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Vieux 11/02/2015, 17h43
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
Mes avis VO sur les 6 premiers épisodes de Black Science :

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Posté par arrowsmith
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BLACK SCIENCE #1 (Rick REMENDER / Matteo SCALERA)



Plein les mirettes. C'est le résumé parfait pour ce premier numéro de Black Science par Rick REMENDER et Matteo SCALERA. On assiste à une course poursuite effréné pendant plus de 30 pages dans des décors grandioses mélange de science fiction et d'héroïque fantasy. Rick REMENDER réussi une très bonne synthèse de ce 2 genres et décide d'entré de jeu de nous en mettre plein la vue à l'image de production hollywoodienne projetée en grand format. Le lecteur évolue dans un univers apocalyptique et mystérieux peuplé de tribus batraciennes et autre insectes. Le cliffhanger de fin projette la série dans la pure science fiction inventive et on ne l'avait pas vu venir. Autre synthèse réussi, les dessins de Matteo SCALERA avec la mise en couleur de Dean WHITE. C'est là aussi énorme. Chaque planche est sublimée et tourne à la démonstration graphique. Tout est beau et imaginatif.

Fear Agent + Conan = Black Science. Un grand moment de lecture
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Posté par arrowsmith
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BLACK SCIENCE #2 (Rick REMENDER / Matteo SCALERA / Dean WHITE pour les couleurs)



Un numéro frustrant mais dans le bon sens. La frustration vient de l'extraordinaire premier numéro que nous ont offert Remender, Scalera et White il y a peine 3 semaines. C'était tellement prenant et brillant graphiquement que l'on aurait aimé que cela continu même avec un scénario plus mince, c'est dire. Rick REMENDER est donc un roublard. On a vu l'halecon et on a déjà été appaté. Le mal est fait (mais tant mieux pour nous). Donc pas de course poursuite ici à travers un monde fantaisiste peuplé de batraciens mais la découverte avec de judicieux flashback du pourquoi du comment de la situation et une action qui se déroule dans un conflit stylé première mondiale où les Allemands se battent contre des Indiens d'un type évolué. Donc oui cette série reste haute en couleur et déjanté. On comprend désormais que l'on est en face d'une véritable histoire de science fiction et Remender va nous faire voyager entre des dimensions toutes aussi loufoques les une que les autres. On découvre également le reste du casting (seul Grant Mc Kay était mis en avant dans le #1). Vous allez apprendre à détester Kadir, à se moquer de Chandra comme froide ingénu et à apprécier Rebecca et Ward. Les dessins de Mattéo SCALERA reste au top niveau (attention on n'est plus dans l'explosion graphique assumé du #1) avec un Dean WHITE qui utilise au mieux sa palette de couleurs avec des tons ocre pour les scènes au présent (style 1ere guerre mondiale) et plus classique et sombre pour les flashbacks.

En 2 numéros seulement BLACK SCIENCE arrive à s'imposer comme un déjà futur classique de science fiction. C'est bourré d'action et imaginatif. Je pense voyager un grand moment avec Grant Mc Kay et sa famille.
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Posté par arrowsmith
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BLACK SCIENCE #3 (Rick REMENDER / Matteo SCALERA / Dean WHITE)



De l'intérêt d'un titre... Dans BLACK SCIENCE il y a le mot SCIENCE qui renvoie bien à une très bonne histoire de science fiction mêlant machine infernale, exploration de dimensions parallèles et aventuriers de toute sorte. Mais il y a également le mot BLACK qui renvoit à une certaine noirceur dans l'histoire qui pour l'instant laisse peu d'espoir. Le téméraire scientifique Grant Mc Kay n'est pas aussi propre que l'on aurait pu le croire (installation d'un thème sur le schéma familiale), l'exploitation du Pillar est là pour le profit et non pour grandir l'humanité et quelque soit la dimension les guerres sont toujours là (avec ici un Manifest Destiny inversé). Noirceur également dans la colorisation de Dean WHITE et les dessins de Matteo SCALERA parfaitement à l'unisson. Le rythme du récit est toujours aussi dynamique et Rick REMENDER le dynamise avec les flashback utilisés à juste escient.

BLACK SCIENCE est une excellent histoire de science fiction dans toute les composantes du genre. Les couvertures sont superbes, cela se lit bien et on a vite envie de savoir la suite. Une réussite à mes yeux.
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Posté par arrowsmith
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BLACK SCIENCE #4 (Rick REMENDER / Matteo SCALERA / Dean WHITE)



J'ai bien apprécié cet épisode qui renoue avec l'énergie folle du premier. Après 2 épisodes où Rick REMENDER avait décidé de poser un peu (mais pas trop quand même) son récit et de nous expliquer le background avec des flashback nécessaires ici il nous entraine immédiatement dans une course poursuite mortelle haute en couleur dans la première partie du récit puis nous en rappelle les enjeux (les bonds à travers différentes dimensions afin de retrouver la bonne) dans la seconde, plus posée mais annonciatrice de futures péripéties bien alléchantes. Graphiquement Matteo SCALERA s'éclate avec Dean WHITE avec parfois quelques baisses de régime largement compensées par des fortes hausses rappelant là aussi l'explosion graphique du premier numéro.

