Buzz Comics, le forum comics du monde d'après.

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-   -   En avril, les critiques partent en vrille ! (http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=72823)

wildcard 06/04/2018 15h41

En avril, les critiques partent en vrille !
 
Penchons-nous donc sur les nouvelles sorties en single issues de ce mois d'Avril. Et commençons par un des titres le plus chauds du moment, le deuxième épisode de Doctor Star & the Kingdom of the Last Tomorrows (from the pages of Black Hammer) par Jeff Lemire et Max Fiumara. Et inutile de tergiverser : toutes les promesses du premier chapitre son tenues.


Quelle densité narrative dans ces vingt pages ! Jeff Lemire est décidément un auteur surprenant : non content de livrer quantité de scripts à droite et à gauche (il travaille simultanément pour Image Comics, Marvel et DC), il développe donc son "Black Hammer-verse" dont la série-mère va revenir bientôt (avec le sous-titre Age of Doom), le titre Sherlock Frankenstein and the Legion of Evil, et bientôt un nouveau spin-off futuriste Quantum of Age ! A quand cet homme dort-il ?

La question pourrait s'appliquer à son héros de Doctor Star car Jim Robinson erre entre présent passé comme un somnambule que le sommeil fuirait à cause des regrets causés par une existence gâchée. C'était suggéré dans le premier épisode, c'est désormais confirmé : la série traite bien du sacrifice et du prix à payer pour une vie d'exploits héroïco-scientifiques au détriment de sa famille.

Et le résultat est poignant, même si le lecteur juge avec sévérité l'attitude de cet homme trop grisé par ses découvertes pour penser aux siens, à l'amour d'une épouse dévouée comme à la présence d'un fils délaissé. Ce même fils qu'il retrouve désormais agonisant dans une sombre et sinistre chambre d'hôpital, constatant avec déchirement que la situation est contre-nature : un père ne devrait jamais enterrer son fils, le cours normal des choses est l'inverse.

Jim Robinson est-il responsable, comme le pense sa belle-fille, de la mort de sa femme, Joan, elle aussi décédée d'un cancer, et de l'état terminal de Charlie, à cause des instruments alimentés par de l'énergie cosmique radioactive du Dr. Star ? Lemire reprend là un soupçon qui était pointé sur le Dr. Manhattan dans Watchmen et dont se servait, en coulisses, Ozymandias, pour l'obliger à quitter la Terre. Mais là où le demi-dieu d'Alan Moore était un être détaché des simples mortels par sa condition, le héros de Lemire est juste un vieillard accablé qui, dans un sursaut fou, décide de reprendre son activité héroïque avec pour ultime mission la plus impensable des tâches : guérir son fils, vaincre la mort !

En passant, il glisse un réflexion sur les héros brutaux de la nouvelle génération, là aussi comme Moore réagit contre la tendance qu'il avait involontairement lancée, par rapport à la bravoure plus chevaleresque des super justiciers d'antan, dans une scène avec Wingman, admirable de justesse sur la vieillesse, le temps qui passe, les codes moraux selon l'époque. Le temps est aussi au coeur de cet épisode, avec un dramatique rebondissement, qui souligne encore davantage à quel point Dr. Star était à la fois un homme de science dépassé par son propre enthousiasme (une illustration tragique du célèbre "science sans conscience n'est que ruine de l'âme"...).

Max Fiumara illustre toute cette matière, abondante et fluidement racontée, avec un brio égal à l'excellence de l'écriture. Sa collaboration de longue date avec le coloriste Dave Stewart (qui l'accompagne, comme beaucoup d'autres artistes, sur les titres liés à Hellboy) traduit à la perfection toutes les nuances d'ambiance entre les époques, les lieux, les émotions qui traversent les personnages.

Le défi graphique majeur de Doctor Star est de rendre compte d'une variété fulgurante de scènes : on démarre ici dans la pénombre d'une chambre d'hôpital-mouroir, puis on enchaîne par un flash-back en 1951 dans l'observatoire de Jim Robinson, un au-revoir dans le salon d'un pavillon de banlieue des 50's, un voyage galactique et un combat spectaculaire et éclair contre un dragon, ponctués par des retours de nos jours à l'hosto et dans un bar à la décoration volontairement expédiée car l'important est plus ce qui s'y échange que la précision du cadre.

Fiumara et Lemire pourraient tirer sur la corde, dans le pathos ou l'action : ils préfèrent miser sur la sobriété et l'écoulement à la fois imperceptible et vertigineux de leur histoire, ce qui rend la lecture à la fois rapide et mémorable, brassant les sentiments sans omettre le divertissement et la réflexion. Lorsqu'on parvient à ce niveau de maîtrise narrative et graphique, il n'y a plus qu'à s'incliner. Vivement le mois prochain pour la suite !

Slobo 06/04/2018 21h32

All New Wolverine 33 (Dites 33 ^^ )
Marvel ; Scénariste Tom tu va me manquer Taylor ; Artiste Ramon Rosanas heureusement.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1791827548.jpg
Pitch :
Le futur Wolverines ont fait régner l'ordre à Madrijpoor (Oui c'est possible). La première Wolverine est son nouveau costume Stark, n'est autre que Gabby, la seconde en retrait est Laura.

Vous verrez :
- Le nouveau costume très classe de la nouvelle wolverine.
- Que Jonathan a fait des petits
- Des infos sur une possible futur qui n'arrivera surement jamais.
Avis :
Couverture - Sympa et dans la thématique. J'aime beaucoup 2/2
Scénario - Que j'ai aimé encore une fois et pourtant j'avais peur avec cet arc dans le futur. Mais en fait tout passe parfaitement avec de très beau moment. Et le final me donne envie de vite dévoré le numéro suivant. Ca va être dure de passer après le run de Taylor ! 3/3
Dessins - Au moins c'est pas Cabal (Qui doit lui bosser le X23 qui me fait pas du tout envie). Du coup on y gagne même si c'est loin d'être le meilleur que j'ai pu avoir sur le titre. Mais c'est vraiment bon. 3/3
Sentiments - Encore un putain de bon arc. Que ce titre va me manquer ! 2/2
10/10 et un grand merci à Taylor je rappel que j'étais venu sans être emballer et dès le 1 il a réussit à me fidéliser. :flex:

Slobo 06/04/2018 21h39

Avengers No surrender 687
Marvel ; Scénariste Mark Waid ; Al Ewing & Jim Zub ; Dessin Paco Medina ; Encrage Juan Vlasco.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...8175045500.jpg
Pitch :
Les conséquences des retombés de la fin des numéros précédents avec ici les vengeurs faisant un pose avant de repartir à l'attaque pour tenter de sauver la terre.
Vous verrez :
- Que Jarvis pourrait faire Coach de vie.
- Que Wonder Man aussi mais en moins convaincant
- Que le dernier joueur restant à encore des comptes à régler.
Avis :
Couverture - Oui je vois ce qu'il veulent dire, mais non c'est jolie mais ça vient un peu tard. 1/2
Scénario - Numéro de transition bien décevant. Si la petite discussion entre le majordome et le docteur marche bien, là seconde entre Wonder Man et Lightning m'a fait l'effet inverse que celui voulu. 1/3
Dessins - Au moins il y a les dessins 3/3
Sentiments - J'ai encore 3 numéros à souffrir me semble :ouf: 0/2
5/10
Pour un avis plus précis veuillez patienté j'ai mes scans cette fois à l'heure !

Slobo 06/04/2018 21h46

Batman White Knight 7/8
Marvel ; Scénariste et artiste Sean Murphy.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1308098280.jpg
Pitch :
Si Napier réussit à repoussé le Joker une confrontation avec le Néo Joker le fait encore ressortir et il semble ne plus avoir grand choix. Batgirl elle est allée voir Batman qui refuse de la suivre certain qu'Harley va convaincre Napier de venir le chercher. Et c'est bien ce qui se passe. S'en suit la mise en place du plan d'action et un petit détour par Mr Freeze.
Vous verrez :
- Les flics très très nerveux à chaque réapparition du Joker :D
- Batman qui a encore plusieurs coups d'avance (On le pensait vaincu mais non !)
- Une révélation autour de Jason qui force la main de bruce.
Avis :
Couverture - Encore une superbe variante dans l'esprit du numéro. 2/2
Scénario - Murphy fait vraiment des merveilles. J'adore son univers qui va grandement me manquer. 3/3
Dessins - Juste un plaisir de tourner les pages 3/3
Sentiments - Facilement la meilleurs Bat story que j'ai pu lire. 2/2
10/10 et plus qu'un numéro pour clore ce beau elseworld !

