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Posté par baboussa |
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Pour les exclusif je voulais parler de carlos pacheco et non des freres kubert ,mais y'as eu aussi Walter simonson et Brian stelfreez ,John byrne ,Mike mckone,pat ollife et ce pauvre rag morales. |
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Pour ce qui est de Pacheco et de McKone j’ai tout de même l’impression que DC a su les exploiter en les placant pour le dernier sur le relaunch de Teen Titans – dont DC attendait beaucoup – et pour le premier en lui offrant une très grande visibilité sur Final Crisis après lui avoir confié Superman/Batman (6 numéros), Superman (12 numéros) et Green Lantern… Ce dernier tout du moins a un beau parcours chez DC
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Posté par baboussa |
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dans le meme genre la mini serie jsa/ cobra qui aurait pu faire un bon arc de la série régulière et pas une mini serie avec des ventes catastrophique .Non, c le constat de voire des série publier comme magog et red tornado alors qu'ils savent pertinemment qu'elle son vouées a l'échec ,ils ont quand meme l'expérience de la chose avec les tie in des countdown ,52 et dernièrement avec final crisis. |
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Du point de vue du lecteur je suis totalement d’accord avec toi. Si on se place du côté des decisionnaires je pense que dans le premier cas de figure il s’agit tout simplement d’augmenter ses revenus à court terme en multipliant les ventes liées à la JSA par deux (série + minisérie). Pour ces autres séries à l’intérêt et à la qualité très limité je pense que cela tient d’une logique d’occupation des rayonnages et également de revenus certes limités mais également pour un coût limité : les équipes artistiques là dessus ne doivent pas être payées bien cher.
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Posté par baboussa |
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Mais au moin garder ses lecteur serait le minimum obligatoire avec des serie mensuelle de bonne qualité ,par exemple le cas rebels et le fait de retirer andy clarck de la serie apres avoir réussis le coup d'éclat de d'en vendre 60 000 avec le coup de la bague ,si tu reviens au titre le mois d'après et tu trouve st aubin c pas le même coup de cœur . |
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Je te rejoins totalement sur ce point. On peut supposer que dans le cas de Clark il s’agit d’un effet pervers des bons échos qu’à eu sa prestation : il est apprécié, on va le mettre sur quelque chose de plus vendeur et de plus prestigieux avant qu’une autre boîte ne lui fasse une proposition plus alléchante.