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Vieux 28/09/2010, 17h30
doop doop est déconnecté
bouzouk force !!!!
-Gardien du Temple-
 
Date d'inscription: juillet 2005
Messages: 25 078
doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0
Crit Doop an 4.3 :asterios polyp,second coming, the mighty,USM,walking dead

SECOND COMING


SECOND COMING #1-2
UNCANNY X-MEN 523-525
X-MEN LEGACY #235-237
NEW MUTANTS #12-14
X-FORCE #26-29

(Kyle-yost-Fraction-Carey-Welles / Finch-Dodson-land-Robertson-Choi-Medina)

La franchise X-MEN est quand même bien fatiguée. Le travail de FRACTION sur UNCANNY X-MEN est plutôt agréable et ses intrigues assez longues prennent du sens et de la consistance au fur et à mesure des numéros, mais c'est à peu près tout ce qui est lisible.
Pour le reste, X-MEN LEGACY s'est enfermée depuis des années dans une politique de non direction, de personnages non récurrents et d'histoires fadasses; la série X-FORCE après des débuts assez funs (le premier arc) s'est enfermée dans une politique de crossovers plus débiles les uns que les autres (l'immonde NECROSHA X) et la série NEW MUTANTS est ballotée elle aussi au gré des events MARVEL puisqu'avec SECOND COMING, NECROSHA et SIEGE elle a subi pas moins de trois corssovers en six mois, ce qui est impossible à gérer pour une série qui débute et qui n'a absolument pas pu trouver son rythme de croisière. ON pensait que cela allait pouvoir s'améliorer avec SECOND COMING, qui serait la fin des histoires lancées par MESSIAH COMPLEX et qui ramènerait la jeune HOPE sur TERRE. Si on compare SECOND COMING à MESSIAH COMPLEX, il n'y a pas photo, le crossover le plus ancien est nettement meilleur.
Il faut dire que selon toute vraisemblance, MARVEL a laissé les clefs à KYLE et YOST qui ne nous proposent absolument pas un crossover, mais une très longue histoire à la manière de X-FORCE étalée sur les séries.
Et c'est très mauvais.
On avait déjà vu qu'ils n'étaient pas capables de proposer un truc de moyenne ampleur (rappelez vous l'immonde NECROSHA X) , alors imaginez la catastrophe sur un truc en 14 parties.
Tout d'abord ce crossover ne répond absolument pas aux attentes !
Vous vouliez savoir qui est HOPE, ce qu'elle fait, si c'est la réincarnation de JEAN , eh bien