Slobo 06/04/2018 21h56

Doctor Star and the Kingdom of Lost Tomorrows 2
Dark Horse ; Scénariste Jeff Lemire ; Artiste Max Fiumara.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1018268041.jpg
Pitch :
Le docteur star est au chevet de son fils mourant jusqu'à ce que ça belle-fille le chasse manu-militarie. En effet le mari de cette dernière aurait donner des consignes concernant son paternel et notre héros est obliger de partir alors qu'on a un flashback sur ce qui à pu mal se passer pour que la situation familiale dégénère à ce point.
Et dans les présent après un tour au bar notre héros prend une décision radicale.
Vous verrez :
- Très peu de monstre et de combat. Ici l'ennemi c'est le passé du personnage et ses erreurs.
- De trop rare implication familiale dans l'univers comics.
- Un héros défait mais qui garde espoir.
Avis :
Couverture - Très belle est assez en lien à ce que j'ai pu lire 2/2
Scénario - Un scénario très triste mais très tendre et beau sur les erreurs d'un héros et ses conséquences. Comme je le dis plus haut dans le comics ont a très peu d'implication des héros sur leur enfant. Très peu en ont et encore moins ont pu grandir (A part Franklin qui avait vieilli avant de redevenir gamin). Ici on a plein de petite chose intéressante comme le fait que c'est peu être le pouvoir de Dr Star qui a tuer sa femme et tue son fils (Même si pour lui ce n'est pas ça). 3/3
Dessins - Très beau pour ce genre d'histoire, mais pas très parfait. Beaucoup de visage ou de cases reste incertaine. Mais il fait le job. 3/3
Sentiment - J'avais oublié avoir commandé le 2 et je n'irais pas plus loin. C'est pas un comics pour moi. Pas ce que je souhaite rechercher pour le moment. Un peu trop sombre 0/2
8/10

Slobo 06/04/2018 22h05

Demi-God 1
IDW ; Scénariste Ron Marz ou est tu ? ; Art Andy Smith.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...5958548501.jpg
Pitch :
Le héros se présente, puis le cadre avant de revenir à comment il est devenu comme il est. Et c'est encore un bon loser qui va se révéler avoir du sang de dieu et pouvoir trouver un masse (A la place d'une batte) pour devenir un demi-dieu.
Vous verrez :
- Un manageur prêt à se sacrifier pour son personnel.
- Un jeune loser qui souhaite être vu pas celle qui lui plait mais se dégonfle lorsqu'il devait agir.
- Beaucoup trop de "coïncidence".
Avis :
Couverture - J'ai pris la variant, pas mauvais, mais pas très bonne, et en tout cas pas relier à ma lecture. 1/2
Scénario - J'ai trouvé le personnage pompeux et son ancien lui n'aide pas à l'apprécier au contraire. Limite son pauvre ami/patron était lui plus intéressant. Et puis le coup de la batte qui est la masse ... C'est vraiment forcer j'ai trouvé 1/3
Dessins - Bon aux moins il y a de bons dessins. Mais ça n'aide pas du tout à se mettre dedans. Au contraire ça souligne la faiblesse du scénario 2/3
Sentiments - Et bien très déçu par Marz pourtant scénariste de mon green lantern favori (Kyle Ryner). Je n'irais pas plus loin 0/2
4/10

Slobo 06/04/2018 22h16

Fighting America 2
Titans Scénariste Gordon Rennie ; Artiste Andie Tong.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...8891418097.jpg
Pitch :
Fighting doit continuer a combattre les ennemis que lui affecte les nouveaux agents à sa charge (Qui sont là pour lui compliquer la vie plus qu'autre choses). Enfin l'un des deux agent car l'autre est aller voir si ceux qui se disent les petits fils du héros cherche à avoir de l'argent ou serait honnête. Quand à celle qui lui donnait ses missions jusque là, on la retrouve mis au placard dans les archives. Et l'associé de Fighting lui joue au jeux vidéo en VR.
Vous verrez :
- Que l'un des petit fils de fighting et moins bêtes qu'on pourrait le pensé.
- Les origines surprenante de fighting
- Que les journaliste sont toujours prêt à tout pour une exclusivité.
Avis :
Couverture - La kirby par erreur. Sympa mais pas en relation. 1/2
Scénario - J'ai trouvé ça rafraichissant et positif. C'est plein d'humour s'en se prendre la tête. Ca utilise des éléments passé du héros pour le réinventé dans le présent. Et c'est un plaisir de suivre ce personnage déplacé dans le temps qui essaie de survivre au nouveau piège de notre époque. 3/3
Dessins - Un plaisir là aussi, même si pas toujours super-parfait. C'est dans le haut du panier. 3/3
Sentiments - Je ne suis pas déçu de lire et pouvoir défendre ce titre qui se prend un 4 sur un site de review. Je suis choqué de leur violence. C'est peut être pas leur type de comics et a ce moment là il vont chercher du plus triste avec Dr Star ou du plus sombre avec le batman de Murphy. Mais de là a casser autant les auteurs qui je trouve fond une mini très honnête. Ca m'énerve. 2/2
9/10

Slobo 06/04/2018 22h24

Green Hornet 2
Dynamite ; Scénariste Amy Chu ; Artist German Erramouspe.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...9240860692.jpg
Pitch :
Première sortie de Mulan en temps que Green Hornet pour montrer au gang que les rue de Century city lui appartiennent encore. Puis passage au journal qui se voit dépassé par sa concurrence sur un nouveau coup médiatique. Et Mulan va enquêter sur la disparition de Britt en allant interroger Christopher.
Vous verrez :
- Qu'il manque encore des technique de Combat à Mulan.
- Que l'arthrite est la plaie des vieux héros ^^
- Que quand on cherche Green Hornet c'est Green Hornet qui vous trouve !
Avis :
Couverture - Magnifique même si pas plier à ce que j'ai pu lire 1/2
Scénario - Très bien construit et intelligent. J'ai beaucoup aimé ce numéro encore 3/3
Dessins - Les dessins sont aussi un points fort. Même si sur le bateau il use est abuse des cases sans fond. 2/3
Sentiment : A chaque numéro je prend beaucoup de plaisir. J'avais pas vu venir le cliff final qui m'a fait relire une partie du numéro. 2/2
8/10

Slobo 06/04/2018 22h32

http://www.image-heberg.fr/files/thu...1874875471.png
Isola 1
Image ; Scenario Brenden Fletcher et Kark Kerschl ; Artiste Karl Kerschl et Msassyk.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...4655135586.jpg
Pitch :
Une jeune femme accompagne une tigresse qu'elle appel "votre majesté".
Vous verrez :
- De beau dessin de faune
- De beau dessins de personnage
- Encore plein de beau dessin !
Avis :
Couverture - Pas terrible, même si le perso est bien fait et pas vraiment relier 1/2
Scénario - Alors j'imagine qu'au début s'est un rêves. Mais bon c'est mal exprimé. Et puis d'ailleurs rien n'est expliquer. On pêche des infos mais rien n'est vraiment bien expliqué. Et même la fin la pub pour le prochain numéro au début j'ai cru à un nouveau saut à la con. Non parce que entre le rêve et le personnage du vieux qui disparait ça aurait été possible. 1/3
Dessins - Par contre ce que c'est beau. 3/3
Sentiments - Beau mais sans aucun fond. Enfin un fond pas très expliqué et un peu dure à suivre. Du coup moi ça me donne pas du tout envie. 0/2
5/10

Slobo 06/04/2018 22h41

Swashbucklers la saga continues 1
Dynamite ; Scénario Mar Guggenheim ; Artiste Andrea Mutti
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1086107175.jpg
Pitch :
Encore un truc que je vais avoir du mal à expliquer. Alors les Swashbucklers (A mes souhaits) se sont soulever contre un pouvoir dictatorial. Et leur derniers combats à mener leur capitaine à la mort. Sauf que non. Humain à moitié celle-ci se reconstitue dans l'espace avant qu'un navigateurs les récupère (Elle est son second) et doivent les amenés, là où elle demande à aller.
Vous verrez :
- Des bateaux spatiaux. Y'en a ils ont trop vu Albator ^^
- Qu'on peu être toute nue, on aucune pitié pour son sauveur.
- Que pour une équipe sensé être morte y'a beaucoup de survivant en fait :ouf:
Avis :
Couverture - Je l'ai beaucoup aimé. C'est ce qui m'a tenté pour essayer. Mais c'est pas lier à ce que j'ai lu dedans. 1/2
Scénario - Si au début c'est pas si mal ça part très vite dans un sens qui m'intéresse pas du tout et me fait pas du tout aimer les personnages 2/3
Dessins - C'est pas fameux, même si ça fait le travail. 2/3
Sentiments - Je prend le 2 prés commandé et ensuite j'arrête là. 0/2
5/10

Slobo 06/04/2018 22h51

Tinseltown 1/5
Alterna Comics ; Scénario David Lucarelli ; Artiste Henry Ponciano.
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Pitch :
C'est l'histoire d'Abigail dont le père était policier et qui veux elle aussi devenir flic. Mais refuser elle va profiter d'une annonce étrange d'un studio pour espère-t-elle réaliser son rêve. Mais a hollywood rien de ce qui semble être n'est réel et rêve et cauchemars ne sont pas si éloigné.
Vous verrez :
- La jeunesse d'abigail.
- Comment Abigail va devenir agent de la sécurité sur les plateau.
- Qu'on demande bien plus à cette dernière qui n'est pas vraiment de l'ordre des forces de l'ordre.
Avis :
Couverture - Oui c'est sympa et c'est un peu lier mais bateau. 1/2
Scénario - Après un très beau message de l'écrivain qui parle de sa maman et bien j'ai été un peu déçu. Surtout que les agissement de certain homme autour de la jeune femme mettent mal à l'aise. Et puis y'a le coté pas très clair de son role. 2/3
Dessins - Les dessins sont fins et assez beau. Mais parfois loin d'être parfait même si cette cassure apporte une certaine douceur. Après y'a les fond sans aucun décors qui me gène beaucoup. 2/3
Sentiment - Oui c'est original. Mais malheureusement ça me donne pas envie de faire plus que ce numéro. J'ai pris le 2 mais j'irais pas plus loin. 0/2
5/10

Slobo 06/04/2018 23h01

X-Men Gold 25
Marvel ; Scenariste Marc Guggenheim ; Dessin Paulo Siqueira et José Luis ; Encrage Cam Smith et Victor Olazaba.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1112774072.jpg
Pitch :
Alors que les X-men sont gentiment en prison. Un de leurs ennemi s'attaque à Paris et malheureusement Morgan et Captain Britain ne sont pas assez pour faire face. Heureusement Rogue et Rachel ont une équipe qui va pouvoir intervenir si on lui laisse le temps d'arriver. Quand à rogue elle est prostré dans sa cellule pris d'une crise d'angoisse dû à sa claustrophobie.
Vous verrez :
- Le pauvre Pyro qui va servir à rien à part qu'il va bien sentir ne pas être le bienvenu.
- Que storm a un caractère double effet kiss cool parfois.
- Que douze X-men ça fait beaucoup pour un truc assez vide.
Avis :
Couverture - Ce qui m'a donné envie de venir malgré Magyk. Bien lié à ce que j'ai pu lire. 2/2
Scénario - La première partie est sympa après ça devient un peu stupide. Storm sort d'un coup de sa crise sans raison. D'ailleurs je pensais qu'elle avait régler y'a longtemps son soucis de claustrophobie. Et les scénariste amène un éléments what the fuck tant qu'a faire qui arrive pile pour le final. J'ai pas trop apprécier comment Rogue est moqué vu qu'elle a déjà été leader des X-Men (Dans Legacy entre autre) et même des vengeurs. 2/3
Dessins - Au moins y'a des dessins de qualité. La scène en prison m'a ramener au titans de Jurgens et Perrez ^^ 3/3
Sentiment - Ca m'a pas donné envie d'aller plus loins.
7/10

