créée pour arrêter Hitler et n’a jamais mené à bien sa mission (celui-ci s’étant suicidé et ayant été incinéré par la Human torch des années 40). Il a une chance de se racheter…
Très clairement, cet arc, que j’ai lu pour la première fois en TPB en 2003, a bien vieilli, notamment grâce au bon emploi du Red skull et de Captain America dans une situation inédite.
L’histoire bénéficie des meilleurs dessins de Garney pour ce volume mais souffre, comme pour le reste, d’une palette d’expressions faciales quasi limitées à des persos qui tirent la tronche façon Steven Segal.

On enchaîne ensuite avec First sign, un crossover assez pitoyable entre les titres Captain America, Thor (qui avait perdu ses pouvoirs à l’époque), Iron man (transformé en teenager !) et les vengeurs (dont les costumes de l’époque rivalisent de laideur), confrontés à une attaque très anonyme des méchants mineurs du zodiaque. On atteint d’ailleurs les sommets du ridicule avec cet institut de jeunes aveugles qui domine des terroristes chevronnés et surarmés en se jouant de l’obscurité dans laquelle la ville est plongée.

Outre les dessins très laids de ces titres (Garney est lui aussi remplacé brièvement, Deodato sur Thor étant celui qui s’en tire le mieux), on note le côté très froid et anonyme de la menace et des situations, qui ne permettent aucune immersion.

C’est d’ailleurs le principal défaut qu’on peut faire à la suite du run présent ici puisqu’on enchaîne avec un arc durant lequel Cap doit racheter son honneur à la suite de ses actions durant Operation rebirth, ce qui donne lieu à des numéros peu inspirés et des dialogues tristounets, avec une Sharon assez pénible qui met un temps fou à entendre raison et une progression de l’intrigue laborieuse et impersonnelle.

Le volume se conclut sur des numéros anniversaires de l’époque, avec un tas d’articles et dessins sympathiques qui reviennent sur la carrière, les ennemis et les amours du super-héros.
Ils prennent un bon cinquième du volume et font malheureusement un peu bouche-trou.

En conclusion, le début de ce run, que je n’avais pas lu, ne vaut vraiment que par l’arc Operation reborn, qui a bien vieilli malgré quelques défauts et a le mérite de présenter une histoire reprenant un très bon numéro vintage de belle manière.
On regrette un Waid pas encore lâché à fond les ballons (ça s’améliore heureusement par la suite) et un Garney qui possède alors une palette d’expressions trop limitées et ne parvient pas bien à retranscrire le côté gymnaste olympique de Cap, le rivant un peu trop au sol.
Clairement le volume le plus faible de tout ce qui est paru sur le personnage dans les collections Essential et Epic pour l’instant.


Scénario : 13/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 13/20

Catégorie "Sympa"


Deadpool 11

Genre : Final de l’arc le plus laborieux de Duggan


Deadpool vs Sabretooth, dernière !
Ce numéro boucle ce duel bien trop long de manière plutôt satisfaisante.
Je suis curieux de lire l’épilogue, en fait la suite du prologue qui se déroule en 2099, histoire de voir si le scénariste va parvenir à se renouveler.

Il était temps que ça s’arrête !

Scénario : 12/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 12/20


Catégorie "moyen"

RIEN

Catégorie "Mauvais"

Civil war II FCBD

Genre : Pénible

Les Inhumains et leur nouvelle recrue copinent avec les vengeurs tandis que Thanos se fait une petite virée sur Terre en solo, habillé comme un rebut des années 90, avec un flingue immense.

Un numéro ridicule et outré, inintéressant et qui sent bon le marketing (caser la future star des films Avengers même à contre-emploi pourvu qu’on la voit…).
Tout s’enchaîne trop vite, c’est mal écrit, outré et ridicule, limite incompréhensible.
A fuir, d’autant plus que ça spoile dans tous les sens du terme le très bon numéro 0.

Scénario : 09/20
Dialogues : 08/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 08/20

IMAGE

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

I HATE FAIRYLAND TPB 1

Genre : Le magicien dose

Gertrude fait le voeu de se retrouver dans un pays imaginaire à vivre des aventures fabuleuses.
Be careful what you wish for !
Si au début tout va bien, son incapacité à retrouver le chemin du retour la piège dans le pays imaginaire pendant 30 ans. Coincée dans un corps enfantin, son errance la transforme en une psychopathe aigrie et sanguinaire, devenant un tel problème que la reine doit faire appel aux pires méchants du royaume pour l’éliminer…

Les 5 numéros de ce TPB se lisent d’une traite : c’est beau, c’est drôle, c’est référencé (Conan, la méchante sorcière, le magicien d’Oz, Alice…) et surtout ça se renouvelle constamment !
On aurait pu craindre une certaine répétitivité avec du gore et de l’humour noir mais l’histoire de base (la quête de la sortie) n’est jamais oubliée.
Mention spéciale au Jiminy Cricket à la petite semaine qui accompagne Gertrude, totalement blasé.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20


IDW

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Street fighter x GI Joe 3

Genre : Les choses sérieuses commencent

Pour ces dernières manches des quarts de finale, on assiste à plusieurs duels mémorables :

Le comique Rufus contre le très sérieux et silencieux Snake eyes de GI. Joe
L’élève de Ryu (GI.Joe) contre le musculeux roi de l’huile Hassan
Le vertueux Guile contre le fourbe Zartan de Cobra, maître des coups bas mémorables
Et enfin le ninja de Cobra Storm Shadow contre un M.Bison équipé d’un catalyseur de Psycho power individuel, meilleur duel du volume !

Encore un numéro très réussi, bourré de fun et de superbes combats qui a ce petit goût de nanar très réussi avec un cliffhanger qui promet beaucoup.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

UDON

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Street Fighter unlimited 6

Genre : Ryu s’entraîne encore et encore…

Ryu s’entraîne au Brésil avec le mystérieux Oro, qui a tous les attributs de l’ermite (vieux, sale, pauvre…) et affine ses sens en luttant contre la faune et les éléments, rencontrant pour la première fois un certain Blanka !

Le messie Gill, qui a unifié l’humanité sous sa bannière, annonce au monde la tenue d’un grand tournoi, qui dissimule bien sûr de noirs desseins…

En back up, le premier voyage à l’étranger de Dan et Sakura qui rencontrent eux aussi pour la première fois l’homme animal.

Ne seraient la présence de Blanka et la back up, ce numéro serait bien triste à lire tant tout s’enchaîne sans finesse.
Ajoutez à cela le nouveau dessinateur au trait mal dégrossi (là encore, celui de la back up sauve l’honneur) et vous avez un numéro peu convaincant, en service minimum.

Scénario : 13/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20


Skottie Young à son meilleur!
Réponse avec citation