Du coup , on se demande pourquoi tout ce bazar , vu qu'il ne se passe rien !
Cela permet juste à KYLE et YOST de finir leurs intrigues sur les méchants de X-FORCE avant de laisser la main à d'autres, ET C'EST TOUT.
Du coup, on retrouve exactement la même manière d'écrire et de développer les intrigues que dans leur série: morts à gogo, étalage de bidoche en tout genre, et un manque d'émotion absolument flagrant.
Oui, il y a deux X-MEN "importants " qui meurent dans ce crossover, mais alors je suis absolument outré par la manière. Le premier meurt connement, sans vraiment qu'il y ait grand intérêt à sa mort, bref, ce n'est pas héroïque, et surtout, on ne voit pas la finalité du truc. Ce que je veux dire, c'est que c'aurait été un autre X-MAN, c'aurait été pareil. Et les intrigues où l'on peut inter changer les personnages ne sont jamais vraiment réussies. Si le deuxième mort se justifie un peu plus, je toruve la première totalement bâclée, encore plus que celle de MARTIAN MANHUNTER dans FINAL CRISIS. Aucune émotion, rien.
Sinon ? 14 épisodes de grosses bastons parfois dégueu (surtout celles dans la série X-FORCE) et véritablement aucune direction.
CABLE et HOPE sont poursuivis par tous les méchants de X-FORCE qui se feront dégommer très vite au fil des épisodes.
C'est pour moi véritablement l'œuvre et la faute de KYLE et YOST, les trois autres scénaristes (WELLES , CAREY et FRACTION ) devant se contenter simplement de mettre des dialogues sur une trame prédéfinie. Et c'est catastrophique car comme je le disais , UNCANNY X-MEN fonctionne, mais sur du long terme. là, on perd trois mois dans les intrigues de FRACTION, qui ne peut rien faire avancer, et c'est nul. Pareil pour NEW MUTANTS, qui se voit encore une fois embourbée dans un crossover. En gros, WELLES ne peut plus écrire sa série depuis au moins six numéros et ca devient lassant. les personnages ne sont toujours pas développés et il ne se passe rien. Je ne parle même pas de X-MEN LEGACY , ca ne change pas non plus.
Donc c'est très mauvais. pas du niveau de l'infâme NECROSHA X , mais vraiment pas loin.
En gros, KYLE et YOST ont brassé du vent.
Niveau dessins...... les meilleurs sont certainement DODSON et LAND . Sur ce dernier, il doit dessiner des personnages non humains, ce qui doit être très gênant étant donné son goût pour la photo-référence , et il s'en sort très bien le bougre. Son CAMERON HODGE version mille pattes ou WARLOCK sont très réussis. Pour le reste, on a MIKE CHOI qui se CRAIN"ise" avec des couleurs qui ne fonctionnent pas (et c'est dommage, car j'aimais bien son style à ses débuts) et un combo IBRAIM ROBERTSON / LAN MEDINA qui ne marche pas non plus. ROBERTSON a encore besoin de temps, là c'est pas encore du dessin à maturité.
Donc voilà, j'espérais beaucoup de ce crossover, mais là, c'est une terrible déception. Aucune avancée dans l'histoire de HOPE, des morts sans aucun sens , pas d'émotion, de la baston avec des tripes qui giclent et des réactions superficielles.
Le pire, c'est que cela empêche les vrais auteurs (je pense à FRACTION et WELLES en particulier) de développer leurs propres histoires. Aucun traitement crédible de CYCLOPE , des réactions de DIABLO et consorts plutôt exagérées pour faire genre, tout de suite, c'est très superficiel.
La fin est assez banale, plutôt ouverte, mais son traitement à l'avenir me gonfle profondément car cela signifie qu'on risque encore de développer en masse des nouveaux personnages dont on n'a strictement rien à faire !
Au mieux, les dessins ne sont pas si moches.
Attendez, car PORTACCIO et ses cous de girafons débarque !!!!!!

et demi



ASTERIOS POLYP


(David Mazzucchelli)


