Je n’ai pas pris le knight temporal chez d’autre boutiques car l’aurait plus tard par mon fournisseur officiel.
Je le suis trompé en pire Le justice league et le action comics bêtement.

Acion comics 1014
Un numéro que j’ai trouvé lent, mais j’avais lu l’avis et donc n’ai eu aucune surprise. C’es beau mais je ne me suis pas sentit concerné.

Batman curse of the white knight 2
Je n’ai pas aimé ce second numéro. J’ai pas compris comment azrael passe sous le control de ceux qui attaque Brice alors que c’est le joker Qui a été l’element révélateur. Par contre assez sourit au numéro du clown ou a Bruce piètre détective face à Harley. Toujours sublime

Bones parish 12
Je ne sait pas si c’est parce que c’est le dernier, mais j’ai pas été convaincu par cette fin ou tout le monde ou presque s’entre-tue. Par contre sublime.

Docteur strange 18
Et ma meilleur lecture de cette semaine, très drôle. Les dessins sont pas les meilleurs, mais j’ai aimé.

Freedom fighter 8
J’aurais pas du lire l’avis du coup je me suis ennuyé et j’ai tourner les pages plus que lu. Et puis c’est un numéro trop sombre pour moi, malgré l’espoir final.

Superman 14
Pris pour la légion je trouve que je me suis fait avoir quand c’est juste le cliff final. J’ai été désintéresser de la fin du combat entre sup et le gars qui a détruit krypton. Ou des implication pour son père. Graphiquement c’est très beau.

TERRIFICS 19
J’ai même pas lu tellement cette épisode dans le bizarroverse donne pas envie. Moi j’espérais voir celui de red hood and outlaw.

Tony stark : iron man
J’ai complètement décrocher surtout avec se retour non explique (la dernière fois U’on la vu c’etait dans la gem de l’ame en train de se faire bouffer.

Justice League #30
On y est ; on y est enfin. Ce que les lecteurs attendent - autant ceux du titre de Scott Snyder (et James Tynion IV, complètement impliqué dans cet ensemble) que de DC en général. La guerre entre la JL et la Legion of Doom... et un autre événement, qui s'est fait attendre mais fait plaisir.

Bon, c'est cool. J'ai eu peur au début que Snyder & Tynion retombent dans des longues présentations métaphysiques, mais ils enchaînent très vite sur du "pragmatique" et cette sensation de fin du monde épique. Je n'adhère pas au nouveau de Lex Luthor, que je trouve assez raté, mais le duo de scénaristes a réussi à poser toutes les pièces ; ils se lancent maintenant dans le coeur de la partie. Et ça fonctionne ! La série et la saga sont imparfaites, mais l'ensemble est devenu grisant et j'ai hâte de voir la suite.
Surtout vu la fin. La division de l'équipe est ultra-classique mais efficace, et les deux apparitions finales, si elles sont "attendues" depuis le temps, font bien plaisir. Enfin, quoi. Enfin ! Scott Snyder & James Tynion IV me font plaisir, gèrent bien leur intrigue, et Jorge Jimenez livre des planches très solides. Certaines sont sublimes, d'autres un peu moins réussies, mais... non, c'est très cohérent et puissant.
Vivement la suite !

Tu me le conseil ou pas pour le retour de ceux du passé ?

Ils sont la dernière page.
Prends plutôt le prochain.

Superman #14
Clap de fin pour la "grosse" saga de Brian Bendis sur le titre, et notamment sur Rogol Zaar ; le fameux "destructeur" de Krypton, affronté dans la mini-série Man of Steel, revu ici, et finalement maintenant pour le final. Si DC a "spoilé" les dernières pages, en révélant que Jon Kent sera le fondateur de la Légion des Super-héros, il faut avant régler le "cas" Zaar... et, franchement, ça fonctionne bien.

Bon, c'est cool. Brian Bendis lâche les chevaux sur cette fin, et j'y adhère. Il y aura encore des choses à régler sur Zaar et Jor-El, mais l'auteur parvient à créer ce sentiment épique qui fonctionne si bien avec Superman et les sagas spatiales. Ca fonctionne sur moi, et l'arrivée de la Maison El dans la bataille m'a beaucoup plu. La caractérisation de Zod est bonne, sa relation avec Superman aussi, et si DC a spoilé les dernières pages, ça reste une bonne idée sur Jon.
Bendis me plaît, ici, et il est bien aidé par Ivan Reis ; qui tire un peu la langue, cependant. Les traits sont moins fluides, moins sûrs. Le dynamisme est là, la fluidité aussi, et il y a des planches très jolies. Mais l'ensemble est hétérogène, et on sent qu'il fatigue. Mais ça reste très, très correct, et surtout diablement intense.
Vivement la suite. Je suis conquis.

moi c est le contraire.. c est mignon les petites histoires.. mais gratuit quoi..
L histoire d ewing par contre.. l à j etais bien a fond.

