Oui, mais Promethea, c'est ambitieux, la thématique est complexe et donc comme il y a en plus un jeu sur le fond et la forme, à la longue soit on accroche, soit ça ne passe pas. C'est tout à fait normal que Moore y ai brassé des tas d'idées, de symbole, car Prométhéa nage en plein concept pratiquement dès le début... From Hell, c'est différent, Moore y défend une sorte de thèse et donc il débale ses arguments, construit sa démonstration pour étayer son idée... D'ou cette impression d'étalage, alors qu'en fin de compte il ne s'agit que d'un argumentaire, ni plus ni moins ! D'un autre côté, en effet, tu peux sciemment te dire que ça n'est pas important de tout capter dans les anecdotes et ainsi From hell peut se lire comme une simple histoire, un peu pompeuse dans les coin, mais c'est tout !
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