|
Citation: |
|
|
Posté par Ben Wawe |
|
|
|
|
|
Oui, je pense que beaucoup de fans/lecteurs qui se désolent de la période actuelle des X-Men en mettant en avant la période Claremont pour dire que c'était mieux avant sont des nostalgiques qui ont beaucoup de mal à apprécier la période actuelle à cause du poids de l'Histoire. Après, ça peut ne pas s'appliquer à ceux qui postent ici ou non, mais ça n'empêche que beaucoup de gens qui râlent sur l'état des X-Men usent comme argument que "c'était mieux avant". Perso', j'ai adoré la période Claremont dans ce que j'ai récupéré, mais quand les X-Men m'ont gonflé peu après mes débuts dans les comics (avant les Douze), j'ai arrêté jusqu'à Morrison pour arrêter après et reprendre vraiment depuis peu - mais tout simplement parce que c'était en soi mauvais, pas mauvais par rapport à avant. |
|
|
|
|
Au fond, ce que tu dis rejoint un point mis en avant dans l'article de
CB : la série fonctionne par cycles. Et je crois que c'est aussi comme ça que fonctionnent les lecteurs, et particulièrement les lecteurs des X-Men, qui lisent, s'arrêtent, reprennent. Moi-même, j'ai suivi avec passion la série, puis j'ai cessé, puis j'y suis revenu, etc.
Cet aspect a été illustré par Claremont lui-même dans les épisodes avec Davis que j'ai lus récemment : lorsque les X-Men retrouvent Psylocke, une scène amusante montre Marvel Girl interroger Bishop pour savoir s'il reconnaît bien la revenante. Il esst catégorique et elle ajoute alors : "je te demande ça parce que les X-Men et la mort ont des rapports... Compliquées"

!
Je suis certain qu'avec ce dialogue Claremont se moque à la fois de la série et de lui-même - et indirectement s'amuse de la tolèrance des lecteurs.