Slobo 06/04/2018 23h10

Zero Jumper 1/4
Alterna Comics ; Scénario & dessin Patrick Mulwolland.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1901140282.jpg
Pitch :
On suit les saut "Temporels" de Juno dernière humaine qui cherche à sauver la terre.
Vous verrez :
- L'atterrissage très raté d'un saut.
- Qu'elle peu avoir une seconde chance.
- Que quelqu'un est sur sa trace.
Avis :
Couverture - J'aime beaucoup et en plus c'est lié à ma lecture 2/2
Scénario - Alors oui c'est pas facile à suivre, mais il réussit à nous raccrocher accrocher en plusieurs points dont une très jolie fin. 2/3
Dessins - Oui c'est beau, et certes les cases ont pas trop de background mais c'est lié à où elle se trouve voir le cadrage choisie. Et puis son petit partenaire fait office parfois de font actif emmenant à lire la case suivant. Alors j'ai aussi pu avoir un doute sur jeune garçon ou jeune fille. Même si les jambes m'amener à penser jeune fille, et son prénom à la dernière cases semble indiquer cela aussi. 2/3
Sentiment - J'ai beaucoup aimé. Je prend le 2 avec plaisir et ferait surement les 4 sans soucis. 2/2
8/10

wildcard 07/04/2018 15h02

Pénultième épisode de cet arc, Marvel Two-in-One #5 paraît juste après l'annonce officielle du retour d'une série dédiée aux Fantastic Four par Dan Slott et Sara Pichelli. Alors que Chip Zdarsky s'est lancé dans une saga dont le dénouement risque d'être expéditif mais que la série qu'il écrit se poursuivra après son sixième numéro, on peut raisonnablement se demander à quoi tout cela aura servi. Même si, et c'est le comble, le titre n'a cessé de s'améliorer, gagnant en vivacité et en envergure...


On ressent quelques regrets en lisant cet épisode. D'abord en songeant au démarrage un peu laborieux de Chip Zdarsky pour envoyer Johnny et Ben dans leur périple dimensionnel : trois épisodes pour mettre tout cela en branle, c'était beaucoup trop finalement, et subséquemment on l'impression que la suite et fin de cette aventure risque d'être vite expédiée dans un affrontement certes titanesque entre les héros de cette Terre parallèle et Doom/Galactus.

Ensuite, donc, cet épisode sort juste après que Marvel ait annoncé officiellement qu'au mois d'Août prochain une série Fantastic Four serait de nouveau publiée, écrite par Dan Slott (qui, libéré d'Amazing Spider-Man, récupérera donc Iron Man et ce titre mythique absent depuis trois ans des bacs) et dessinée par Sara Pichelli (partante depuis quelque temps de Spider-Man : Miles Morales). Une équipe créative attractive (même si je n'aime pas Slott), qui a des chances donc d'assurer des ventes correctes à cette relance. Mais, de facto, le retour des FF entraîne la question de l'utilité de Marvel two-in-one (que l'éditeur n'annule pas) : cela signifie-t-il que les pérégrinations dimensionnelles de la Torche et de la Chose vont se poursuivre en parallèle du retour des FF (ce serait incongru) ? Ou que le titre va accueillir un nouveau duo de héros pour une autre histoire ? Surtout : était-il bien utile d'en passer par là pour finir par un relaunch de Fantastic Four (qui devait se préparer depuis plusieurs mois) ?

Enfin, aux regrets précités vient se greffer la production entière de cet arc, démarré avec Jim Cheung (désormais chez DC, et qui a terminé le #6 avant de partir) puis repris par Valerio Schiti (qui enchaînera avec le Iron Man de Slott). Un sentiment de chaos, d'impréparation domine, même si Zdarsky a maintenu solidement le cap, s'améliorant d'épisode en épisode (la série décollant réellement avec son association avec Schiti). Lorsqu'on se rappelle le nombre de clins d'yeux que Bendis avait adressé à ses fans (dans Guardians of the Galaxy ou Infamous Iron Man) en montrant les FF, il semble évident qu'il convoitait ces personnages (plus que Deadpool ou Wolverine que Marvel lui a proposé pour tenter de le retenir).

Bref, le planning de Marvel laisse songeur, jouant avec les nerfs des fans sur l'éventualité d'un retour des FF pour aboutir à cette situation grotesque où aujourd'hui deux mensuels vont peut-être cohabiter avec ces personnages. Il n'y a rien de logique dans cette organisation qui rend Marvel two-in-one surnuméraire ou la future série Fantastic Four presque prématurée (un comble après l'avoir tant attendue).

Critiquer, dans ces conditions, ce cinquième épisode paraît presque dérisoire. J'ai décidé de finir cet arc, le mois prochain donc, mais je n'irai certainement pas plus loin (ce n'est pas la titularisation comme artiste au #7 de Paco Medina qui me fera persister). Conçue comme une saga au long terme, à la manière de l'exploration de la zone négative (durant le run de Byrne dans les années 80), cette visite du Multivers avec le suspense impliquant le déclin des pouvoirs de Ben et Johnny aurait permis à cet arc inaugural d'avoir une intensité intacte, alors que, désormais qu'on sait que les quatre Fantastiques vont être réunis, tout cela tombe à l'eau.

Zdarsky, je le répète, n'a pas démérité (sinon dans son démarrage trop lent) et encore une fois, on peut voir la profusion d'idées qu'il est capable d'introduire dans un épisode (tous les héros membres du SHIELD, les hérauts de Doom/Galactus, le Dr. Doom de notre Terre qui n'a jamais cessé de suivre Ben et Johnny, le couple surprenant formé par Norrin Radd et Emma Frost). Et Schiti produit des planches superbes, généreuses, aux compositions dynamiques, avec un découpage d'une fluidité épatante (même si le coloriste Frank Martin a la main parfois lourde, grignotant l'encrage à force d'effets).

C'est un peu affligeant de constater comment cette série a été mal fagotée, mais révélateur des tâtonnements de Marvel actuellement (on retrouve la même gestion hasardeuse sur le Captain America de Waid et Samnee qui n'aura même pas eu un an d'existence, ou Guardians of the Galaxy carrément mis en stand-by pour une saga globale - alors même que Marvel avait promis de ne plus en produire une pendant dix-huit mois après Secret Empire...). Pour le coup, le lecteur a vraiment raison de se sentir pris pour un gogo, et ce qui justifie ma désaffection croissante pour les comics Marvel en ce moment.

Slobo 08/04/2018 13h31

Citation:

Envoyé par wildcard (Message 1748277)
C'est un peu affligeant de constater comment cette série a été mal fagotée, mais révélateur des tâtonnements de Marvel actuellement (on retrouve la même gestion hasardeuse sur le Captain America de Waid et Samnee qui n'aura même pas eu un an d'existence, ou Guardians of the Galaxy carrément mis en stand-by pour une saga globale - alors même que Marvel avait promis de ne plus en produire une pendant dix-huit mois après Secret Empire...). Pour le coup, le lecteur a vraiment raison de se sentir pris pour un gogo, et ce qui justifie ma désaffection croissante pour les comics Marvel en ce moment.

Ou Dr strange où Cates ne démérite pas mais va être pourtant remplacer sur le relaunch par Waid qui amène pourtant de nombreux doutes au vu des ses Avengers et surtout de No Surrender où j'ai l'impression que c'est lui (Et non Zub et Ewing) qui guide le marasme !

wildcard 08/04/2018 15h12

L'histoire A Man called X se poursuit avec ce dixième épisode de Astonishing X-Men, écrit par Charles Soule qui fait ce mois-ci équipe avec le dessinateur Aco. Le résultat est ébouriffant mais aussi frustrant, comme si la folie visuelle de l'artiste soulignait plus que jamais les défaillances du scénariste et les limites du concept même de la série. Serait-ce le début de la fin de l'état de grâce pour ce titre ?


Par sa conception même qui consiste à attribuer le dessin de chaque épisode à un artiste différent, Astonishing X-Men selon Charles Soule dépend de l'investissement et du talent de chacun de ces artistes. Mais, sur ce point, à de rares exceptions près, on ne peut pas dire que le lecteur a été floué car Marvel a mobilisé du beau monde, pas toujours issu de la "A-list", mais du solide, de l'atypique, de l'original. Certains fans ont apprécié cette diversité stylistique, d'autres moins (préférant que le titre soit pris en charge par un graphiste unique) : pour ma part, je trouve l'expérience intéressante, parfois passionnante.

Mais l'intérêt du procédé porte en lui-même sa limite. Si l'artiste n'est pas inspiré ou l'épisode moins palpitant, la série pique du nez, et le lecteur ne peut qu'espérer un redressement au prochain chapitre. Tout cela rend l'entreprise aléatoire, d'autant plus que si Soule articule la série en arcs narratifs de six épisodes, l'ensemble relève du feuilleton car la transition entre le premier et le deuxième arcs a été organique.

L'autre souci, c'est que si Soule a un talent certain pour échapper aux poncifs liés depuis trop longtemps aux aventures des mutants (les thèmes récurrents et lassants de la persécution, du communautarisme, du débat entre la volonté de s'intégrer à l'humanité ou de s'en tenir éloigné), il adresse quand même beaucoup de clins d'yeux au passé en convoquant des ennemis emblématiques des X-Men (le Roi d'Ombre, Proteus), donnant l'impression parfois roublarde de surtout donner ce qu'attendent les fans au lieu de vouloir les surprendre. Ajoutez-y un souci de plus en plus flagrant et irrésolu pour animer vraiment son équipe (par ailleurs trop fournie) de mutants, et vous comprendrez que plus la série avance, moins paradoxalement elle progresse (au sens de s'améliorer) : elle reste agréable à lire mais sans corriger ses erreurs.

