Oulala, mais quel retard. c'est pas possible d'être autant à la bourre.
J'aurais vraiment du éviter la VF ce mois ci tiens (surtout que hein...).
Allez c'est parti, pour vous, j'épile Avril.
Dans
Batman and Robin #11, Morrison continue à faire monter la pression au sujet de Sexton, de la colonne de Damian (et bien la colonne pas le colon!) et des mystères du manoir Wayne. Je dois dire que tout ça marche plutôt bien, même si quand même la chasse au trésor dans la cave n'est pas ce qu'il y a de plus intéressant dans le truc et que les gens qui font des présentations en pleine baston, je trouve toujours ça un peu con. Surtout si c'est juste pour permettre à Momo de faire mumuse avec des noms. Le mystère Sexton est le gros point positif de l'histoire, et j'attends impatiemment de voir comment tout ça va finir (et aussi comment va être gérer la révélation de l'identité du gars et surtout l'intelligence et l'attitude du perso (parce que oui, merci à Scarlet pour le spoiler!!!)).
Les
Tales of TMNT atteignent leur avant dernier numéro (même si, là, maintenant, de suite, la fin doit être sorti). Cette histoire de futur et de trahison fleure bon le double sens. Et ouais, Dan Berger a les glandes et il le fait savoir. Et pan dans ta gueule vilain revendeur de licence.
Allez, je prépare les mouchoirs pour le suivant, surement le dernier numéro TMNT qu'on verra avant... Jamais??
Le deuxième arc de
Chew se termine et ne dément pas la qualité constante de la série. De l'action, des révélations, du fun, du sang, un vampire (?) et des trucs au gout de poulet. Bref, c'est toujours aussi bon et le courrier des lecteurs contient encore sa part de taré.
Un gros miam que ce fascicule.
J'avais arrêté
Starstruck mais un #8 s'est retrouvé dans mon colis (c'est pour ça que j'adore passer par Gourvy, il gatte toujours le client (c'était l'instant pub gratuite)). Bon ce numéro m'a conforté dans ma décision d'arrêter la série. Vraiment cette édition en single mal découpé, c'est juste dommage pour cette série. Et pour Kaluta aussi. 20pages de BD, 6 de faux bonus, plus les pubs, à 4dollars, ça fait mal. Il n'y a plus qu'à rêver d'une belle édition tpb.
Et donc, on passe à la pile du fidèle.
Arrivé à mi-chemin,
Joe the Barbarian peine toujours à me convaincre avec son histoire de réalité parallèle. Malgré le twist de fin du 3 et la tentative d'explication dans ce numéro, ça ne marche toujours pas sur moi. Il faut dire que Morrison devrait arrêter de faire des allers retours vers la réalité pour nous monter un Joe malade et en plein délire. Et puis les doubles pages aussi il devrait arrêter. Déjà que j'ai une grosse impression de "ça traine la patte", mais avec ce genre de gagne temps, ça ne s'arrange pas. C'est dommage, parce que le monde construit, à défaut d'être très original, est plutôt sympa. Et Sean Murphy à grave la classe.
Après le cliff de fou du #9,
Greek Street 10 continue sa course infernale. On découvre ce qui est arrivé à Sandy, Eddie et Dédalus tandis que Lord Menon et les Fureys plongent un peu plus dans l'horreur. Il n'y a pas à dire, Milligan gère admirablement bien sa barque sur cette série. C'est très prenant, il jongle sans problème avec un cast assez étendu et arrive à maintenir une bonne pression sur tout le monde. Seul bémol, certaines blessures semblent bien guérir quand même. Après Eddie qui se coupe un bout et ne semble pas s'en soucier, Sandy et ses deux sparadraps, c'était un poil léger. Mais bon, c'est un petit bémol sur une série vraiment très bien.
Mike Carey nous livre un strand alone pour son
Unwritten #12. On retrouve un personnage déjà croisé, enfermé dans une histoire. Ce qui risque de ne pas lui plaire. Carey continue donc son exploration de la fiction sous toutes ses coutures, mais toujours avec cet aspect de l'histoire vivante. Il nous signe ici encore une très bonne histoire, appuyé par un graphisme qui une fois de plus s'adapte au style du récit. Une série toujours en forme.
Bon et là, il y a bataille pour la place du comics de la pile. Faut dire que sur les deux derniers, ça fait trèèèès fort.
Sweet Tooth #8 continue de nous raconter l'ancienne vie de Shepperd en parallèle de ce qui arrive à Gus. Ce dernier se retrouve obligé de tailler la bavette avec le très étrange Dr Singh, qui va nous finir ce numéro sur une révélation qui en laissera plus d'un sur le cul. Lemire m'a tué. Enfoiré. Sur ce coup, il a fait fort. Cette série devient à chaque numéros un peu plus un truc à vraiment lire. Là, je veux la suite, maintenant. Viiiiiiiite!!!
Bon, le comics du mois restera
Hellblazer en fait. Après le cliff de fin du Sweet Tooth, je me suis dis c'est bon, il est là, et puis j'ai lu ce numéro 266 qui est juste énormissime. Voyez donc, des cadavres de conservateurs relevés de la tombe, une poupée de Sid Vicious possédé, Epiphanie en petite tenue et John qui se fait... non, mieux vaut le voir par vous même, c'est juste trop énorme. Il règne sur ce numéro un parfum de nostalgie du punk. Et comme c'est Bisley qui met ça en image, autant dire que visuellement, ça déboite sa maman. On résume donc:
Milligan qui fait dans le punk et la politique sur Hellblazer dessiné par Bisley.
Vous n'avez plus d'excuse pour ne pas lire cette série.
Voilà, fin de la pile. Si j'y arrive, je ferais celle de Mai avant les grandes vacances tiens.