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  #103  
Vieux 25/11/2010, 08h55
Avatar de Auteurroriste Zeph
Auteurroriste Zeph Auteurroriste Zeph est déconnecté
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Date d'inscription: août 2006
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Auteurroriste Zeph change la caisse du Fauve
Elle est épaisse, elle est joufflue et elle m'a bien fait plaisir.
Quelle belle pile d'octobre.


Batman and Robin #15:
Où la folie continue (rien que cette séquence avec le Joker, oh boy!). C'est démentiellement bon.
Par contre, grosse impression d'avoir loupé un épisode important (et ce à plusieurs niveaux) sur les dernières pages. Grosse ellipse à la Morrison ou chapitre à lire rayon Voyage dans le temps de Wayne? Je ne sais pas mais la grosse impression de WTF m'a un peu niqué le truc pourtant très bon.
Quand à Irivng, son sens de la mise en scène est vraiment énorme (surtout qu'il semble avoir régler ses problèmes de proportions hein Scarlet!)


Strange tales II #2:
Retour de la mini anthologique où Marvel confie ses persos à des mecs de l'indé. Globalement le niveau est vraiment excellent (à part deux trois trucs en dessous). Avec une grosse préférence pour le Grampa, qui si scénaristiquement est assez classique, explose visuellement les pages. Ça sent la commande de son Mesmo Delivery ça.
Thumbs up quoi.


Orc Stain #5:
Le retard de plus en plus énorme que prend Stokoe sur sa série vaut largement l'attente. Que je pense que le mec fait tout, tout seul, avec un tel niveau de détails, c'est hallucinant. En plus d'être hyper beau, ça continue de développer un peu l'univers de la série et de poser les persos dans leur rôle. J'aime toujours l'inventivité à la fois visuelle et scénaristique foisonnante de Stokoe. Comment ne pas lui pardonner le temps pris pour fignoler une beauté pareil?

Et on entame la partie pile du pèlerin.


Sweet Tooth #14:
Lemire continue avec ce numéro la mise en place des personnages entamée par le précédent. Tout le monde se met en marche vers son objectif, et si il ne se passe pas grand chose dans ce numéro, ça fait plaisir de voir les choses bouger.
Avec un peu moins de splashs et de très gros panels, ça serait juste parfait.


The Unwritten #18:
Où les choses bougent aussi. Beaucoup même. Tom cherche à découvrir l'origine de ses pouvoirs pendant que des querelles intestines secouent le clan des méchants.
Carey nous lève un petit coin de mythologie de sa série et c'est toujours aussi bien foutu et intrigant.


Greek Street #16:
Final Issue scande la cover. Snif. Après la mise en marche de tous ses personnages lors du #15, Milligan allait-il réussir l'exploit de finir tout d'un coup.
Soyons franc, non, mais alors presque. C'est avec fébrilité que je tournais chaque page me rapprochant de la fin, me demandant comment il allait faire. Et force est de reconnaitre qu'à un moment, je me suis dit "Le salaud, il le fait".
Par contre, un peu abrupte cette fin. Vertigo aurait au moins pu filer à Milligan un numéro oversized, quelques pages de plus, histoire d'avoir un petit épilogue plus propre que cette fin brutale.
Greek Street aura été une bonne série, une grande toile que Milligan n'aura pas pu tisser complètement, accompagné d'un excellent dessin de Gianfelice (rah ses femmes...).
Adieu Eddie, Dedalus, Sandy, Chantel et tous les autres, ce fut un plaisir.


House of Mystery Halloween Annual #2:
Le spécial Halloween de la maison des mystères nous revient pour une deuxième année, avec comme invités Constatine, Madame Xanadu et quelques autres persos du cheptel Vertigo.
Et c'est toujours aussi bon. Tour à tour drôle, intrigant et éprouvant, les différentes histoires sont excellentes.
Avec peut être un petit bémol sur la I, Zombie, encore une fois en dessous des autres (mais ça reste sympathique, contrairement à l'année dernière) ainsi que la Hellblazer, quasi un copier/coller d'une partie du numéro de ce mois ci.
Graphiquement, que du bon aussi.
Encore une réussite pour Vertigo!


Vertigo Resurrected #1:
Avec au programme Shoot, Hellblazer inédit d'Ellis et plusieurs histoires courtes tirés de différentes revues.
Pour celui qui n'a jamais eu le matos en question sous la main, cette anthologie d'histoires courtes est un petit bonheur. Quitely, Morrison, Risso, Milligan, Ribic, Wrightson, Bolland et d'autres, c'est vraiment plaisant. Seule histoire en dessous des autres, celle d'Ennis qui souffre d'un dessin torché de Jim Lee. Mais le reste est au petits oignons, pour qui n'a jamais lu ces histoires.
Quand à Shoot, c'est un récit sympa, avec une petite charge à la Ellis, mais rien de renversant. J'ai d'ailleurs un peu de mal à comprendre la décision de garder ça en tiroir aussi longtemps.
En tout cas, ce numéro de réédition ce vieux récits Vertigo m'a bien plu.


Hellblazer: City of demons #1 et 2:
A la sortie du pub, Constatine se fait percuter par un 4x4 et se retrouve dans le coma à l'hosto, craignant que l'enfer en profite. Mais le old bastard lorgne du mauvais côté et ça risque de lui couter cher.
Passé une première scène très Constatinesque, le premier numéro retombe très vite pour tourner en rond avec une fausse intrigue, dont la résolution montre bien toute l'inutilité. Un gros passage très dispensable.
Dès le deuxième, l'intrigue générale de la mini se met véritablement en place et monte en puissance dans le macabre.
Après l'inutile plot du numéro 1, ici on cerne mieux où tout cela va mener. On voit vraiment l'histoire démarrer.
Mais l'énorme atout de cette mini, c'est surtout son dessin. Sean Murphy nous livre un splendide Constatine (qu'il ressape un peu pour l'occaz, mais on lui pardonne tellement c'est classe). Et je ne parle même pas de son infirmière ultra sexy.


Hellblazer #272:
Epiphany, coincée dans le passé, essaie de trouver quelques repères pour s'en sortir alors que John a sauté par la fenêtre, dans le présent, pour tenter de contacter Shade. Et comme si ce n'était déjà pas assez bordélique, l'enfer s'en mêle.
Milligan continue son excellente histoire entre John et Epiphany. Il brouille les pistes, impossible de sortir comment cela va tourner ni ce qu'il a en tête. Salaud de Milligan, il est vraiment très fort.
En plus, la partie dans le passé est assuré graphiquement par Simon Bisley qui nous livre une Epiphany des plus belles.
Pfiou, qu'elle est belle cette série!
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman
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