C'est encore une fois évident ici, d'autant plus que les dessins ont été confiés à Aco, artiste dont la biographie est une véritable énigme (j'ignore sa nationalité, son âge, même s'il a aussi bien travaillé pour Marvel que DC) et dont le style est très influencé par le pop-art et Jim Steranko.

Cette extravagance esthétique aboutit à un épisode en forme de morceau de bravoure : on compte pas moins de 7 doubles pages ! C'est considérable (même si, quand il animait Batwoman, JH Williams III avait livré un épisode entier avec ce découpage, pour que DC soit contraint de placer toutes les pubs à la fin du fascicule), et, je dois l'avouer, un peu fatigant car Aco ne fait pas les choses à moitié : la forme de ses cases, leur disposition sont déjà un vrai feu d'artifices, mais chaque plan grouille de détails, avec un trait fin, et les couleurs flashy de Rachel Rosenberg, sont comme un défi pour le regard le plus aiguisé.

Pour traduire la folie de Proteus à laquelle les X-Men sont confrontés (et le lecteur aussi), c'est parfait, mais quand même un vrai test. Et un écueil car, plus que jamais, cela prouve que la série est totalement dépendante de son artiste : Aco transcende l'exercice et vole la vedette à Soule dont le scénario peine sérieusement à fournir assez de matière pour tenir le choc à un tel traitement. Certes l'équipe se meut pour la première fois comme une formation de combat mais à nouveau, on se demande en quoi Mystique ou Bishop par exemple sont essentiels. Ces Astonishing X-Men ont de l'allure sur le papier mais aucune alchimie dans l'histoire qui les a réunis (réunion déjà très artificielle au départ).

Je vais aller jusqu'au bout de cet arc, même si la perspective de subir Greg Land puis Geraldo Sandoval aux dessins pour les deux prochains épisodes n'a rien pour me motiver, mais après, très probablement, rideau. Il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte et dans le cas de cette série, la magie n'opère plus vraiment car les ficelles sont devenues trop grossières.

wildcard 08/04/2018 15h15

Dans le flot torrentiel des comics, il faut avoir de la foi, chez les auteurs, et de la curiosité, chez les lecteurs, pour les nouveaux titres. Pour se faire un avis, les éditeurs proposent donc des previews, quelques pages pour mettre l'eau à la bouche et pousser à l'achat. En dehors de "Big Two" (Marvel et DC) qui occupent la majorité du marché avec les super-héros, Image Comics est le fer de lance de la BD US alternative en explorant d'autres genres. Dernière potentielle pépite récente : Isola, un projet mûri depuis dix ans par Brendan Fletcher et Karl Kerschl, pour laquelle j'ai eu un coup de coeur.


Brendan Fletcher nous précipite dans cette histoire sans préambule. Nous ne savons pas où nous sommes, ni en quelle époque. L'étrangeté de la situation est soulignée par le graphisme de Karl Kerschl accompagné des couleurs de Msassyk qui montre un tigre bleu. Le plus sensé est de croire que l'action se déroule dans un territoire imaginaire, mais pour le reste...

Il faut donc se plonger dans cette lecture en acceptant le peu d'informations que les auteurs mettent à notre disposition. Cela pousse le lecteur à être actif, à écrire l'histoire en attendant d'en savoir plus, à combler les béances. C'est un parti pris risqué mais, qui si on y adhère, est merveilleusement payant.

Cette jeune femme qui escorte ce tigre fuit quelque chose, dont on devine au détour d'une image qu'il s'agit d'une crise, d'une guerre. Puis il est suggéré, subtilement, que le tigre est une tigresse, prénommé Olwyn, dont ce n'est pas la condition normale et qui est en vérité issue de la royauté puisque Rook, l'héroïne, l'appelle "majesté". Tout s'opère ainsi, par déduction et observation, ce qui nécessite une certaine attention.

Mais, en vérité, ce ne sont pas de grands efforts car les planches défilent, sublimes. Elle sont produites par Karl Kerschl, qui, ces dernières années, était accaparé par la série Gotham Academy, durant les "New 52" de DC. Son trait fin, le soin apporté aux designs, la luxuriance des décors, le réalisme poétique des animaux, alliés aux couleurs fantastiquement belles de Msassyk, sont un enchantement permanent, quasi hypnotique. On est véritablement ébloui par l'esthétisme de ce comic-book.

Un beau livre conquiert le regard mais ne suffit pas à combler le lecteur. Le scénario de Fletcher prouve que l'auteur a conçu un récit palpitant bien que minimaliste, avec seulement deux protagonistes. Chaque rebondissement est à la fois un événement miniature et intense, avec une touche d'étrangeté menaçante. Ici, une hallucination macabre ; là, une ruade d'animaux paniqués ; la présence de chasseurs, le cadavre d'une créature géante (un dragon ?), un vieillard bizarre avec des gredins en embuscade. A chaque fois, au moment où l'on s'y attend le moins, un danger apparaît et complique le périple de Rook et la reine Olwyn.

Image Comics compare ce projet dans sa promo aux productions du studio Ghibli et les dessins animés de Hayao Miyazaki. Pourtant, même si vous goûtez peu à ces films d'animation (comme moi), vous ne serez pas gêné par ce rapprochement. Isola a une identité narrative et visuelle bien à elle, c'est une série forte, envoûtante, prenante, dépaysante. Un nouveau rendez-vous à cocher sur l'agenda des sorties.

Slobo 08/04/2018 16h28

Citation:

Envoyé par wildcard (Message 1748391)
Dans le flot torrentiel des comics, il faut avoir de la foi, chez les auteurs, et de la curiosité, chez les lecteurs, pour les nouveaux titres. Pour se faire un avis, les éditeurs proposent donc des previews, quelques pages pour mettre l'eau à la bouche et pousser à l'achat. En dehors de "Big Two" (Marvel et DC) qui occupent la majorité du marché avec les super-héros, Image Comics est le fer de lance de la BD US alternative en explorant d'autres genres. Dernière potentielle pépite récente : Isola, un projet mûri depuis dix ans par Brendan Fletcher et Karl Kerschl, pour laquelle j'ai eu un coup de coeur.


Brendan Fletcher nous précipite dans cette histoire sans préambule. Nous ne savons pas où nous sommes, ni en quelle époque. L'étrangeté de la situation est soulignée par le graphisme de Karl Kerschl accompagné des couleurs de Msassyk qui montre un tigre bleu. Le plus sensé est de croire que l'action se déroule dans un territoire imaginaire, mais pour le reste...

Il faut donc se plonger dans cette lecture en acceptant le peu d'informations que les auteurs mettent à notre disposition. Cela pousse le lecteur à être actif, à écrire l'histoire en attendant d'en savoir plus, à combler les béances. C'est un parti pris risqué mais, qui si on y adhère, est merveilleusement payant.

Cette jeune femme qui escorte ce tigre fuit quelque chose, dont on devine au détour d'une image qu'il s'agit d'une crise, d'une guerre. Puis il est suggéré, subtilement, que le tigre est une tigresse, prénommé Olwyn, dont ce n'est pas la condition normale et qui est en vérité issue de la royauté puisque Rook, l'héroïne, l'appelle "majesté". Tout s'opère ainsi, par déduction et observation, ce qui nécessite une certaine attention.

Mais, en vérité, ce ne sont pas de grands efforts car les planches défilent, sublimes. Elle sont produites par Karl Kerschl, qui, ces dernières années, était accaparé par la série Gotham Academy, durant les "New 52" de DC. Son trait fin, le soin apporté aux designs, la luxuriance des décors, le réalisme poétique des animaux, alliés aux couleurs fantastiquement belles de Msassyk, sont un enchantement permanent, quasi hypnotique. On est véritablement ébloui par l'esthétisme de ce comic-book.

Un beau livre conquiert le regard mais ne suffit pas à combler le lecteur. Le scénario de Fletcher prouve que l'auteur a conçu un récit palpitant bien que minimaliste, avec seulement deux protagonistes. Chaque rebondissement est à la fois un événement miniature et intense, avec une touche d'étrangeté menaçante. Ici, une hallucination macabre ; là, une ruade d'animaux paniqués ; la présence de chasseurs, le cadavre d'une créature géante (un dragon ?), un vieillard bizarre avec des gredins en embuscade. A chaque fois, au moment où l'on s'y attend le moins, un danger apparaît et complique le périple de Rook et la reine Olwyn.

Image Comics compare ce projet dans sa promo aux productions du studio Ghibli et les dessins animés de Hayao Miyazaki. Pourtant, même si vous goûtez peu à ces films d'animation (comme moi), vous ne serez pas gêné par ce rapprochement. Isola a une identité narrative et visuelle bien à elle, c'est une série forte, envoûtante, prenante, dépaysante. Un nouveau rendez-vous à cocher sur l'agenda des sorties.

Marrant de voir un avis emballé pour un truc auquel j'ai pas du tout accroché. Comme quoi tout dépend de ce qu'on attend ou la manière d'aborder !

wildcard 09/04/2018 15h16

Que va devenir Loma Shade qui a, provisoirement, trouvé refuge chez River, à l'Université de Floride, où le gouvernement a ordonné aux étudiants de signaler toute présence extra-terrestre ? Le deuxième épisode de Shade the Changing Woman apporte quelques réponses tout en réservant des surprises aux lecteurs et à l'héroïne de Cecil Castellucci et Marley Zarcone.


Pour bien apprécier Shade the Changing Woman, il faut en accepter les sinuosités narratives : Cecil Castellucci n'est pas une scénariste qui assène un message direct, elle préfère jouer avec son héroïne, les épreuves qu'elle traverse, et la manière qu'a le lecteur de les apprécier pour suggérer des ambiances, des états d'esprits.

