Il y a 20 ans : Mars 84
 

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Il y a 20 ans : Mars 1984

Pour bien commencer, débarrassons-nous rapidement du titre le moins intéressant publié par Lug, Titans, dont le soixante-deuxième numéro ne marque aucun progrès notable, bien au contraire.
L’épisode de La Guerre des Etoiles voit les Rebelles lancer une attaque surprise contre l’armada de l’Empire, grâce aux chasseurs taï dérobés quelques numéros plus tôt. Leur cible est une entité extraterrestre assez particulière, sorte de satellite de transmission vivant, que compte utiliser l’Empire pour améliorer ses communications. Il y avait peut-être ici une idée science-fictive intéressante, elle n’est malheureusement absolument pas développée. Restent une longue scène de bataille spatiale, et une bonne dose de soap à l’eau de rose, avec chute brise-cœur à l’arrivée. (Star Wars #61, par Michelinie, Simonson & Palmer).
Le 28ème épisode de Mikros scelle le destin de Psi, aka le Comte de Monségur, dans un duel à mort au sommet de Notre-Dame. Le ton est comme toujours excessivement emphatique (« Saltarella ! Je crie mon amour ! Où es-tu ? M’entends-tu ? » s’exclame Psi. C’est beau comme du Demis Roussos), par contre j’avoue avoir pris un réel plaisir ce mois-ci à découvrir le Paris suranné mis en scène par Mitton. On dirait presque une parodie de la vision que peuvent avoir certains auteurs américains de la France. (Mikros, par Naughton & Mitton).
Passons très vite sur Dazzler et son fan névrosé qui, non content de la harceler, décide de s’en prendre à l’un de ses proches. C’est con comme un téléfilm d’après-midi sur le câble. (Dazzler #25, par Grant, Bright & Bulanadi).
Le quatrième épisode des Nouveaux Mutants marque un changement radical de ton et de genre par rapport à l’épisode précédent. Exit les vilains Broods from outer space, nos jeunes héros enquêtent ce mois-ci sur l’auteur des nombreux coups de fil anonymes adressés à Stevie Hunter. Un récit sans grands vilains costumés où Claremont finit par aborder (sans vraiment le traiter) le thème de l’enfance maltraitée. Par un récit de ce genre, Claremont confirme que la série sera, sur le fond comme sur la forme, très différente des X-Men. En même temps, on aura du mal à ne pas bailler à la lecture de cet épisode. A noter enfin que Bob McLeod cède ici sa place à Sal Buscema pour se consacrer uniquement à l’encrage. (New Mutants #4, par Claremont, Sal Buscema & McLeod).

Restons dans le bof avec Spidey n°50. Aux commandes des X-Men, Roy Thomas persiste à ne pas réaliser le potentiel de la série. Ce mois-ci il envoie nos mutants sous terre, où ils tombent en plein milieu d’une guerre opposant l’Homme-Taupe à Tyrannus. Une histoire super-héroïque archaïque, impression renforcée par le dessin très rétro et très statique de Dan Adkins, qu’on a connu plus inspiré par ailleurs – et qu’on a plus souvent rencontré au poste d’encreur que de dessinateur. (X-Men #34, par Thomas & Adkins).
Moins bon encore, la conclusion de l’annual de Marvel Two-in-One dans lequel la Chose et Flèche Noire tentent d’empêcher Graviton, transformé en monstre cracheur de trous noirs, de détruire New York. Les scénaristes nous offrent quelques théories scientifiques bien fumeuses, et Jim Craig persiste dans le quelconque. Quand on pense à quel prix les Annuals étaient vendus… (Marvel Team-Up Annual #4, par Brodsky, Michelinie, Craig, Budiansky & Patterson).
Autre conclusion, celle du What If dans lequel Peter Parker sauve Gwen Stacy et lui révèle son identité. Cette seconde partie propose une conclusion à l’affrontement entre l’Araignée et le Bouffon Vert assez improbable, et met en scène le mariage des deux tourtereaux. Le retournement de situation final est appréciable, les planches de Gil Kane font le reste. (What If ? #24, par Isabella, Kane & Giacoia).

