Couverture : Owen Fitzgerald
Scénario : ?
Dessin : Owen Fitzgerald
Le passe-temps favoris de Bob Hope ? Mater les nanas
Alors qu’il ne s’y attend pas vraiment, il est abordé par une jolie blonde qui lui demande s’il est d’accord pour s’occuper d’un modèle. Bob est fauché et croyant qu’elle est le modèle en question il lui demande si elle a une carte de crédit.
Bien entendu, il est à coté de la plaque. Il ne s’agit pas d’elle mais d’un paquet qu’elle lui confie. A peine la fille est-elle partie que Bob est abordé par deux hommes à la mine patibulaire.
Les deux ostrogoths saute dans un taxi poursuivre la jeune femme. Voyant cela, Bob tente de leur donner le paquet pour qu’ils lui rendent, mais ceux-ci ne prête pas attention à Bob qui doit donc garder le colis qui commence à faire un bruit suspect.
Le paquet s’ouvre révélant son contenu qui n’est pas une bombe, enfin… pas vraiment.
A peine Bob est-il débarrasser du sale mioche que les deux voyous du début son de retour et veulent récupérer la voiture. Malheureusement pour eux mais heureusement pour Bob ce modèle réduit semble très, très puissant.
Après avoir traversé la moitié de la ville, Bob, en grande conversation avec un motard de la police qui le suit, et rejoint par la jeune femme blonde, Dorinda Dee, dont le père est le créateur d’un nouveau prototype de voiture de course.
L’occasion est trop belle et fauché comme il l’est, Bob ne laissera pas passer une occasion d’empocher une telle somme. Il prétend donc être pilote de course et Dorinda le ramène chez elle afin qu’il rencontre son père.
Si le père de Dorinda est vieil excentrique sympathique et encore plus myope que Pister Magoo, on ne peut en dire autant du fiancé de cette dernière.
La jolie blonde conduit Bob à la voiture qu’il doit piloter le lendemain.
Mais la voiture est trafiquée par un des deux voyous qui voulaient récupérer le modèle réduit et c’est sans surprise que l’on apprend que ces deux mécréants ne font pas tout cela pour leur propre compte.
L’heure de la grande course a sonnée. Le départ est donné et tous les bolides s’élancent dans la compétition. Tous sauf un.
S’il ne démarre pas rapidement, Bob se verra éliminé de la course. Mais il a une idée : se faire tracter par le puissant modèle réduit se qui lui permet de rapidement rejoindre ses concurrents.
Renaldo ayant coupé la corde qui raccordait les deux autos, Bob est à nouveau bon dernier. Il décide donc d’abandonner mais sa maladresse le trahi.
C’est donc en marche arrière qu’il rejoindra et doublera à nouveau tout ses concurrents, sauf Renaldo qui, refusant de s’avouer vaincu, fait une tête-à-queue au pauvre Bob qui se trouve projeté dans une grange qu’il traverse de part en part.
C’est donc en avion qu’il remportera la course non sans dégâts puisqu’il se retrouve à l’hôpital. Mais ce n’est pas des membres brisés qui le retiendront au lit.
Mon avis :
De Bob Hope, je ne connais que le nom. Je ne crois pas avoir déjà vu un de ses films mais s’ils sont aussi nul que ce comic, je ne le regrette pas du tout.
Scénario indigent, dessin à l’unisson, je dois avouer que j’ai eu beaucoup de mal a rédiger ce résumé. J’ai même failli ne pas le faire, après tout, ça fait parti de la prod de l’époque, malheureusement.
Quand je pense que dans les mois suivant il y a aussi du Jerry Lewis…