Cette manière de faire peut laisser penser que l'audace de la scénariste est limitée, qu'elle écrit de manière trop prudente, timorée, parce que, précisément, elle ne cherche jamais à imposer les situations, à choquer, à susciter le malaise. Mais là encore, c'est une fausse piste : tout est ici affaire de dosage, de mesure. En avançant lentement mais sûrement, le récit permet au lecteur d'appréhender la finesse de ce que subit Loma.

Dans le premier Volume de la série, toute l'astuce consistait à montrer comment une extra-terrestre en investissant le corps d'une jeune fille en apparence bien sous tous rapports découvrait qu'il s'agissait en vérité d'une petite garce. Confrontée à un retour de bâton, jusqu'à la réapparition fantomatique de Megan Boyer, elle essayait de se racheter de fautes dont elle n'était pas directement coupable, avant de fuguer, découragée.

Désormais, c'est à un autre cas de figure que Loma est confrontée puisqu'il ne s'agit plus simplement de composer avec ce que Megan Boyer a fait (ce stade est désormais dépassé), mais avec ce qu'on pourrait faire à l'extra-terrestre qu'elle est si elle était découverte. Le gouvernement américain attend des étudiants qu'il signale toute présence étrangère à notre planète et River ne peut plus accueillir Loma (sans compter qu'elle est une fille dans un dortoir masculin, ce qui est interdit par le règlement intérieur).

Loma essuie aussi la colère et le ressentiment, justifiés, de Teacup lorsqu'elle se tourne vers elle. Justifiés parce qu'elle l'a laissée sans nouvelles des années durant et débarque dans sa vie sans se poser la question de savoir si elle y est la bienvenue.

Cecil Castellucci, en répétant ces scènes où Loma est poussée vers la sortie par ses deux meilleurs amis, évite les grandes effusions, les portes qui claquent, les emportements : River a peur aussi bien pour elle que pour lui, Teacup est plus blessée que vraiment furieuse. Mais Loma finit l'épisode plus seule que jamais, avec pour tout appui moral Rac Shade dont les conseils sont certes judicieux mais peu réconfortants. On ressent à la fois de la peine pour elle tout en comprenant les sentiments qui dictent les réactions de River et Teacup. Et le subplot avec le nouveau venu de Meta ajoute au suspense déjà établi par la traque des aliens à l'Université de Floride.

De la même façon que la scénariste se refuse à céder aux effets tapageurs, Marley Zarcone privilégie un dessin déjouant l'attente des lecteurs. La délicatesse de son trait, qui permet aux couleurs douces de Kelly Fitzpatrick de maintenir ce look acidulé à l'histoire, souligne davantage l'expressivité des personnages dans notre dimension que les excentricités du découpage, celles-ci étant réservées aux moments passés entre Loma et Rac Shade.

Dans ces dernières pages, on évolue dans des fonds qui se substituent à des décors classiques, une séparation commode mais que la dessinatrice sait varier, faire palpiter avec habileté. Où se trouve-t-on d'ailleurs exactement ? Rien ne le précise, ne l'indique clairement. C'est une sorte d'au-delà pop-art, doucement psychédélique, une sorte de bulle où la jeune fille s'abrite aux côtés d'un mentor qui lui rappelle en permanence de se méfier des humains, de ne pas s'isoler mais de faire face aux problèmes qui la submerge. Leur relation est celle d'un mentor et de sa disciple : Rac Shade en sait plus que Loma et il alterne préventions énigmatiques puis plus radicales. Marley Zarcone illustre cela par un motif récurrent où Rac fait tomber ou entraîne Loma dans une chute comme s'il fallait ça pour qu'elle apprenne à se relever, à être plus endurcie. Cette mobilité dans cette dimension tranche avec les scènes plus sages où Loma sollicite l'aide de River et Teacup (même si Zarcone se permet quelques délicieuses fantaisies, comme une pleine page digne d'une affiche de music-hall).

Des mises en garde de Rac Shade à celle du critique envers les lecteurs curieux, tout est affaire d'approche dans cette série : Shade the Changing Woman s'affirme comme le récit non pas tant d'un apprentissage mais d'un enseignement pratique.

wildcard 09/04/2018 15h19

Pénultième épisode de cette mini-série, Rogue & Gambit #4 maintient ferme son cap et progresse vers un dénouement qui promet d'être explosif. De quoi donner un avant-goût des prochains projets (mutants ?) de Kelly Thompson ?


Etant abonné à son blog (http://1979semifinalist.tumblr.com/), je peux suivre régulièrement les déclarations et réactions de la scénariste de cette mini-série et, bien que je ne sache pas si elle se vend bien, il est évident qu'elle est soutenue par une base de fans fidèles et enthousiastes, qui réclament déjà une suite, louant la justesse avec laquelle l'auteur a su saisir la personnalité des deux héros.

La rumeur court aussi, surtout depuis que Kelly Thompson a signé un contrat d'exclusivité chez Marvel, qu'elle va être très active dans les prochains mois. Elle-même a confirmé travailler sur (au moins) trois projets (deux certains, le dernier encore en chantier, l'un d'eux impliquant Kate Bishop/Hawkeye). Et comme il semble que l'éditeur veuille avant la fin de l'année recomposer sa franchise mutante, probablement en restaurant le titre emblématique Uncanny X-Men, on peut imaginer que Kelly Thompson soit celle qui l'écrira, avec parmi les membres de l'équipe le couple Rogue et Gambit...

Tout cela donne à notre lecture actuelle une perspective particulière, comme s'il s'agissait d'un tour de chauffe. Depuis quatre épisodes, on a pu vérifier que Thompson connaissait bien l'histoire des X-Men via le couple Remy Lebeau-Anna Marie. Elle sait aussi construire des intrigues qui montent en puissance (comme ce fut déjà le cas durant son run sur Hawkeye), et son talent de dialoguiste parachève le tableau, avec un ton très alerte, malicieux et une pointe de sentimentalisme.

Dans ce quatrième chapitre, c'est comme si toutes ces qualités étaient réunies et soulignées par la situation même : l'action se déroule sur quelques minutes à peine, à toute allure, avec un twist au début qui place les deux héros dans une position complexe, et une chute haletante (qui promet une bataille finale spectaculaire). On a droit à des flash-backs ponctuant avec à-propos le récit échevelé, et éclairant encore une fois la relation chaotique de Rogue et Gambit. C'est un vrai régal. Tout pour espérer que la rumeur se vérifie : Kelly Thompson donnerait un sacré coup de frais aux mutants si elle s'en occupait tout en respectant leur passé et en combinant l'aspect soap opera et l'action.

Il faudrait quand même, pour que cela ait une allure jubilatoire, qu'on lui adjoigne un dessinateur plus affirmé que Pere Perez : non pas qu'il se débrouille mal, il réussit même quelques jolis enchaînements, s'enhardissant d'épisode en épisode, avec même une double page de baston très aboutie. Mais le hic, c'est qu'il a un trait quelconque qui gâche un peu tout : c'est appliqué, soigné, mais sans identité, typiquement l'oeuvre d'un artiste qui a souvent joué les doublures (et pour des dessinateurs pas forcément plus audacieux que lui, comme Clayton Henry).

C'est sans doute sévère, voire injuste, mais imaginons qu'un Chris Bachalo (habitué des mutants, familier de Rogue) ait eu la charge de ces épisodes, cette mini-série aurait gagné en puissance et en originalité (malheureusement, l'artiste a été placé sur un titre Spider-Man/Deadpool avant de devoir abréger sa prestation car sa femme vient de mourir).

Quoiqu'il en soit, la fin de Rogue & Gambit ne risque guère de décevoir, et l'avenir s'annonce radieux pour sa scénariste, qui aura été la grande révélation des auteurs Marvel ces derniers mois.

wildcard 09/04/2018 15h30

Citation:

Envoyé par Slobo (Message 1748400)
Marrant de voir un avis emballé pour un truc auquel j'ai pas du tout accroché. Comme quoi tout dépend de ce qu'on attend ou la manière d'aborder !

C'est certain que l'histoire peut dérouter : on est plongé dedans sans savoir où, quand et avec qui ça se passe. Les auteurs jouent beaucoup avec cette volonté de donner peu d'infos, de laisser le lecteur y prendre part (ou pas).
Je comprends qu'on puisse rester à côté, ne pas adhérer. C'est un vrai pari. Pour ma part, j'ai vraiment marché. C'est visuellement splendide, l'ambiance est envoûtante.
Mais, en même temps, je n'en attendais rien. J'ai découvert la preview, je me méfiais même de Fletcher (dont le run sur "Batgirl" m'avait laissé perplexe), j'aime beaucoup Kerschl (même si je ne suis pas tout ce qu'il fait). J'y suis rentré sans a priori.

J'espère que d'autres seront aussi curieux car ça a du potentiel.

ArnaudXIII 09/04/2018 16h19

J'avais une très haute opinion de Kerschl jusqu'à ce que je décide de prendre Gotham Academy qui m'a énormément déçu, à tous les niveaux. Et comme le Batgirl s'est très vite essouflé, j'ai plutôt tendance à éviter Fletcher maintenant (si seulement Cameron Stewart pouvait l'éviter aussi et refaire des bons trucs...).

wildcard 10/04/2018 15h27

Citation:

Envoyé par ArnaudXIII (Message 1748496)
J'avais une très haute opinion de Kerschl jusqu'à ce que je décide de prendre Gotham Academy qui m'a énormément déçu, à tous les niveaux. Et comme le Batgirl s'est très vite essouflé, j'ai plutôt tendance à éviter Fletcher maintenant (si seulement Cameron Stewart pouvait l'éviter aussi et refaire des bons trucs...).