Deux niveaux au-dessus se situe Strange n°171. Pas grâce à Iron Man, certes, où Denny O’Neil se montre toujours aussi peu inspiré. Tony Stark s’est levé du pied gauche, tout va de travers, et le Fondeur débarque dans ses bureaux pour… on ne sait pas vraiment, sinon se prendre une raclée rapidement expédiée. La bonne nouvelle étant qu’on n’a à subir qu’un demi-épisode cette fois. (Iron Man #166, par O’Neil, McDonnel & Mitchell).
O’Neil se montre un peu plus inspiré sur L’Homme Araignée et la conclusion de son combat contre les Terrifics nouvellement reformés. Rien que de très classique, très orienté action. Et la vérité sur la sexy voisine de Peter Parker, on l’avait vu venir à des kilomètres. Ca se laisse tout de même lire sans déplaisir. (Amazing Spider-Man #215, par O’Neil, Romita Jr. & Mooney).
Dans Daredevil, Frank Miller s’intéresse une nouvelle fois au personnage du Gladiateur. A l’origine personnage assez ridicule (comme la majorité des adversaires de DD, de l’Homme aux Echasses au Matador), devenu psychopathe dans les années 70, Miller & McKenzie en ont fait, dans Daredevil #166 (in Strange n°163) un être torturé, tentant de vaincre ses démons. Miller continue de réhabiliter le personnage en faisant de lui la victime d’un incroyable coup du sort qui le fait accuser d’agression contre plusieurs jeunes femmes. Le scénariste en profite pour brosser le portrait d’une victime de ce genre d’agression qui, des années plus tard, continue de souffrir tant physiquement que moralement. (Daredevil #173, par Miller & Janson).
Dans Rom, les Spectres Noirs continuent de s’en prendre à des enfants. Cette fois, Bill Mantlo nous offre un remake du joueur de flûte de Hamelin. Parallèlement, le subplot concernant Brandy et l’armure de Starshine se poursuit, avec les développements que l’on pouvait imaginer. Ca reste ma période préférée de cette série. (Rom #40, par Mantlo, Sal Buscema, Akin & Garvey).

Les deux épisodes du mois des Quatre Fantastiques parus dans Nova n°74 sont on ne peut plus différents. Le premier conclut le combat opposant Galactus aux FF et au Maître de l’Evolution. Un combat au final inattendu, assez farfelu, mais finalement logique lorsqu’on apprend qui en est le responsable. Le second marque le retour sur Terre de l’Homme Impossible, et offre une visite guidée des locaux de Marvel. Pour un récit humoristique j’avoue avoir peu ri, mais en se montrant clément on pourra reconnaître que certains clins d’œil sont plutôt sympathiques. Et puis bon, George Perez est aux crayons… (Fantastic Four #175, par Thomas & John Buscema ; #176 par Thomas, Perez & Sinnott).
L’Homme Impossible est décidément à l’honneur dans ce numéro, puisqu’il est également l’invité de Spider-Woman. Là non plus pas de quoi rire aux éclats, mais après tout le changement de ton dans la série n’est pas si désagréable que ça. (Spider-Woman #45, par Claremont & Leialoha).
Nettement plus sombre est la conclusion de l’épisode double de Peter Parker alias l’Araignée entamé le mois dernier. Mantlo avait démarré sa guerre des gangs entre le Hibou et le Docteur Octopus de manière assez conventionnelle, pour ne pas dire vieillotte, il la conclut de façon étonnamment brutale. Avec des combats assez saignants, un Octopus psychopathe comme jamais, et un Spider-Man qui en vient à employer des méthodes radicales. En relisant le début de cet arc il y a quelques mois, j’avais oublié comment le récit se terminait, et au final cette conclusion (provisoire, l’épisode du mois prochain n’est pas mal non plus dans le genre) m’a autant frappé que la première fois que je l’ai lue, il y a vingt ans. Même Al Milgrom fournit ici l’un de ses meilleurs travaux, c’est dire ! (Peter Parker, the Spectacular Spider-Man #75, par Mantlo, Milgrom & Mooney).