J'entame toujours la lecture d'un supposé chef d'œuvre, critiqué unanimement par tout le monde avec beaucoup de suspicion. C'est donc avec un grand détachement que j'ai commencé ce ASTERIOS POLYP, un gros pavé d'à peu près 400 pages signé DAVID MAZZUCCHELLI.
Evidemment, pour les fans de la première heure, DAVID MAZZUCCCHELLI est le dessinateur de DAREDEVIL : BORN AGAIN et de BATMAN YEAR ONE, deux des plus grandes sagas de super héros de la fin des années 80. Depuis, j'avais perdu la trace de ce dessinateur qui était déjà impressionnant. Il y avait d'ailleurs pas mal de différences entre DD et son BATMAN : la ligne semblait de plus en plus claire, le dessinateur cherchait à épurer un peu son style. Près de 25 ans plus tard, on peut dire qu'il est arrivé à ce qu'il recherchait, c'est à dire un trait véritablement très clair et trés expressif. pas de fioritures, de chichis et impossible de reconnaitre le dessinateur de ces sagas tellement il a évolué.
ASTERIOS POLYP est le premier graphic novel (j'aime pas ce terme) de MAZZUCHELLI et nous raconte l'histoire d'un brillant architecte arrogant et sûr de lui de 50 ans ; qui voit son appartement et tous ses souvenirs brûler à cause d'un éclair mal placé , et qui décide de se remettre petit à petit en question, voyageant à travers les états unis pour finir réparateur de voiture au fin fond du trou de balle de l'Amérique.
Son voyage va petit à petit le faire changer de manière de voir les choses et va lui faire abandonner cette sacro sainte vision de la vie en noir et blanc , cette dualité qui le poursuit depuis la mort de son frère jumeau à la naissance.
A tout bien y réfléchir, cette histoire est quand même complètement typique d'une histoire indé US, comme BRIAN WOOD par exemple sait en faire.
Qu'est ce qui fait alors le plus de ASTERIOS POLYP; eh bien c'est tout simplement la manière de la raconter. En effet, MAZZUCCHELLI fait véritablement un travail de folie en essayant d'expérimenter quasiment à chaque vignette. Il joue avec les blancs, avec les couleurs, avec les formes, fourmille d'idées narratives qui prennent corps et qui fonctionnent plutôt pas mal.
Le problème avec ce genre d'œuvre super esthétisante , c'est que souvent, l'artiste en oublie l'histoire, il s'intéresse tellement à la forme qu'il en oublie le fond; ce n'est pas vraiment le cas ici, puisque par petites touches, MAZZUCCHELLI réussit à rendre véritablement l'émotion et le changement d'attitude , le changement de vision du personnage. il n'en fait pas des caisses, ne noie pas ses propos dans un délire pseudo-artistico-référencé à la mords moi le noeud prétentieux. Il ne fait pas je pense une démarche intellectuelle ; mais artistique , ne laissant personne au bord de la route.
Les références sont bien évidemment présentes, mais jamais le lecteur n'est laissé de côté. On peut très bien passer à côté de toutes les théories pour ne se concentrer que sur l'histoire, ca fonctionne quand même.
MAZZUCCHELLI livre donc un bouquin à plusieurs niveau et réussit la tâche la plus difficile, rendre accessible et intéressante une œuvre aussi bien pour les grands théoriciens de la bande dessinée et de l'art que pour les lecteurs occasionnels ou de base (dont je fais partie) . C'est quand même la point fort du livre.
Ce que j'ai beaucoup aimé, ce sont les petits détails, par exemple les pages où l'on voit tous les petits défauts de la femme d'ASTERIOS , ca sent le vécu et c'est impeccablement retranscrit, sans dialogue verbeux ou montage pompeux. J'ai beaucoup aimé la manière dont le dessin change lorsque les deux amoureux se rencontrent pour la première fois, et la manière dont il change lorsque la rupture est définitivement consommée. Il y a tellement d'invention sur chaque page qu'on pourrait y passer des heures. En plus, ca ne nuit pas à la lecture
Après, est-ce le comics qui m'a fait le plus vibrer de toute ma vie ? non, pas du tout, il y a bien d'autres choses qui m'ont plus touché que ASTERIOS POLYP, mais force est de reconnaître que la réputation du bouquin est à la hauteur de ce que j'ai lu.
Une très jolie tranche de vie qui vous rappellera forcément des moments intimes de votre propre existence.


et demi



WALKING DEAD T12 : UN MONDE PARFAIT


(Kirkman / Adlard)