Hé bien, j'étais dans le même état d'esprit que toi. Et "Isola" m'a complètement rassuré.
Ce n'est certes que le premier épisode, donc c'est incertain, peut-être que ça va lamentablement se vautrer. Mais il n'empêche, quelle entrée en matière !
Fletcher impose une ambiance, un univers, des enjeux prenants. Et Kerschl sort des planches fantastiques.
Donc, il faut passer outre les précédentes mauvaises expériences et foncer.;)

ArnaudXIII 11/04/2018 07h52

Je tenterai quand le titre sera en promo sur Comixology.

archerhawke 11/04/2018 10h02

J'ai craqué également pour Isola et je dois dire que c'est vraiment sympa. J'étais principalement attiré par le dessin et je ne suis pas déçu, j'ai trouvé ce premier numéro magnifique.
Je suis également satisfait de l'histoire. C'est énigmatique, mais on sent que c'est voulu. Ici pas de préambule, mais comme le dit Wildcard, beaucoup d'indices pour montrer la richesse de l'univers. Comment Olwyn est devenu un tigre, pourquoi est elle en danger, qu'est ce que ces monstres géant représentant des dieux mortels, quels est le but de ces tributs de chasseurs et pour qui travaillent t'elle...
J'ai trouvé également que ce premier numéro jouait bien le jeu du single, ce qui n'est pas souvent le cas en indé, avec une fin qui nous dit que la suite du parcours ne va pas être de tout repos. Et je ne parle pas des deux pages de previews du numéro 2 qui montrent également autre chose...

Mention spéciale pour les positions parfois majestueuse de ce titre qui fait à ces moments ressortir son origine royal. C'est super bien fait !

wildcard 12/04/2018 15h17

Nous y voilà - et doublement - pour la célébration et les adieux, avec ce 700ème épisode de Captain America : le chiffre donne une forme de vertige quand on mesure la longévité du personnage en même temps qu'il offre une perspective dans l'Histoire des comics - bientôt, chez DC, sera aussi publié le millième numéro d'Action Comics ! Mais cet anniversaire est un peu gâché par le fait qu'on lit là les dernières pages produites par Chris Samnee, avec son partenaire Mark Waid, sans qu'on sache encore où on retrouvera l'artiste - qui n'a cependant pas bâclé ses pages pour sa sortie.


Réaliser chaque épisode comme si c'était leur dernier : voilà qui pourra, en Juillet prochain, quand Ta-Nehisi Coates et Leinil Yu les remplaceront, résumer le run de Mark Waid et Chris Samnee sur Captain America. Une poignée d'épisodes sur laquelle n'aura cessé de planer la rumeur de leur succession et certainement assez agacé le dessinateur pour abréger l'aventure, ne prolongeant pas son contrat avec Marvel qui ne lui avait pas proposé de le renouveler.

Quelle que soit l'importance qu'aient accordé Waid et Samnee à la possibilité qu'ils soient rapidement dépossédés de la série, il reste saisissant de constater à quel point l'écriture de leurs épisodes a été marqué par ce sentiment d'urgence. En cela, ils renouent avec la rédaction rapide, hyper-compressé du "Silver Age" (de la même manière que Jeff Lemire sur The Terrifics), comme si chaque nouveau chapitre devait se suffire à lui-même et le suivant proposer une avancée significative, du nouveau.

Cette manière, c'est aussi celle emprunté par Captain America dans son aventure, et plus particulièrement dans ce 700ème épisode. La guerre fait rage. Nommé nouveau leader de la Nouvelle Amérique après avoir détrôné King Babbington, il doit reconquérir les territoires sous la coupe du Rampart, l'organisation qui soutenait le régent déchu. Il y avait la matière à un arc entier mais Waid et Samnee compactent cela en un seul chapitre, très dense, où le héros soldat se fait général, à la fois infatigable, désireux d'honorer la confiance dont les rebelles l'ont investi, et en même temps découvrant que le conflit, âpre, disputée, long, est éreintant, exige des sacrifices, une disponibilité de chaque instant, des décisions impossibles...

En quelques pages, admirables, Samnee montre les jours qui s'égrainent, presque une année entière dans ce futur post-apocalyptique. Pas le temps pour montrer de grandes batailles, les troupes à travers le pays, les pertes et les victoires, tout cela est abstrait. Le focus s'opère sur Captain America qui veut à la fois être partout et sait qu'il ne le peut pas, qui savoure une percée pour ensuite être accablé d'une perte. Ben Grimm appelle à l'aide sans qu'on le voit, New York est atomisé en sidérant ceux qui y assistent à distance. La guerre n'a en définitive pas besoin d'être représentée pour prouver toute sa cruauté, sa barbarie, sa sauvagerie, et sa nécessité.

C'est très finement joué de la part de Waid qui, ainsi, nous permet de nous identifier à Captain America, de partager ses exaltations et ses afflictions, de ressentir son énergie puissante quand il enfonce les défenses adverses et son impuissance désolée quand il ne peut être partout, sachant ce que cela suggère de pertes dans ses alliés.

Et puis, comme je le disais, alors que cette bataille pour la Nouvelle Amérique aurait pu durer six, dix, douze épisodes sans problèmes, Waid et Samnee offrent une issue radicale, improbable, à la fois totalement romanesque, et pratique, pragmatique, une solution à la fois pour leur héros, son épopée futuriste, et l'imminence de la fin de leur run, le départ surprise du dessinateur. Renvoyer Captain America au moment où le Rampart l'a piégé et a permis à King Babbington de débuter son coup d'état explosif.

Plus vite, toujours plus vite : cette série est un bélier qui rue dans les brancards, se moque de la vraisemblance, dynamite la narration, elle va de l'avant sans s'arrêter, et emporte tout sur son passage. Lecteur qui reste en travers de la route, gare à toi ! Il y a quelque chose de grisant dans ce dispositif, à l'image de ce Captain America qui, lui aussi, fonce sans s'économiser. Et qui pourtant possède une grâce étonnante, aérienne, presque poétique, en tout cas magistralement fluide quand à la dernière page on retrouve Lyang, la prédécesseur de Cap à la tête des rebelles, de nos jours, au terme d'une boucle temporelle parfaite. Un chef d'oeuvre narratif mais en toute décontraction, sans crâner, comme si ça avait dû toujours se terminer ainsi. Cette ultime case dessinée par Samnee dit tout du génie de cet artiste prolongeant idéalement le script de son scénariste.

Et maintenant, plus que deux numéros, toujours écrits par Waid et dessinés par Leonardo Romero (avec la participation de guests prestigieux comme Chris Sprouse, Adam Hughes ou Howard Chaykin), ce qui aura quand même de la gueule au moment de passer le relais (tout en collant une grosse pression à Coates et Yu pour faire aussi bien). Entre temps, souhaitons que Samnee ait rebondi ailleurs...

*

La couverture l'annonce : ce numéro contient une histoire inédite écrite par Mark Waid avec des dessins de Jack Kirby. J'ignore comment ce bonus a été fabriqué (probablement un habile montage de cases piochées ça et là dans l'abondante production du "King" quand il dessinait Captain America et redisposées pour coller à un récit miniature de Waid).

L'intrigue est minimaliste (un virus menace les LMD - Life Model Decoys, ces clones robotiques mis au point par le SHIELD - à cause Crâne Rouge. Pour sauver l'affaire, Captain America corrige Batroc et d'autres adversaires avec son efficacité légendaire. Jusqu'à ce que Nick Fury le remercie en lui avouant avoir plusieurs répliques de lui-même, par sécurité, mais aucune du héros car "il est unique en son genre").

C'est charmant, punchy à souhait, et parfaitement dispensable en vérité. Mais comment fêter 700 épisodes de Captain America sans intégrer Jack Kirby, son co-créateur (avec Joe Simon) ?

Fred le mallrat 12/04/2018 16h45

Oui ce sont des planches "empruntées" a plusieurs Tales of suspense (nottament ceux du retour du Skull, celui de la 1ere apparition de batroc et de sharon et un qui se passe durant la 2nde guerre mondiale (qui voit les origines du red skull)..

En effet Samnee n aura pas faiblit sur ce dernier episode (si il y a un episode où il est moins bon c est le 2eme ou 3eme de son court run de mmeoire).
Apres Waid, ile me semble, avait indiqué qu'il ne se voyait pas rester longtemps et avait été convaincu par Samnee... je pense donc que leur run était de toute facon prévu pour etre court par eux.

Bon aprés j ai bien aimé ce 700 qui m a ému par moment. Par d autres, comme tu le dis, on fait fi de la vraissemblance (intrigues mais aussi parfois réaction des personnages). Je trouve que Terrifics est plus moderne.. prend plus de temps, moins de liberté.. on ressent le souffle "silver age" mais la narration et la forme reste moderne... Là le Cap de Waid on est sur le scenar vraiment sur du silver age... Dés la bande Englehart, mcgregor, Gerber... ca aurait été plus developpé pas forcement en longueur mais au moins en substance.
On va pas rentrer dans el détail.

Ceci dit j ai été ému a plusieurs reprises... sur ce 700 particulièrement et sur leur 1er numéro aussi ... "The Strong protect the weak" c est une part de Cap (pas la seule) que j aime...

Apres, je reste encore sur ma fin avec Waid sur Cap.. il frappe juste mais d autre fois non..
La fin aurait été mieux autrement (ca aurait un peu fait penser au Generations : Captain America)
C est un peu ce que j avais ressenti lors de ses 1ers runs.. du bon, du moins bon..
Pour moi il y aura au moins 6 runs devant les siens (Steranko, Englehart, Stern/Byrne, Dematteis, Brubaker, Spencer) mais il est pour moi avec Gruenwald, lee/kirby, Remender...

Slobo 13/04/2018 18h57

Avengers No Surrender 688
Marvel ; Scénaristes Mark Waid, Al Ewing & Jim Zub ; Artistes Kim Jacinto et Stefano Caselli.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1459447543.jpg
Pitch :
Cette fois nous suivons le bolide de l'équipe pendant que le Challenger arrive sur terre pour une confrontation qui risque de laisser des marques. Enfin les deux personnages présenté en début de série pour avoir de l'importance vont avoir leur moment. L'un va devoir faire son choix, l'autre va devoir se servir de ses pouvoirs (Mais pas tout seul).
Vous verrez :
- Quicksilver se la jour Flash.
- Hulk a beau être le plus fort, il fait parfois pas le poids.
- Qu'il est temps de s'assembler pour les ultimes numéros.
Avis :
Couverture - Très jolie et pas loin d'être en lien. 2/2
Scénario - Toujours aussi stupide parfois et vraiment énervant à certain moment

Et sinon tout le passage sur Quicksilver est bien mieux, même si pas hyper gégéne.

