DC
Catégorie « Excellent »
RIEN
Catégorie « Très bon »
RIEN
Catégorie « Bon »
Batgirl 45
Genre: Par hasard, elle aime mon incertitude, par hasard j’aime sa solitude
Batgirl marie une de ses amies et se retrouve…euh…je crois que c’est demoiselle d’honneur en chef. En bonne Batgirl, elle est préparée pour tous les drames, comme une boucle d’oreille abimée, une tâche de rouge à lèvres sur une robe…Contant toujours fleurette à Batwing, invité sous son identité civile au mariage, elle reçoit la visite inattendue de Grayson, anciennement connu sous le nom de Nightwing, présumé mort et toujours amoureux d’elle !
Vous l’aurez compris, il m’a été un peu difficile d’entrer dans ce numéro, tant je me fiche éperdument des questions traitées dans ce numéro. Reste une partie graphique superbe, qui lorgne de plus en plus vers les codes du manga (expressions de colère entre autres) et des couleurs parfaitement choisies.
Le numéro a également le mérite de remettre au clair la relation de longue date entre Nightwing et Batgirl. Voilà voilà.
Par contre, depuis quelques numéros, j’ai l’impression que cette série me plaît de moins en moins, après un très bon départ de l’actuelle équipe.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20
Catégorie « Sympa »
RIEN
MARVEL
Catégorie « Excellent »
Sam Wilson : Captain America 2
Genre : She couldn't wait another day for the captain of her heart
Suite directe du flashback du numéro précédent. Cap est toujours dans l’avion et discute avec ses voisins de travée de son combat à la frontière avec le Mexique contre les fils du serpent.
Il revient également avec eux sur leurs informations erronées sur ses rapports avec l’ancien Cap, Steve Rogers, pour clarifier la situation.
Un grand numéro ! Spencer nous livre encore une fois une histoire à la narration déjà éprouvée qui entremêle divers épisodes du passé et le présent de façon fluide et harmonieuse.
En plus du problème des migrants illégaux à la frontière avec le Mexique, il utilise d’autres thèmes très contemporains et clivants sous la forme d’évènements fictifs extrêmement proches.
On a ainsi une réflexion sur Wikileaks et Julian Assange, sur l’information sur le net (Twitter est-il fiable ?) et sur ce qui le sépare de Steve Rogers.
Un numéro que j’ai adoré. Spencer trouve son style sur son Cap et se distingue parfaitement bien du run mémorable de Brubaker et de celui bien plus discutable de Remender.
Un des meilleurs comics de l’ère post Secret wars. Du grand Cap !
Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 17/20
Catégorie « Très bon »
Deadpool vs Thanos 4
Genre : Always look at the bright side of Death…
Deadpool et Thanos retrouvent enfin la maîtresse de leurs pensées, mais un défi de taille les attend : l’entité Eternité, incarnation de l’univers Marvel, ne compte pas la libérer…
Ce très bon numéro riche en surprise exploite bien le pan cosmique de l’univers Marvel et parodie efficacement les dieux graves et sentencieux auxquels nous sommes habitués.
Deadpool y livre une étonnante définition, très vraie, de ses actes et de ce qu’il est, Thanos reste fidèle à lui-même (et cette version est l’une des plus fidèles à Starlin que j’ai vues jusque -là) et le personnage mineur et ridicule de Black Talon y trouve même ses lettres de noblesse !
Joli final qui élève le niveau global de la série. J’ai vraiment aimé.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20
Where monsters dwell 5
Genre : Casses-toi tu pues et marche à l’ombre
Fin des mésaventures de notre ancien aviateur de la Première guerre Mondiale et de sa passagère qui lui a caché bien des secrets.
Le pauvre en prend plein la poire pour pas un rond. On a presque l’impression qu’Ennis lui en veut. Les dialogues sont toujours aussi bons, avec notamment un beau portrait en flashback d’une femme victime des préjugés sexistes de son époque, l’auteur étant toujours très bon quand il s’agit d’évoquer l’Histoire et d’y ajouter son légendaire cynisme.
Un dernier épisode qui conclut très agréablement une mini-série agréable mais qui aura été un poil trop décompressée et qui n’a qu’un lointain rapport avec le crossover Secret wars. On sent le titre qui y’a été intégré aux forceps pour profiter de l’aubaine en termes de vente.
Ça n’enlève rien à ses qualités.
Scénario : 15/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20
Catégorie « Bon »
What if infinity/Dark reign 1
Genre: From the moment I could talk I was ordered to listen. Now there's a way and I know that I have to go away.
Le synopsis est un peu confus mais en voilà les grandes lignes : pendant les évènements du piteux crossover Siege, Norman Osborn révèle au monde qu’il a acquis le gant de l’Infini et ses gemmes en les faisant rechercher par une alliance secrète de super méchants qui sont parvenus à assassiner les illuminati qui les gardaient (Strange, Iron man et les autres « sympathiques » héros qui ont notamment envoyé Hulk dans l’espace sans espoir de retour).
Il ramène son défunt père d’entre les morts et entreprend de lui faire contempler sa réussite afin de lui faire regretter de l’avoir humilié et brutalisé étant enfant et surtout de se faire aimer...
On note que ce What if n’a qu’un lointain rapport avec le crossover Infinity, si ce n’est une apparition un peu forcée et mal faite de Thanos à un moment.
Pour le reste, ce one shot était riche de promesses, avec un postulat alléchant mais son traitement reste trop basique et sa fin tristement cliché et trop rapide.
On appréciera tout de même le traitement réservé au pauvre Spider-man, simple mais terrifiant.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20
Catégorie « Sympa »
RIEN