WALKING DEAD est une très bonne série. Dieu sait que je ne suis absolument pas fan de ROBERT KIRKMAN, mais il faut reconnaitre qu'il réussit à m'accrocher à chaque fois sur son histoire absolument pas originale de zombies 24 heures plus tard.
On en est déjà au tome 12 , et si j'ai eu quelques signes de lassitude et quelques moments de doute (notamment sur les scènes gores ou de torture assez insoutenables), ce volume m'a totalement enthousiasmé.
J'avais des réserves sur l'endroit où KIRKMAN voulait nous emmener, et si je relis mes anciennes critiques des anciens volumes, je crois que je soulevais la question de la provoc pour la provoc et du but de la chose. Que livrer une bande dessinée sans espoir, c'est un peu livrer une histoire sans fin, il manque quelque chose.
Pour moi, RICK et ses compagnons étaient devenus de vrais psychopathes, et jamais KIRKMAN ne soulevait de jugement, ne posait des idées.
Jamais KIRKMAN ne nous montrait autre chose que des survivants nécrophiles, cannibales ou déviants, et ca commençait à devenir lourd.
A la lecture de ce volume, où RICK et ses compagnons arrivent dans une communauté qui semble tout à fait normale et humaine, j'ai été rassuré. KIRKMAN nous montre ici que RICK et ses compagnons ont complètement changé, qu'ils sont devenus totalement fous et inadaptés au monde des bisounours que cette nouvelle communauté leur propose.
Par cette inaptitude à vivre normalement, enfin KIRKMAN prend position, nous livre une réflexion autre que la réalité brute, bref, il pousse son travail de scénariste et c'est tant mieux.
Les études des personnages, leurs caractères leurs relations sont toujorus aussi bien vues, et prennent encore une autre dimension ici. C'est exactement à mon sens ce dont la série avait besoin : un contrepieds.
Maintenant, la facilité serait de faire de cette nouvelle communauté une communauté de psychopathes, ou de les laisser avoir un terrible secret super glauque : cela gâcherait tout le propos de l'auteur et j'espère qu'il n'en sera pas ainsi. En fait, ce volume de WALKING DEAD me fait complètement penser à l'histoire du HOLLANDAIS VOLANT dans WATCHMEN, c'est exactement le même principe.
Bien vu.
En terme de dessins, ADLARD est toujours aussi bon, et on parlait récemment du rythme des dessinateurs. je crois qu'il doit en être à peu près à son 65ème épisode d'affilée, sans que la qualité baisse d'un iota.
Pour moi, c'est certainement le meilleur volume de la série , en espérant que la suite ne vienne pas tout gâcher !
et demi



THE MIGHTY vol 2


(Tomasi-Champagne / Samnee)

J'avais été véritablement très surpris par l'énorme qualité du premier volume, et tout naturellement, je me suis rué sur le second dés sa sortie.
Pour ceux qui ne se rappelleraient pas, THE MIGHTY nous raconte l'histoire d'un super héros , ALPHA ONE vivant sur une terre où il est le seul à posséder des pouvoirs et où il met sa force et ses capacités au service de tous.
Il est aidé par une sorte d'unité spéciale dirigée par le CAPITAINE GABRIEL COLE , qui ramasse les morceaux et s'occupe en gros de gérer tout le reste. toute la population Terrestre est complètement sous le charme et l'influence de ce surhomme qui fait le bien autour de lui depuis les années 50 , mais petit à petit , on se rend compte que les choses ne sont pas ce qu'elles sont. ALPHA ONE a t'il un agenda secret ? Cache t'il des choses ?
Le premier tome avait semé de manière assez impressionnante le doute , ce deuxième volume enfonce le clou parfaitement.
Car oui, ALPHA ONE n'est pas un gentil super héros. pour le coup, on revient à des thèmes proches de ceux de MARK WAID dans EMPIRE ou IRRECUPERABLE, ou à ceux de WARREN ELLIS dans NO HERO , et c'est vraiment extrêmement bien foutu.
Disons le clairement, THE MIGHTY est dans le genre super héros ce que j'ai lu de mieux chez DC depuis un moment. Tout du moins jusqu'à l'épisode #10. Car malheureusement, cette série est passée totalement inaperçue, et c'est bien dommage ! Conclusion: elle passe à la trappe et j'ai l'impression que les deux scénaristes (TOMASI et CHAMPAGNE) se voient obligé de finir leur histoire en deux numéros. Forcément ca se voit , et ca passe tout de suite moins bien, avec un final qui s'il n'est pas totalement ridicule, est quand même bien en dessous des épisodes précédents.
Il y a beaucoup d'idées, beaucoup de choix d'écriture qui fonctionnent parfaitement (le coup de la main dans le micro ondes par exemple est bien fichu) et c'est sublimement mis en images par CHRIS SAMNEE, qui prend le relais de PETER SNEJBJERG et qui s'en sort limite presque mieux. Adepte lui aussi de la ligne très claire; il nous livre six épisodes de toute beauté , avec un sens du rythme et de la narration très efficace. Cela a peut être un peu moins de bizarreries que le dessin de SNEJBJERG, mais ca marche et la transition entre les deux se fait comme une lettre à la poste.
Vraiment pour le coup je suis frustré. Frustré d'avoir vu cette grande série se terminer un peu n'importe comment pour finir absolument une intrigue qui méritait plus de pages.
En attendant, je vous conseille vivement ces deux TPB qui forment donc une maxi série.
Quand on sait que ce n'était pas prévu à la base, on peut se permettre d'être un peu plus indulgent avec une fin bâclée qui vient gâche la note d'ensemble.