Bon je sais que je débarque dedans mais je n’ai rien compris.

Plus qu'un côté, même. (images en spoil)



J'ai adoré tout le récit d'Ewing. Tout ce qui étoffe l'univers Marvel et relie différents points entre eux me régale, surtout quand c'est bien fait.

Le reste, par contre... Beaucoup trop de simples pages de présentation sans grande originalité, je trouve.
Il y a en quand même quelques une de sympa.
Celle de Priest sur Black Panther: comme d'habitude, il ne caresse pas le lecteur dans le sens du poil et a fait grincer quelques dents.
Celle de Meltzer sur Spider-Man, bien sûr. La plus touchante.
Celle sur Galactus, parce que joliment dessinée par Harren.
Celle sur Night Raven, parce qu'après 35 ans de lecture, ça fait plaisir de découvrir un personnage qu'on ne connaissait pas.
Celle sur les White Tiger. Content qu'elles aient eu leur place au milieu de toutes ces superstars et qu'elles aient eu l'honneur de ce qui risque d'être une des dernières pages de Perez.

Pour Perez c est aussi un retour aux sources.. de memoire c est son premier taff le white tiger (enfin les sons of tiger et donc la creation du white tiger originel)

FANTASTIC FOUR : 4 YANCY STREET
C'était mignon, joli et sympa' ; mais complètement anecdotique.
Gerry Duggan scénarise un one-shot dessiné par plusieurs auteurs (Greg Smallwood, Mark Bagley, Luciano Vecchio, Pere Perez), pour plusieurs ambiances mais une histoire. Dans Yancy Street, où vivent les F.F. depuis leur retour, Ben a depuis longtemps installé un centre pour jeunes, au nom de son frère mort, Jacob, dans le cadre de mauvaises fréquentations. Sauf que le centre a été tagué ; il s'énerve. Remonte la piste. Se prend quelques piques d'un jeune, mais aussi d'habitants obligés de partir par la montée des loyers du fait de la présence de l'équipe. S'énerve, se bat avec des gros bras envoyés par des bailleurs agressifs, et finit par trouver un happy-end. Même si Dr Doom se rit de lui.
C'est mignon, oui. Gerry Duggan sait bien écrire Ben Grimm, et sa caractérisation de Yancy Street est correcte. L'ensemble est dynamique, fluide ; ça se lit bien. Le twist est fun. L'émotion est bien dosée, le début est notamment touchant. Les artistes sont bien choisis, et s'insèrent bien, sans défaut de style, ou sans transition qui jure.
C'est sympa', oui. Mais ça sera vite oublié. A conseiller aux inconditionnels du quatuor, et de la Chose.

Marvel Comics #1000
 

Quand l'utile côtoie l'inutile, quand de grands noms sont accompagnés de wannabe ou invités prestigieux pour faire style "Hé regardez, on a des stars au casting", quand le mélange des genres peut te sortir de la lecture avec des choses incongrues (style Star Wars ou Miracleman).
Autant je salue l'effet de style, autant, il y a un paquet de pages (genre toutes celles non issues de la pensée d'Al Ewing qui a une vraie histoire à raconter) qui ne s'apprécient guère sauf dans l'hommage (quand c'est une illustration avec un pavé de texte, ça tranche et donne rarement envie de le lire de suite).
En tout cas, ça permet de revoir des artistes au détour d'une page (George Perez :luv:, Stuart Immonen) quand d'autres sont complètement inconnus (ça s'appelle faire les fonds de tiroir?).
Préférant me concentrer sur l'histoire d'Al Ewing qui dessine une chronologie certes non linéaire dans la lecture, j'ai été pris dans ce jeu de pistes pour ce personnage obscur et il est clair que ce n'est un apéritif qui est là pour lier des périodes ou intrigues à venir, le teaser d'Incoming allant dans ce sens. D'ailleurs, est-ce qu'Al Ewing en sera le scénariste? Est-ce qu'il sera le scénariste à suivre en 2020 pour un futur event?

Au-delà du gadget qui permet de sortir un #1000 pour les 80 ans (cough-cough, ça a dû les faire chier que DC en sorte 2 véritables en 2 ans), c'est une anthologie qui ne risque pas de marquer l'histoire de Marvel (paradoxal selon moi) mais ça fait un beau bouquin à sortir en convention pour le faire signer (je suis friand du concept). J'ai reçu mon exemplaire signé par Al Ewing et d'ici la fin de l'année, il y en aura au moins 6 supplémentaires.

A la rigueur pour les signatures, le bouquin est intéressant, mais sinon j'ai eu du mal à me plonger dedans. Au final je l'ai lu en 3 fois, ce qui est rarement bon signe. Je suis très déçu par ce bouquin... Rien à voir les #1000 de DC.