Seul non mensuel de ce mois de mars, Spécial Strange n°35, avec pour l’avant-dernière fois le duo Claremont-Byrne dans ses oeuvres. Un premier épisode centré sur le duo Serval/Diablo, entouré de trois membres de la Division Alpha, luttant contre le Wendigo. Et un deuxième épisode qui, pour le meilleur ou (trop souvent) pour le pire, a marqué de son empreinte les vingt années qui ont suivi : la première partie de « Days of future past ». Pour ceux qui auraient passé les deux dernières décennies en cryogénie, rappelons que le récit se situe dans un futur (2013) où les mutants ont été éradiquées par les Sentinelles, lesquelles ont pris le contrôle de l’ensemble des Etats-Unis, et s’apprêtent à lancer l’assaut contre le reste de la planète. Dernier espoir pour l’humanité : envoyer Kitty Pryde dans le passé où elle devra empêcher l’assassinat du Professeur Xavier, Moïra McTaggert et le sénateur Robert Kelly, point de départ de l’hystérie anti-mutante qui donnera naissance à cet avenir cauchemardesque. Classique parmi les classiques, cet épisode voit également la naissance d’une nouvelle Confrérie des Mauvais Mutants, menée par Mystique, où font également leurs débuts Destinée, Pyro et Avalanche. (Uncanny X-Men #140-141, par Claremont, Byrne & Austin).
En complément de programme, comme toujours, l’Araignée et la Chose. Le Tisseur fait équipe avec l’un des rares personnages plus anciens que lui, et qu’il n’a pourtant qu’assez peu fréquenté : l’Invisible. Le récit est tout à fait oubliable : des truands ont kidnappé Franklin et demandent à l’Invisible une rançon. Que ça peut être con, un truand… (Marvel Team-Up #88, par Claremont, Sal Buscema & Barreto).
Enfin Mark Gruenwald et Ralph Macchio concluent la saga du Projet Pégasus. Ils en profitent pour faire subir à Wundar une transformation radicale et le rebaptiser Aquarian. Les principaux intervenants de cet arc sont présents ici (Quasar, Giant-Man, Thundra) et auront fort à faire pour vaincre la menace du l’Homme Nth. Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris en quoi consiste la menace de ce dernier, ni comment il sera finalement vaincu, mais la caractérisation des personnages et la dramatisation de l’intrigue sont suffisamment bien menées pour qu’on ne se pose pas trop de question. Et puis George Perez, une fois encore… (Marvel Two-In-One #58, par Gruenwald, Macchio, Perez & Day).

C’est tout pour aujourd’hui. Pour les parutions Arédit, en Marvel et en DC, il faudra patienter quelques jours. Je suis à la bourre, je sais. Foutez moi tranquille.

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Ah, ce Spécial Strange n° 34... Sans lui je n'aurai jamais connu les comics Marvel, et ne serai sûrement pas avec vous en ce moment 8)

Pour info, l'homme NTH est tué par Aquarian. Aquarian a le pouvoir d'absorber/effacer toute forme d'énergie, l'homme NTH étant un être d'énergie, dommage pour lui !

:clap: et :clap: again, oh great hérisson!

Par contre, Foutez-moi tranquille, c'est assez tendancieux.. :D

ça aurait pu être pire: tranquille"s" :D

J'avais même pas 2 ans, et vous lisiez déjà des comics, c'est plus un retard a rattrappé, c'est un gouffre... :D

et encore je trouvais que la qualite baissait à ce moment la

et depuis elle a remonté?
paske sinon comment tu expliques le fait que tu lises encore des comics ;)

je lisais plus aredit a l epoque :)
dvait y avoir stern et byrne sur cap america
perez sur avengers
buscema sur thor
zeck sur shang
perez sur jla et teen titans