et demi


ULTIMATE SPIDER-MAN ULTIMATE COLLECTION vol 1 et 2


(Bendis / Bagley)


J'avais trouvé à pas cher ces deux énormes TPB qui reprennent en gros les deux premières années de la série ULTIMATE SPIDER-MAN par BENDIS et BEGLEY.
Et pourtant, j'avais vendu mes premiers numéros de la série régulière , arrêtant les frais au numéro #11. a l'époque, j'avais été refroidi par le rythme très lent de l'histoire et cela ne m'intéressait pas plus que ca. Quelques années plus tard, ... j'ai changé d'avis.
Je pense que le format y est pour beaucoup et que ces ULTIMATE SPIDER-MAN ne sont pas faits pour être lus mois après mois. Il faut dire que le rythme est vachement décompressé quand même, puisque BENDIS met quand même cinq ou six épisodes avant que PETER n'endosse le costume. (Quand on pense que LEE et DITKO l'avaient fait en dix pages...)
Relecture de l'univers de l'homme araignée pour les nouveaux lecteurs, il faut avouer que c'est véritablement de la bonne BD de SUPERSLIP.
BENDIS arrive à nous faire ressentir des choses pour ce PETER PARKER ULTIMATE et utilise les vannes drôles et son talent de dialoguiste à bon escient. Ca fonctionne et en lecture d'affilée, on ne s'ennuie pas une seconde. Les aventures sont bien rythmée, les personnages attachants et souvent, les silences sont importants dans la mise en scène de l'histoire, ce que je n'ai plus vu depuis longtemps chez ce scénariste. C'est dingue d'ailleurs quand on y pense de voir que BENDIS utilise 100 fois mieux le PETER ULTIMATE que sa version "classique" dans les NEW AVENGERS.
Bref, on suit les circonvolutions de PETER dans sa vie privée, dans sa bataille contre NORMAN OSBORN, devenu un BOUFFON VERT absolument crédible.; contre KRAVEN, ELECTRO et le docteur OCTOPUS. Bref, pas une seule seconde d'ennui.
Cela permet aussi à BENDIS de jouer un peu avec les codes de la série originale, comme lorsque MJ est lancée par le bouffon vert du haut d'un pont. Il joue avec ca et avec notre connaissance de l'univers classique pour nous proposer quelque chose de neuf et de frais.
Je ne comprends pas trop pourquoi je n'avais pas aimé à l'époque (peut être qu'aussi il y avait chez MARVEL des séries de meilleure qualité qui m'avaient fait lâcher ce titre) , mais force est de reconnaître que ca fait du bien de lire des trucs aussi sympathiques, aussi funs et finalement pas mal foutus du tout en terme d'histoire. pour l'instant, ce n'est pas du tout répétitif et en tout cas, j'ai commandé le volume 3, pour voir SPIDEY affronter VENOM.
Que dire aussi de la prestation de MARK BAGLEY, absolument au diapason avec son style assez fluide et très dessiné. c'est même impressionnant de voir la différence de style entre ses ULTIMATE SPIDER-MAN d'hier et sa JLA d'aujourd'hui. Ce qu'il faisait chez MARVEL était tout simplement meilleur.
Un SPIDER MAN bondissant qui vous réconcilie presque avec BENDIS pour le coup pour un comics de super héros très distrayant et très fun.
800 pages de bonheur arachnéen.





Dernière modification par doop ; 28/09/2010 à 18h40.
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