C'est un numéro de transition malgré la fameuse baffe. 1/3
Arts - Très beau c'est au moins ça même si y'a encore trop de case sans background. 3/3
Sentiments - C'est bientôt fini allez ! Pour l'instant je regrette mettre lancer dedans et pour moi ça salie trois série Avengers qui avait une certaine qualité. 0/2
6/10

Slobo 13/04/2018 19h07

Ben Reilly - The Scarlet Spider 17
Marvel ; Scénariste Peter David ; Artist Will Sliney.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1124338544.jpg
Pitch :
Ben a un choix à faire.

Mais la question se pose alors de ce qui est héroïque ou non et si Ben est bien un héros.
Il va devoir se mesurer à Kaine pour prendre son choix et nous mener au dernier chapitre avant le dernier Damnation.
Vous verrez :
- Un nouvelle figure Mystérieuse, car Peter David en profite pour ses subplots.
- Un combat entre Scarlet Spiders ... Manque juste une version de MVP et ça aurait été le pied :D
- Que Peter David se stabilise avec d'ancien arc pour régler le soucis lié à Damnation.
Avis :
Couverture - Très belle couverture bien en lien avec l'épisode. 2/2
Scénario - Avec Dr strange ou ce qu'il vit n'est pas ce qui est réel, je me suis demander si Peter David utiliserait la même petite subtilité. Mais non il s'appuie sur ses arcs et en plus interroge de manière intelligente sur ce qu'est être un héros. Et sans renier le nouveau Ben Reilly entaché par l'arc de Slott. 3/3
Dessins - J'ai trouvé Sliney bien meilleur ici que sur l'épisode précédent. Il s'amuse et nous avec lui. 3/3
Sentiment - Peut être pas parfait mais ça ne mérite pas un 4/10 comme j'ai pu le voir sur des avis en VO. Je trouve même que Peter David c'est bien repris après le numéro précédent. Mais on est loin du Peter qui savait être meilleurs que l'event central. Mais après tout ce qui lui arrivé on ne peut que lui pardonné. 1/2
9/10

Slobo 13/04/2018 19h16

Champions 19
Marvel ; Scénariste Jim Zub ; Artiste Sean Izaakse.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...7730175575.jpg
Pitch :
Les champions font une surprise à Nova et Miles leur présentant leur nouveau vaisseau/QG. Il décide d'être plus mondial qu'auparavant et vont enquêter sur un mystère en Arctique.
Vous verrez :
- Que Riri à du mal à se sociabilisé.
- Que Viv à préféré coupé toute ses émotions (Comme si ça avait aider vision par le passé ^^ )
Vous ne verrez pas :
- Ni Moon Girl, ni Locus, ni Patriot.
Avis :
Couverture - Pas très belle et assez générique mais au moins avec la nouvelle équipe. 1/2
Scénario - Un scénario de transition qui amène plein de petite chose assez bonne, je retrouve le Zub que j'ai aimé sur Uncanny Avengers. Bon mystère et bon cliffanger. 3/3
Dessins - Izaakse moi j'aime beaucoup même si ce n'est pas Ramos. C'est de très bonne qualité. 3/3
Sentiments - J'avais plus qu'un doute après les trop nombreux numéros de No Surrender. Mais je vois qu'ici la série de son potes de travail Mark Waid, les jeunes sont en de très bonne mains. 2/2
9/10

Slobo 13/04/2018 19h25

Detective Comics 978
DC ; Scénariste James Tynion IV ; Artiste Javier Fernandez.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1581787123.jpg
Pitch :
Batman et Red Robin enquête sur ce qui a pu arriver au deux membres de la colonie qui ont tenté d'envahir la batcave. Bruce a décider d'un rendez vous en terrain neutre avec Kate et son père. Pendant ce temps Ulysse continu son plan piégeant le rendez vous, et plaçant Azrael et Batwing en bien mauvaise posture, ainsi que Cassie qui était pourtant à discuter avec Red Robin.
Vous verrez :
- Batman et Red Robin en action.
- Que Cassie a encore du mal à avaler ce qui est arriver à Basil.
- Que Ulysse c'est choisie un nouveau pseudo.
Avis :
Couverture - Très belle mais pas du tout relier à ma lecture. 1/2
Scénario - Juste géniale. Très bonne gestion des personnages et de son univers. Tynion IV va me manquer c'est certain. J'espère qu'on reverra Cassandra quelque part. Il ferme son run sur un très belle arc. Et j'avoue j'avais pas vu arriver le nom que se choisirait Ulysse :

qui est plus le nom d'un ancien ennemi de superman dans les années 90. 3/3
Artiste - Encore juste superbe. S'aura était un plaisir graphique jusqu'au bout. 3/3
Sentiment - La transition d'être difficile mais déjà je profite du dernier Arc de Tynion IV. 2/3
9/10

Slobo 13/04/2018 19h35

Doctor Strange 388
Marvel ; Scénariste Donny Cates ; Artiste Niko Henrichon.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1620416246.jpg
On revient sur la décision de bats dans Damnation

Bats va donc devoir persuader Stephen que ce qui l'entour n'est pas réel et qu'il faut sortir de là. Mais lorsque la sortie est évidente il ne peuvent qu'aller à l'avant d'un piège.
Heureusement même dans ses pires moments Stephan n'est jamais seul.
Vous verrez :
- Bats faire la leçon à Stange.
- Ce qui est advenue des âmes que détient Mephisto.
- Qui semble être l'allié qui va aider Stephan a renverser Mephisto (Mais à quel prix ?)
Avis :
Couvertures - Très belle, bien dans le thème du casino et/où du Necrotic Sub-Realm. 2/2
Scénario - A part une longue répétition de ce qu'on a pu voir dans Damnation, une très belle gestion de personnage. Et j'espère qu'avec Waid devenant le futur seul maitre à bord du destin de Stephen on ne perdra pas Bats (Je l'adore). 3/3
Dessins - Je dois me faire de plus en plus à chaque numéro à Henrichon car j'ai grave kiffer. 3/3
Sentiments - Je regrette vraiment pas d'avoir suivit le run de Cates et je regrette et trouve vraiment injuste qu'on lui préfère Waid. Parce que c'était pas évident de passer derrière Aaron et il l'a fait avec sa patte et très grande qualité. Waid risque de devoir faire gaffe, surtout si comme je pense c'est lui le leader de No Surrender. 2/2
10/10

Slobo 13/04/2018 19h47

Domino 1
Marvel ; Scénariste Gail Simone ; Artist David Baldeon.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...5210770244.jpg
Pitch :
On a offert à Domino un chiot pour son annif. Mais Domino tente de faire comprendre en chien que se serait une erreur de s'attaché avant de fondre pour le chiot. On remonte un peu en arrière pour voir la dernière mission de Domino en compagnie de ses deux alliée - Outlaw et Diamonback. Tout ça pour revenir à son anniversaire, mais surtout à ce qui va arriver alors que Domino se repose seul.
Vous verrez :
- Que Domino n'a pas de chance avec son pouvoir.
- Que Domino apprécie plus être seul avec Diamonback que parmi les héros là pour son annif.
Vous ne verrez pas :
- Copycat (Vous comprendrez à la fin ^^ )
Avis :
Couverture - Des plus classiques avec la pose qui va bien et très jolie mais ça donne rien de l'intérieur. 1/2
Scénario - Gail "Birds of Prey" Simone nous met trois personnage féminin et on ne peut que faire un parallel. Et pourtant avec Dinah elle la remettait au premier plan et ramener son cri sonique. Ici elle se moque de Domino via son pouvoir qui lui jouerais des tours. Difficile de ce faire un avis juste sur ce 1.
J'aurais aimé Topaz lié à l'univers Malibu et dont Marvel a enterré tout les personnages. Mais Gail prouve avoir potassé les ex-alliance de Domino ou moment (Comme le X-force de Del'Otto). 2/3
Dessins - J'aime Baldeon qui ici fait de très belle femme (Et Domino en dessous et vraiment classe). Après son méchant me fait penser un peu à Necrodamus dans son récent Spirit of Vengeance. 3/3
Sentiment - Pas fan de Domino je ne peux me prononcer. Et rien ne me donne vraiment envie de prendre le 2 pour creuser. Et vous allez me dire mais comment tu peux ne pas aimer Domino. C'est simple lorsque je l'ai connu et adoré ce n'était pas elle mais Copycat.