Le plus de ce numéro c'est indéniablement la variation de rythme dans l'histoire. C'est à la fois le calme avant la tempête mixé avec un shoot à l'adrénaline. Bien joué Mister Remender, je reviens le mois prochain.
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Posté par arrowsmith
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BLACK SCIENCE #5 (Rick REMENDER / Matteo SCALERA)



Rick REMENDER explore le champs des possibles avec son concept de scientifiques qui sautent de dimension en dimension et introduit de nouveaux paradoxes et protagonistes dans l'équation déjà complexe. En même temps on comprend désormais que cette série est là pour durer et que ce numéro en apporte assez pour aboutir à une conclusion d'arc narratif (dans le prochain numéro) tout en nous assurant que le chemin du retour est encore loin. C'est bien joué de la part du scénariste qui semble en avoir sous la pédale, tout comme la très bonne course poursuite, dans des décors futuristes, présente dans ce numéro. Et quand en plus le tout est illustré par Matteo SCALERA c'est banco.

A chaque numéro qui passe cette série semble se bonifier et j'ai l'impression que nous sommes partie pour une véritable odyssée. Fear Agent ayant tenue plus de 30 numéros c'est tout le mal que je souhaite à Black Science.
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Posté par arrowsmith
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BLACK SCIENCE #6 (Rick REMENDER / Matteo SCALERA)



Ce premier arc se clôturant avec ce numéro aura tenu ces promesses. On est pas encore trop sur de savoir où Rick REMENDER souhaite nous amener (et comme la machine, The Pillar, est détraquée cela tombe bien) mais il a su bâtir son histoire sur des scènes fortes qui nous reste en mémoire (la course poursuite du #1, le péché de Grant, la mort de membres de l'équipe, la trahison puis le final bouleversant) mais également sur un dépaysement total depuis le début. On voyage et que cela soit le bestiaire (encore haut en couleur et important pour la suite dans ce numéro), les lieux ou les situations (les indiens pendant les WWI) on en a pris plein la vue sur un rythme assez effréné. Pour cela il a été accompagné d'une belle équipe composée de Matteo SCALERA et Dean WHITE qui nous ont gratifié de superbes planches. Enfin comme le signale le scénariste himself les 6 épisodes réunis c'est plus de 150 pages, autant dire que nous n'avons pas été trompé sur la marchandise.

Ce premier arc de Black Science a rempli sont contrat en nous proposant un excellent récit de science fiction tourné vers l'aventure. A Remender de savoir porter son récit plus loin encore afin de tutoyer les sommets.

@Baltazared : ton anglais est très bon et c'est super de lire ta lettre à Remender dans ce numéro. Bien joué.
Le premier arc est très bon. Cela se gatte avec la suite qui n'est pas du tout à la hauteur et Dean White s'en va au dernier épisode. Remender n'a pas encore trouvé un second souffle (même Scalera tire parfois la langue, certains de ces personnages se ressemblant trop). Pour avoir lu tout les épisodes en VO (11) j'ai du mal à être très enthousiaste sur la série. Mais pour le lecteur VF ou le Voiste qui n'a lu que le premier arc c'est du tout bon. Et puis le premier épisode est juste fabuleux. Une tuerie graphique sur un rythme d'enfer. Je vais me relire cela en VF car j'ai ce premier tome en VF grâce à Gobius que je remercie encore une fois.


Lu hier soir ce premier volume d'Urban et je suis content de voir que mes critiques VO correspondent. Ce premier arc est réellement d'un bon niveau. J'avais un souvenir que la colorisation (mis à part pour le #1 où c'est plus que parfait) de Dean White baissait mais il n'en ai rien. La lecture en single vaut celle en TP, c'est un bon point (je me souvenais de la plupart des scènes marquantes) et Remender joue parfaitement avec les codes de la SF et lance beaucoup de pistes (bon après cela manque quand même un peu d'originalité). Seul bémol que l'on retrouvera accentué dans le deuxième arc : les visages et silhouettes des femmes dessinés par Mateo Scalera qui ont tendance à se ressembler (Pia et Rebecca par exemple).

Un excellent premier volume que Urban a la bonne idée d’aligner sur le prix US et qui devient donc accessible à la plupart des bourses.

Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 26/03/2015 à 12h15.
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