C'est vrai que les Arédits de cette époque c'était grandiose, dommage que le prix était aussi cher

moi j'ai découvert après, enfin je veux dire par là que je suis née en 79 et que j'ai commencé les comics à 9/10 ans, donc après j'ai récup les vieux numéros au fur et à mesure et découvert mikros à 11/12 ans et ça me plaisait beaucoup

sur ce mois là, LE magazine c'est de loin le spécial strange, grosse grosse claque DOFP
les team up sont au niveau habituel, à l'époque ça me prenait la tête car y avait pas de suivi, maintenant ça me fait délirer, je les prends au seconde degré, j'ai l'impression que les scénaristes étaient en vacances quand ils faisaient ces séries

Titans, rien de spécial, tjs SW avec shira bree, dommage que ce soit plus "canon" dans l'UE SW car le personnage a un super potentiel
mikros on en parle au dessus, pour dazzler je me joins aux commentaires de niglo qui me font bien marrer
new mutants, cool,, la série complète bien les X Men, c'était avant les spin off purement commerciaux

Strange
iron man me soualait a cette époque, j'étais encore désespéré du départ de romita jr et layton, par contre spidey me plaisait bien alors que ces épisodes n'ont pas marqué la série franchement
miller, je m'incline comme tout le monde

Les Nouveautés Arédit (DC)
 

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Episode anniversaire dans Flash n°5 : le 300ème numéro de Flash. Un épisode idéal pour les nouveaux lecteurs pour se familiariser avec la série et ses persos, puisqu’il nous offre au fil du récit une présentation des principaux amis et ennemis du personnage. L’originalité de cette histoire est que le récit nous est fait par un Barry Allen alité, bandé de la tête au pied, et que ses médecins tentent de convaincre que toutes ces histoires de super-héros n’existent que dans sa tête. Les subplots développés dans les épisodes précédents sont donc mis de côté le temps de cette célébration plutôt réussie. (Flash #300, par Bates, Infantino & Smith).
De son côté, Green Lantern entame le deuxième round de son combat contre Sinestro. Après l’avoir affronté sur Qward, cette fois la bataille se déroule sur Terre avant de se poursuivre sur Korugar, la planète natale du Green Lantern renégat. De l’action distrayante. (Green Lantern #124, par O’Neil, Staton & McLaughlin).
En bouche trou, comme d’habitude, un court récit de H comme Héros, tellement navrant que je vais prétendre ne pas l’avoir lu. (Dial H for Hero, in Superboy #38, par Rozakis & Bender).

L’autre mensuel DC et comme toujours très médiocre. Hercule n°5 s’ouvre sur un épisode de Wonder Woman dans lequel l’Amazone se trouve une nouvelle fois réunie à Steve Trevor, mort puis ressuscité puis mort puis etc. Gerry Conway se donne à peine le mal de justifier le retour du personnage. Le reste de l’épisode nous rappelle que Wonder Woman n’a pas vraiment envie de retourner sur le monde des hommes, mais bon, on ne lui donne pas vraiment le choix non plus. Baille. (Wonder Woman #271, par Conway, Delbo & Hunt).
Ce ne sont pas les Super Amis qui vont relever le niveau. Ce mois-ci les jumeaux d’Exor sont kidnappés par l’un de leurs congénères, tandis que les autres héros sont frappés d’amnésie soudaine. Dieu merci, tout est bien qui finit bien. Yaou. (Super Friends #44, par Bridwell & Tanghal).
Quant à la Légion des Super-Héros, plutôt que de s’attaquer à Grimbor qui menace de détruire la Terre, ils préfèrent s’en prendre au nouveau venu Réflecto, sans raisons particulières. Allez comprendre. Et comme ce ne sont pas les dessins médiocres de Jimmy Janes qui vont relever le niveau, tout ça est assez déprimant. (Legion of Super Heroes #278, par Conway, Janes & Patterson).
Dois-je mentionner les deux back-ups du mois ? Dans l’une, Aquaman fait ses adieux aux poulpes pensants de Vortuma et passe la main à Atom, qui n’en méritait pas tant. (Action Comics #530, par Rozakis & Saviuk). Dans l’autre, un certain Jack O’ Lantern, super-héros irlandais accompagné d’un farfadet à nez pointu et bonnet rouge, redresse les torts pour faire son intéressant. J’ai besoin d’un remontant. (Super Friends #44, par Bridwell & Tanghal).

