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Envie SF partie 2 : Et pourquoi pas !
Tout d'abord j'ai clos pour de bons la partie dessin. Recontacter par un gars qui voulait reprendre Banihwé j'y ai été et lui est laisser tout mes dessins. Dégouter j'en voulait plus et si ça pouvait servir pourquoi pas.
Après un stage non rémunéré de deux mois j'étais décider à faire de bibliothécaire mon métier. Je m'enquêter cependant de mon peu d'expérience. Pas d'étude universitaire dans les métiers du livre, ni de concours bibliothécaire en poche.
Je fut aider par le fait que la Bibliothèque ou je faisais le stage était en manque de collègue. On m'a donc proposer des vacations. Cela permettait d'en apprendre plus tout en étant payer. Le rêve.
En parallèle j'ai commencer à écrire sur un forum de comics des petits histoires courtes. Pendant ses années de vacations j'avais un doute d'avoir un poste à la fin mais tenez à faire mon travail au mieux. Dans les forum j'écrivais tant que des personnes lisait et était intéresser par une possible suite. Lorsque l'un d'eux à commencer à envisager un univers commun. Notre objectif écrire des aventures comics dans un même univers. J'ai voulu en faire deux de frond. Une sorte de Green Lantern et Slobo. Un personnage que de DC que j'ai réadapter pour cet univers. Mais au bout de quelque mois, les moins motiver disparaissait. J'avais remarquer des différences d'écriture et je savais que cela pouvait jouer sur les lecteurs. Aussi j'étais pas surpris du peu de réponse. Au bout de quelque temps moi aussi perdit l'envie et le forum eux subit une crise. Certain le quittant pour en fonder un autre.
Le travail m'amena à suivre des comités BD et de me lier d'amitié avec la personne qui les organiser. Elle aussi écrivait et fut curieuse de mes écrits. J'avais plus rien sur le feu. Aussi je lui proposa le texte de la sentinel du roi et un autre truc écrit dans le voulu. Deux chapitre sur une participante à des courses illégale. Convaincu que c'était le moins bon je ne garda pas la première version.
Mon amie tomba sous le charme de ce texte plus construit et qui lui parlait mieux. Je reprit alors l'idée et tenta de refaire les chapitre en complexifiant un peu mon univers cependant. Je pense qu'encore aujourd'hui c'est le texte dont je suis le plus fier.
Je n'ai eut aucun mal à écrire plusieurs chapitre et les lui fournir. Elle les trouvait bon et je commencer à croire tenir quelque chose.
Pour une fois je força mon esprit à bien construire l'univers, les allées et venu des héros et la colonne principal du roman. Je ne me perdrait plus dans des possibles suites, ou des personnages créer sur le tas qui prendrait de l'importance.
Je balisait le roman mais mon amie commencer à moins me donner de retour. Je cherchait alors d'autre lecteur.
Au passage après quelque années de vacation et une de titularisation j'étais enfin fonctionnaire. Ne pas avoir à chercher pour une autre médiathèque pour m'embaucher fut un soulagement. Tout comme Yaneck ne s'est jamais sentit scénariste, je me suis jamais sentit mériter être bibliothécaire. Encore parfois aujourd'hui. Je sais la chance que j'ai eut.
Ma directrice de l'époque aimant le fantastique, eut envie de faire un salon BD. J'ai eut la chance de travailler 7 éditions sur ce festival et de rencontrer des auteurs accessible. Ainsi que des éditeurs et d'autres personnes importante dans ce petit monde.
J'ai donc essayer les forum d'écriture participatif avec ce roman. Et là la claque. Les personne reprochait beaucoup à mon texte. Je n'était pas du sérail et ne respecter pas les règles (Encore une fois) et le sentait.
Qui croire ... Mon amie pouvait elle être aveugler par son amitié ? Selon elle, non ! J'ai donc après des multiple correction des premiers chapitre laisser le texte à un des connaisseurs SF. Son jugement fut d'un tout autre ordre. Trop de faute pour ne pas souffrir à la lecture. Mais sinon le style et l'histoire lui paraissait original.
Je pris alors la décision de terminer mon histoire pour le prochain et sans doute dernier Festival afin de lui représenté. Une autre collègue lissait mon texte ce qui renouvelait ma motivation.
Alors que j'étais toujours célibataire, sans aucune idée d'une relation à deux, que j'étais aussi un peu user par les habitudes des collègues de ma médiathèque, l'écriture me paraissait alors salvatrice. J'avais alors un univers imaginaire vaste et aucune difficulté à y entrée. Et si on m'avait alors dit que cela pourrait en être autrement je ne l'aurais pas cru.
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