Sauf que Morrison savait travailler sur ses personnages et les caractériser, se choisissant un groupe de personnages avec lesquels s'amuser, avec une interprétation personnelle pour chacun d'eux, ainsi que la manière de les faire progresser. Là, on retrouve cela plus ou moins avec le Club X, peut-être et encore.
Donc rebelote : je ne vois pas comment on peut raconter une histoire de groupe de super-héros en ne se définissant pas au passage le nombre de persos que l'on va mettre en avant, sinon, c'est le bordel, on finit par ne s'intéresser (le scénariste comme le lecteur) à aucun.
Quels sont les X-Men dont Fraction s'occupe principalement ?
|