Slobo 13/04/2018 20h00

Exiles 1
Marvel ; Scénariste Saladin Ahmed ; Dessin Javier Rodriguez ; Encrage Alvaro Lopez.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1165455449.jpg
Pitch :
L'Unseen assiste de sa place sur la lune à la destruction d'univers dans le mutlivers et si personne n'arrête cette "vague" c'est l'univers originel qui serait une nouvelle fois menacé. Mais il ne peux agir, alors il profite qu'un autre lui, un ancien lui d'un autre univers, lui est ramené le Talus et fait appel à un champions. C'est de bien entendu Blink qui va y répondre mettant un terme à son diner avec sa tante (Enfin pas vraiment la sienne vu que c'est sur un autre univers, surement l'originel d'ailleurs, mais bon). Blink va un peu tiquer mais le Talus et le Unseen ne lui laisse pas vraiment le choix et ses premiers saut semble être pour former l'équipe.
Vous verrez :
- Blink, bien relier au Exiles même si c'est plus son passé dans Age of Apocalypse qui est mis en avant.
- Qui est le Time-Eater (Assez classique comme choix).
- Que l'équipe n'est même pas encore complète.
Avis :
Couverture - j'aime assez, même si j'aurais préféré la superbe variante juste avec Blink. Pas vraiment relier puisque seul 3 personnages sont réunit pour l'instant. 1/2
Scénario - Assez touffu faut le reconnaitre. Entre le Unseen et le passé de Exiles de Blink l'auteur risque de perdre les petits nouveau. Et ce que j'ai vu n'est pas mauvais mais pas fameux non plus. J'ai du mal à penser que Marvel le soutiendrait plus que Parker qui n'a eut droit qu'à 6 numéros. Je trouve un trop gros parrallel à Crisis of infinity earth. 3/3
Dessins - Je suis pas fan des dessins même s'il y a une recherche de construction inventive mais qui complexifie un peu le tout encore un peu plus. Et est loin de rendre les allié de Clarice sympathique (Déjà que c'est pas le cas par le scénario). 2/3
Sentiments - Je vais de bien entendu soutenir ce titre que j'attendais. Il leur faudra faire mieux qu'Exiles volume 2, que Web Warriors et ses 11 numéros et X-treme X-men volume 2 et ses 13 numéro ou New Exiles et ses 18 numéros.
A noté que Iron Lad ici sera une version alternative de la version que nous connaissions via Young Avengers et moins sympathique. 1/2
7/10

Slobo 13/04/2018 20h09

Ms.Marvel 28
Marvel ; Scénariste G.Willow Wilson ; Artist Nico Leon.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...2019094750.jpg
Pitch :
Les amies de Kamala n'ont eut d'autre choix que d'appeler Captain Marvel à la rescousse pour combattre the Inventor. Et Naftali a retrouver Kamala et tente de la faire revenir.
Vous verrez :
- Que Captain Marvel va devoir accepter l'aide des amies de Kamala.
- Une réconciliation
- Une très belle fin d'arc avec son retour au affaire.
Avis :
Couverture - Très belle est bien dans l'esprit 2/2
Scénario - Superbe gestion de personnages. Wilson a su mettre en avant les personnages secondaire et les mettre en avant. Ici on a le retour de Kamala mais ses amie y on vraiment gagné. Et au moins Wilson n'a pas oublié les événements lié à Civil War II. 3/3
Dessins - Nico fait des dessins très beau et doux. J'adore ça Captain Marvel que je serais tout à fait près à suivre par elle. 3/3
Sentiment - Elle m'avait manqué je regrette pas d'y être revenu. 2/2
10/10

Slobo 13/04/2018 20h16

Oblivion Song 2
Image ; Scénario Robert Kirkman ; Artist Lorenzo De Felici.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1620899535.jpg
Suite des aventures de Nathan qui veut retourner sauver d'autre personne dans Oblivion Song mais ne trouvera pas l'aide d'ancien allié. Et une fois dans Oblivion il va tombé littéralement sur un des humains qui le recherchait.
Vous verrez :
- L'impact d'être rester si longtemps dans Oblivion pour s'en remettre quand on en revient.
- Qu'il y a au musée un des monstres d'Oblivion d'exposé.
- Qu'un tel retour peu mettre des soucis dans les relations de la personne qui a penser l'autre mort.
Avis :
Couverture - Très belle est bien en lien 2/2
Scénario - J'ai pas relu ce que j'ai lu en français mais c'était une partie qui continue d'ajouter un fort intérêt à la série. 3/3
Dessins - Superbe, ça va bien avec cet univers. 3/3
Sentiments - Je pense que c'est trop lent pour du mois en mois, et j'attendrais le TPB de la suite avec impatience. 2/2
10/10

Je vais manger j'ai encore 5 avis à écrire !

Slobo 13/04/2018 20h55

Red Hood & the Outlaws 21
DC ; Scénariste Scott Lobdell ; Artiste Dexter Soy.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1631223192.jpg
Pitch :
Alors que Artemis fait face à ce que caché Bizarro, Red Hood va seul déguisez ruiné un des casinos de Pingouin. Bizarro accepte de s'ouvrir à Artemis est aurait aimer l'embrasser. Quand au Pingouin il n'est pas dupe.
Vous verrez :
- Que Bizarro à prévu un second plan pour se fournir en kryptonite de synthèse.
- Que Red Hood ne vient pas sans plan d'évasion
- Que Ma'Gun a une nièce plus jeune mais du même nom.
- Que Artemis va voir Luthor.
Avis :
Couverture - J'aime beaucoup cette couverture mais pas lié à ce que j'ai lu. 1/2
Scénario - Un numéro pas mauvais mais toujours sur le même faut rythme. C'est surement dommage parce que j'aurais aimé que ça aille plus loin. 2/3
Dessins - J'adore vraiment Dexter Soy et je vais le regretter. 3/3
Sentiments - C'était mon dernier numéro, je serais surement là pour le prochain volume qui un jour viendrait. Et j'ai pas réussit d'aller aussi loin que sur le volume 1 alors que scénaristiquement j'ai trouvé celui ci meilleur. 1/2
7/10

Slobo 13/04/2018 21h05

Super Mansion 1
Titans Comics ; Scénariste Barry Hutchinson ; Artiste Jake Elphick.
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1191849631.jpg
Pitch :
La league of Freedoom est un rassemblement de héros pas très doué et pas toujours super motivé (Enfin certaine son motivé pour de l'action à l'horizontal). Il affronte d'abord Psyclone. Un clone qui est en nombre énorme et cherche à détruire le monde. Dans la seconde aventure (Car oui c'est deux comics en 1), les héros voit les conséquences de leur idées de se cloner eux même pour laisser le travail difficile à leur clone et eux se reposer.
Vous verrez :
- Que les héros ont une sorte de tuteur qui ne croit pas au fait qu'il ne peuvent être autre chose que des losers.
- Que s'évader de prison peut être simple.
Vous ne verrez pas :
- De scène osé.
Avis :
Couverture - J'ai pris une des variante assez sympa et présente l'équipe mais c'est tout. 1/2
Scénario - Deux aventures plutôt assez drôle faut le reconnaitre. Après c'est un peu limite toute ses références à activités allongé sans allez plus loin que la blague un peu lourde à force faut le reconnaitre. Au moins The Pro fait dans l'humour en montrant un peu d'action. J'ai apprécie le détournement de Tower of Babel ^^ 2/3
Dessins - J'ai préféré les dessins un peu comique plutôt que les moches présentation des héros en 3D. C'est pourtant un dessins pas superbe, mais qui fait le travail. 2/3
Sentiment - Je sais plus si j'ai pris le 2 ou pas. Mais j'aurais pas de regret de pas l'avoir fait. 1/2
6/10

Slobo 13/04/2018 21h18

The Immortal Men
DC ; Scénariste James Tynion IV ; Dessins Jim Lee et Ryan Benjamin ; Encrage Scott Williams et Richard Friend.
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Pitch :
Caden Park fait toujours le même cauchemar ... Un cauchemar où il meurt souvent et parfois ou un étrange personnage le sauve et l'amène dans une Académie pour apprendre à maitriser ses pouvoirs. Normalement ce rêve se fait de nuit mais cette fois c'est en plein trajet de métro. Et Caden est certain de voir le directeur de l'académie dans les passant. Mais sa psy voit plus l'esprit d'un jeune homme qui aimerait faire plus qu'un réel danger. Pourtant les Immortal Men ont été décimer et seul 5 ont survécu, en plus de leur leader. Et c'est Immortal Woman qui cherche à tuer son frère, et du coup va aussi s'intéresser à Caden que son frère aurait peu être contacté.
Vous verrez :
- Vandall Sauvage en gentil 8(
- Beaucoup trop de Caden park.
Vous verrez peu :
- Les personnage en couverture.
Avis :
Couverture - Superbe j'adore, mais très peu en lien, sauf si on l'ouvre. 1/2
Scénario - Je me suis ennuyé avec Caden. Je trouve les nouveaux personnage (A part Caden) très mal présenté et très peu présenté de fait. Pas hyper original la méchante Immortal Woman voulant tuer Vandall. Et franchement je la comprend vu l'ancien Vandall qui se nourrissait de ses enfants pour exister à travers les siècles. Et du coup j'ai bien du mal à le voir du coté des bons. Après faut voir, c'est bien dit par le Bat-joker que les immortal men ont influencer l'histoire. Ils sont donc pas tout blanc. Et justement un autre truc qui passe pas est la présence du Bat-Joker. 1/3
Arts - Sublime, je vois même pas ou Lee s'arrête et ou Benjamin commence. 3/3
Sentiments - Pas très emballer après ce 1. Je prend le 2 est arrête la sans regret. 1/2
6/10

Slobo 13/04/2018 21h28

VS 3
Image ; Scénario Ivan Brandon ; Artiste Esad Ribic
http://www.image-heberg.fr/files/thu...1771702591.jpg
Pitch :
Un journaliste interroge la leader de l'équipe de Flynn sur le fait qu'il a plus de popularité qu'elle, alors que lui a échoué et qu'elle a fait les choses parfaitement. Elle dit s'en foutre mais on voit plus tard qu'elle n'a pas apprécier. Les programmateur eux se demande comment cette popularité est possible et comment y remédier car ils semblent que la directrice des programme aurait aimé se débarrasser de Flynn.
Vous verrez :
- Un flashback de ce qui est arrivé à Flynn pendant le dernier jeu.
- Comment la directrice gère ses équipes et se débarrasse de ce qui lui plait pas.
- Que Flynn est destiné à Mourir.
Avis :
Couverture - Superbe. Au début on peut pensé qu'il n'y a pas de lien, mais avec les ascenseurs en fait si. 2/2
Scénario - Ca se complique, mais du coup ça abandonne le coté jeu de gladiateur que j'aimais bien, même s'il y a la redifusion de ce qu'on n'avait nous pas encore vu. 2/3
Dessins - Sublime j'adore. 3/3
Sentiments - Image est définitivement pas fait pour le mois en mois. J'hésite entre terminer cet arc ou faire le TPB. 1/2
8/10


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