Dieu merci arrive Les Géants des Super-Héros n°9, dernier numéro de ce magazine. Non que cette revue ne renferme que des chefs-d’œuvre, mais deux des trois épisodes de Brave and the Bold sont plutôt pas mal. Batman y est associé à Green Lantern et est invité à se rendre sur Oa, la planète des Gardiens, où Sinestro, encore lui, menace de prendre le pouvoir. Le scénario est plaisant, et Jim Aparo pastiche Neal Adams avec une certaine réussite. (Brave and the Bold #173-174, par Conway & Aparo).
L’autre épisode est nettement moins agréable, en particulier graphiquement. Je n’ai pas réussi à retrouver qui est l’encreur de cet épisode, mais le résultat est assez hideux. Batman s’y associe à un certain Némésis et s’attaque à un gang. On a droit dans cet épisode à une scène pour le moins curieuse, où Bruce Wayne organise une vente aux enchères d’objets nazis dont les bénéfices sont reversés à une œuvre de charité… Autres temps, autres mœurs… (Brave & the Bold #170, par Burkett & Aparo).
Signalons enfin un court récit d’Hawkman aux prises avec le Magicien du Temps (Weather Wizard) qui utilise ses pouvoirs pour rançonner quelques fermiers. Quel manque d’ambition tout de même… (World’s Finest #276, par Rozakis, Infantino & Rodriguez).

J’ai gardé le meilleur pour la fin : Les Jeunes T. n°7. Ah ! Heureusement qu’ils sont là. Les deux épisodes de ce numéro s’intéressent à un autre groupe, disparu depuis des années : la Doom Patrol (en français la Patrouille Z, allez savoir pourquoi). Série tout à fait atypique créée par Arnold Drake et Bruno Premiani en 1963, elle s’était conclue cinq ans plus tard de façon spectaculaire par la mort de ses principaux membres. Depuis plus rien, si ce n’est une tentative à oublier de toute urgence de relancer la série en 1977, par Paul Kupperberg et Joe Staton. Les Jeunes T. comptaient déjà en leur sein un ancien membre du groupe, Changelin, le premier épisode de ce numéro marque le retour de Robotman. Ainsi que celui de plusieurs adversaires historiques de la Patrouille Z. Comme toujours George Perez fait des merveilles, et l’on a droit en particulier ici à l’attaque d’un petit pays par des centaines de robots surarmés. Spectaculaire. (New Teen Titans #13-14, par Wolfman & Perez).
On pardonnera donc facilement à Arédit la publication en fin de revue d’une back-up de Green Arrow d’une inintérêt total, dans laquelle l’archer intervient dans une réunion syndicale qui menace de dégénérer. On oublie. (Detective Comics #524-525, par Cavalieri & Novick).

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génial, tu fais me fais vraiment envie
tu les as tous ces numéros, parfois je me dis que si j'étais né 10 ans plus tot je lirais du DC aujourd'hui ;)

Ce numéro des Jeunes Titans est vraiment génial, et tous ceux qui vont suivre seront de mieux en mieux.

S'il y a vraiment une vieille série donc je conseille la lecture, c'est celle-là

il y en a pleins dont la lecture est conseillee plus que des nouvelles(logique y en a eu plus)
rien qu en vf et chez dc les 1ers omega men la legion (mort de karate kid), jla de perez, camelot 3000...

C'est vraiment la meilleure section de ce forum, j'adore ! :love:

Et quand on voit tout ça on se demande comment l'univers DC a t'il pût disparaître en France !

Je confirme les Jeunes T. : :yo: