Critiques VO 2024
Kneel before Zod #1
Très sympathique. Joe Casey lance une bonne petite saga sur Zod, qui a installé femme, fils et robots Eradicator sur une planète désormais New Kandor où il prépare autant des Kryptoniens en gustation artificielle, que l'agrandissement de Kandor (n'est-elle pas détruite par Rogol Zaar ?), et un autre enfant avec Ursa. Mais son fils Lor a trouvé une arme secrète préparée par le Général, et considère que son père est devenu trop faible pour l'utiliser. Dru soumet et bannit son fils, avant que des Khunds attaquent. Il les repousse, crispe les United Planets et en torture certains pour voir... alors que Zod a des hallucinations de la famille El. C'est bien, oui. Joe Casey gère bien Zod, tout en suffisance, dans une caractérisation proche du Leonidas de 300. La description de New Kandor est intéressante, avec de bons échanges entre le père et le fils. La fin n'est pas ouf mais l'ensemble fonctionne bien. Graphiquement, Dan McDaid a un style sec et pertinent. Une belle proposition. |
Shazam! #7
Sympathique. Mark Waid enchaîne avec un bon épisode, où The Captain affronte un Bizarro de lui-même contrôlé par Felix Faust et qu'il détourne. Billy apprend que ses parents adoptifs s'endettent pour une grande maison, qu'ils auront quand la leur sera vendue, mais... les dinosaures bureaucrates viennent chercher leur agent. Ça se brouille avec Tawny et The Captain, mais Black Adam attaque car les dinos ont d'abord gêné le Kahndaq. Billy et Adam se battent et... détruisent l'ancienne maison de la famille ! C'est sympathique, oui. Mark Waid gère bien ses personnages, les dinos sont drôles et Black Adam est bourrin mais sans abuser. Billy est aussi agréable à suivre. C'est cool. Graphiquement, Goran Sudžuka livre des planches très classiques mais solides. C'est une bonne lecture. |
Birds of Prey #5
Gros bof. Kelly Thompson ne m'emballe pas ici, avec un épisode de baston et de course poursuite entre les BoP et la créature qui contrôle Themyscira et Wonder Woman. Ça n'avance guère et Dinah se crispe de la fixation de l'entité sur Sin. Gros bof, oui. Kelly Thompson avance trop lentement sa saga, et m'ennuie un peu. D'autant que Leonardo Romero n'est plus là, le charme part et Arist Deyn a un style intéressant mais qui ne m'emballe pas. Je ne suis pas sûr d'y revenir. |
Titans: Beast World Tour - Atlantis #1
Un nouvel one-shot Beast World sur une zone précise, ici Atlantis. Sympathique et efficace. On commence avec Sina Grace et Riccardo Federici qui montrent Aquaman découvrir l'attaque puis organiser la défense de Atlantis en essayant de pousser Tempest à aider les Titans. Ce dernier est encore sous l'influence de Brother Eternity et hésite, mais y va en voyant Aquaman être possédé. C'est bien ; ça fait le job de montrer la réaction de l'Aquafamily et c'est fort joli. Frank Tieri et Valentine De Landro enchaînent avec Vixen, Captain Boomerang et Deadeye qui stoppent un Black Manta transformé, et Amanda Waller qui dirige de loin. C'est bien, aussi. Un peu bavard pour ce que c'est, mais efficace et bien joli. Meghan Fitzmartin et M.L. Sanapo finissent en se concentrant sur Jackson, qui libère des possédés mais Mera est infectée et menace sa fille... qui la repousse avec ses pouvoirs naissants. C'est encore un peu bavard mais réussi, avec des dessins agréables. Une belle surprise, sans fausse note ! |
Doctor Strange #11
Rigolo. Jed McKay fait souffler ses personnages avec Stephen et Clea qui amènent Donna, le bébé de Umar et demi-sœur de Clea, dans une fête foraine. S'ils parlent d'enfants, et se mentent, ils ne voient pas que Donna s'échappe et cache sa présence avec sa magie brute. Elle croise un nouveau Cirque du Crime, est retrouvée par le chien Bats qui s'engage pour elle. Donna est sauvée et Umar la ramènera chaque semaine ! C'est bien, oui. Jed McKay s'amuse et m'amuse avec un épisode rigolo, léger et cool. Ça donne le sourire et ça fait avancer le couple, c'est agréable et prenant. Graphiquement, Danilo Beyruth a un style correct bien qu'un peu figé. Un bon moment. |
J espère que Beast world sera bon au global. J aime bien les éditions d urban pour ce type d évent.
De mon côté j ai commencé l année 2024 en nouveauté comics avec le amazing spider-man 41.. ouais je suis débile. C est juste un numéro de baston. D un côté fisk père vs tombstone plus spidey et miss hulk De l autre fisk junior vs la fille de tombstone alias scarabée. Tout un numéro de bing boom pas très original ni très joli pour un cliff dont on se fout un peu. J ai pas lu les tie in de gangs war la série principale me navre déjà assez |
Fantastic Four #15
Bouh, j'ai failli écraser une larme. Ryan North m'a emporté dans ce très bel et très fort épisode. On suit le précédent et on découvre que le Baxter Building n'est pas réapparu comme prévu après un an d'absence à cause de... Metamind, l'appli vue dans le précédent et qui en fait a pris vie. Metamind a pris le contrôle et a tenté de contacter d'autres super IA dans le monde, mais les Fantastiques l'ont stoppé sans connaître le projet. Metamind a donc caché le bâtiment dans une dimension de poche pour empêcher les Fantastiques de lui nuire. Mais ils développent une autre appli concurrente, ce qui l'affaiblit... et recrée le dialogue car Reed lui propose de collaborer plutôt que s'opposer. Metamind veut accepter mais son créateur la détruit, ce qui pousse Reed à le molester puis à accompagner Metamind sur sa fin, qui est paisible. Le Baxter Building revient de lui-même, les enfants sont saufs et... Reed envoie une photo à Doom, pour le rassurer. Ça m'a touché. Ryan North me plaît sur ce run, mais là il m'a touché avec l'existence et la fin de Metamind. C'est sobre et juste, avec des derniers mots forts. Et la photo à Doom est touchante aussi. Graphiquement, Ivan Fiorelli propose des planches correctes, sans plus. Un numéro qui me marque. |
Citation:
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Vengeance of the Moon Knight #1
Très bien. Jed McKay enchaîne rapidement après la fin de la série précédente et la mort de Moon Knight. On suit son entourage qui gère sa disparition : le deuil avec l'intervention de Ben Grimm pour la veillée juive, puis la Midnight Mission qui poursuit avec l'ex assistante Reese qui mène avec Hunter's Moon, Soldier, 8-Ball et une Tigra enragée sur les anciens sbires de Black Spectre, qu'elle traque. Reese parle même à la psy, mais... elle évoque surtout la soirée où 8-Ball a été fracassé par On prend les mêmes et on recommence. Jed McKay continue sur la même lignée qu'avant, ce qui me va. La place aux personnages secondaires est agréable, et le final est surprenant. Graphiquement, Alessandro Capuccio est aussi sur la même ligne, et c'est cool. Vivement la suite ! |
Episode très fort des FF, en effet la photo envoyée à Doom .... quelle belle idée.
Un run à la fois très classique et très surprenant pour l instant. Je ne sais pas ce que je dois en attendre ni ce qui m attend et c est très rafraichissant |
Tout à fait. Et j'aime l'orientation assumée de raconter surtout de la super science ou de la science fiction crédible. C'est très agréable de voir ainsi les Fantastiques redevenir des explorateurs de la science.
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Star Wars: The High Republic - Shadows of Starlight #4
Sympathique plongée chez les méchants. Charles Soule achève cette mini-série mi bilan de la première période High Republic, mi présentation des nouveaux enjeux en se plaçant du côté des mystérieux Nihil, derrière leur Stormwall qui sépare la République de secteurs qu'ils leur ont pris. Le chef Marchion Ro sait conquérir mais ignore comment gouverner, et accepte de recruter une politicienne cynique et flatteuse, une générale égocentrique mais tueuse de Jedi et un savant fou cruel pour s'organiser... avant la suite de ses plans. Classique mais efficace. Charles Soule meuble les rangs des Nihil avec des sbires aux styles convenus mais ça fonctionne. Ce n'est pas révolutionnaire mais ça nourrit bien le camp des méchants. Graphiquement, David Messina livre des planches anonymes mais correctes. Une fin efficace pour une mini-série correcte, qui relance bien la période. |
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Tu as bien raison !
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Fall of the House of X #1
Petit début. Gerry Duggan n'est pas emballant dans ce lancement assez commun dans l'ensemble Fall of X. Ici, on a droit à un procès précipité de Cyclope, qui crée des doutes de la cheffe de Orchis sur Karima Shapandar et les IA lors d'un échange rapide. Nemrod échoue à tuer Krakoa qui fuit, Wolverine et Colossus sont empêchés de faire évader Scott car Rasputin IV les abandonne pour répondre à l'appel mystérieux de Charles Xavier. Kurt vient aider ses copains et Orchis lance l'éradication des Mutants. Les X-Men lancent leur guerre générale, et Polaris cherche Broo et ses Broods pour attaquer. Bof bof, oui. Gerry Duggan propose des choses correctes mais sans m'emballer, avec un manque de sensation épique et d'élan. Ça se lit mais avec zéro passion. D'autant que Lucas Werneck est en toute petite forme, que ça soit sur la narration ou les dessins, assez pauvres. Pas emballant, non. |
Captain America 5:
C est laborieux. Déjà le mechant qui est un démon qui tue regulierement des humains qui vont "changer" le monde pour le meilleur, c est une idée qui est à double tranchant (un peu comme le outter circle mais je trouve que Lazing et Kelly s en sortait mieux). On voit pas trop non plus où veut nous amener le flashback qui ne nous dit pas grand chose en plus (a part une aventure particulière).. Le dessin est pas moche mais c'est fade et sans relief. Au ang des bonnes choses, JMS tient compte de ce qui arrive dans Doc Strange ou avec Sharon. Je suis moins friand de ses blagues. Au final c est pas nul mais vraiment plat pour l'instant. Je me rend compte d ailleurs que le TP va regrouper les 4 premiers numeros et je comprend pas bien ce découpage puisqu'il semble que le 6 conclue l arc... Je pense malheureusment que Panini va suivre ce découpage qui me semble assez mal pensé commercialement puisque on ne finit pas vraiment un arc et le prochain tome aura des bouts d arc... Bon pour l instant dans les runs récents c est celui qui commence le plus mal.. (si on compte pas Kirkman... je remonterais à Gruenwald qui partait assez mal.) |
Je traduis, c'est vraiment merdique...
Punaise, comment tu ne me donnes pas envie de lire ce numéro... |
Non c est pas merdique.. merdique ni mauvais sinon je finis en diago.. c'est juste pas folichon et ..
Je vous pas comment un non fan il a envie de payer et de suivre.. |
Je suis à jour dans GANG WAR. J'en retiens les excellents travaux de Romita Jr et de Ramon Bachs. Le reste est honorable, exceptés les dessins de SPIDER-WOMAN. Les histoires sont ultra violentes mais le tout est jusque là très lisible. Je m'attends à la mort d'une personne en particulier à la fin du crossover.
Sinon, je tiens à recommander THE MIDNITE SHOW de Cullen Bunn et Brian Hurtt chez Dark Horse qui est un excellent comics d'horreur en 4 tomes. L'histoire (même si pas très originale) fait le taf et les dessins sont sublimes. |
Effectivement, ce Amazing Spider-Man #41 n'est que bourre-pif (avec Peter plus qu'en retrait) mais Jr y met de la patate pour faire passer la pilule.
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A chaque numéro lu, je me félicite d'être revenu sur mon idée initiale de ne pas faire Fire & Ice: Welcome To Smallville.
Joanne Starer continue sa lettre d'amour à la Ligue Bwahaha sans faute note, le #5 en étant encore la preuve. |
Wesley Dodds: The Sandman #4
Sympathique mais lent. Robert Venditti avance tout doucement, en laissant de belles pages à Riley Rossmo quand Wesley est plongé dans ses terreurs, ses doutes, ses actes manqués et quelques visions du futur, à cause de son gaz. Il s'en remet deux jours après, remonte la piste et pense que l'ami de son père est impliqué. Ce dernier est cependant agressé par le voleur, Wesley le stoppe mais l'autre meurt en tombant, après avoir révélé que... les gaz sont déjà aux mains de l'armée. C'est lent, oui. Robert Venditti va très, très doucement, ce qui n'est pas pleinement un défaut mais ralentit un récit classique et finalement peu entraînant. C'est sympathique, sans plus. Graphiquement, Riley Rossmo assure et livre un travail très agréable. Une grosse réussite. Des qualités mais une vraie lenteur. |
Outsiders #3
Oula. Collin Kelly & Jackson Lanzing me perdent pleinement ici, dans un numéro peu accessible, peu entraînant, et qui souffre d'une lourde comparaison. Luke & Kate filent en effet dans une porte (du Porteur ?) ouverte par The Drummer, qui a trouvé des données menant à une dimension étrange. Ils arrivent dans... un Manoir Wayne, où ils croisent quantité de Batmen. Kate croise des Batwomen, issues d'autres réalités, et les Batmen se réunissent et "jugent" Luke, qui n'a rien à faire ici. Il est cependant aidé par un Batman-chevalier-rockeur, qui finalement s'en prend aux Batmen et se révèle être... un Duke Thomas, qui veut stopper le cycle des Bats. Les Batmen reviennent, Luke & Kate fuient et décident de fermer derrière eux. Tout cela semble un plan de The Drummer... C'est étrange, oui. Je ne sais pas ce que veulent raconter les scénaristes avec ce numéro, ils semblent s'orienter sur un "plan" de The Drummer, mais continuent le format un épisode / un événement. C'est désorientant, mais peu entraînant, car l'avalanche de Batmen vient trop près des sagas Metal et Death Metal, où c'était lourd. D'autant que le parallèle est évident avec le crossover Batman/Planetary, et... la comparaison n'est pas en faveur de cet épisode. Graphiquement, les planches de Robert Carey sont trop sombres et confuses. Plus que ce que demande l'épisode. Un raté, clairement. |
Titans: Beast World #4
Efficace. Tom Taylor avance dans sa saga, en bougeant bien ses pièces et en livrant un final dur... mais peu crédible. Ici, on voit Giganta qui veut bien agir mais est transformée et provoque des dégâts dans Ivy Town. Jon Kent aide, mais doute alors que des gens meurent. Les Titans évacuent Giganta, Jon bloque des spores, alors que Peacemaker enlève Chester Runk mais aussi Lex Luthor. Ce dernier hésite à aider Amanda Waller mais accepte, tandis que le Bureau de la Souveraineté critique les Titans et entend anéantir Garro. Nightwing veut le protéger, Swamp Thing aide au sol, mais... Dr Hate stoppe Raven. Waller et Lex envoient Chester dans l'espace - et Chester C'est bien, oui. Tom Taylor gère bien la tension, multiplie les rebondissements et écrit bien "ses" personnages, comme Jon ici. Il gère aussi bien Peacemaker et Waller, mais... bon, le final est bien, mais peu crédible au fond. Ca se lit bien, c'est prenant, c'est déjà ça. Graphiquement, Lucas Meyer livre une prestation correcte mais l'ensemble souffre de l'absence d'Ivan Reis. C'est dommage et décevant. Bon en soi, mais graphiquement décevant vu le départ. |
Action Comics #1061
Je n'aime pas Bizarro. Jamais aimé. Jamais pu blairer. Jamais supporté, même, avec son phrasé imbitable, et son côté neuneu relou. Jason Aaron et John Timms, malgré un grand sérieux et un sens du rythme, n'arrivent pas à changer ce fait. Je n'aime pas Bizarro, pouah. Bon, ceux qui l'apprécient, ou le tolèrent, seront sûrement charmés par ce numéro dynamique, intense, réussi. Ca fonctionne bien, avec un Bizarro intelligent (mais au phrasé relou) qui s'en prend à Superman en C'est correct, hein. C'est fluide, bien rythmé, bien mené. John Timms a de jolies planches, son Superman est top, et ça se lit. Mais je n'aime pas Bizarro. Je reviendrais après Bizarro. |
Green Lantern #7
Toujours lent mais toujours agréable. Jeremy Adams révèle les dessous de la surprise de fin du #6, où l'on apprenait que Kilowog... est mort, et que Hal n'est accompagné que d'une création de son étrange anneau. Ce numéro montre le passé, avec les Planètes Unies qui viennent mener le Green Lantern Corps, et décident de mettre le Secteur 2814 en quarantaine après Dark Crisis (ce qui a du sens, en fait). Guy est missionné pour stopper Lobo, Hal et Kilowog accompagnent le responsable en chef sur Korugar pour négocier une adhésion de Sinestro aux Planètes Unies. Sauf que... trois Yellow Lanterns attaquent, surprennent Sinestro. Hal évacue le chef, mais Kilowog meurt avec les trois ennemis quand ils se rapprochent trop de la Batterie Centrale. Hal évoque ceci à Razer, qui révèle lui que Ca se lit bien. Jeremy Adams prend vraiment son temps, avance tout doucement, mais les épisodes se lisent malgré tout bien. Ce flashback fonctionne, les personnages sont bien écrits, le mystère n'est pas révolutionnaire mais m'intéresse. Hal est bien mené, et... c'est bien, oui. Mais quand même lent. Graphiquement, Amancay Nahuelpan propose des planches solides et jolies, agréables à l'oeil. Un bon moment, mais ça prend son temps. |
The Avengers #9
Dieu que c'est lent, ça. Pas mauvais, mais bien trop lent et convenu. Jed McKay avance à pas de puces son intrigue. On finissait sur les Avengers qui s'éveillent face à la Twilight Court, dans le #8 ? Ce #9 est juste la bagarre, et c'est tout. Au secours. Certes, on les voit morfler face à leurs ennemis désignés, puis changer de partenaires et gagner grâce à Vision qui menace Arthur, alors que Myrrdin s'avance dangereusement vers un Kang affaibli. Mais... c'est tout. C'est trop lent. J'aime bien Jed McKay, mais son intrigue fait du surplace et n'est en plus guère intéressante. Ca se lit vite, mais ça s'oublie encore plus vite. Dommage. D'autant que Francesco Mortarino fait ce qu'il peut graphiquement, sans démériter mais sans briller. Quelle honte, cette irrégularité graphique. Un naufrage, et ça me peine. |
Blade #7
Court. Sympathique, mais court... et un peu laid, aussi. Bryan Hill étend sa saga en liant Blade à Hulk, dont la série actuelle traite aussi des monstres et de leur mythologie. L'idée est bonne, mais on a ici "juste" un épisode où Bruce appelle Blade à l'aide pour exorciser un gamin possédé par un monstre qui en dirige d'autres, car... Banner n'a pas le numéro de Stephen Strange (mais il a celui de Blade ?). Blade râle, se laisse posséder par l'entité pour que Hulk le tape tellement qu'il fasse partir le démon. Voilà, et Blade a "vu" des pistes pour stopper The Adana. Bof-bof. Bon, c'est sympathique, hein. C'est un p'tit épisode classique, mais une rencontre sympathique entre Hulk et Blade. Mais... c'est limité. Ca passerait bien en one-shot, en numéro régulier, ça donne une occasion manquée et un espace utilisé sans intérêt. Dommage. D'autant que... le graphisme ne me plaît pas. Du tout. Valentina Pinti ne livre pas un travail honteux, mais c'est très moyen et je trouve ça laid. Vite lu, vite oublié. |
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Je valide ce premier numéro d ultimate spider-man....
J ai aimé ce petit twist sur l entourage de Peter, j aime J Jonah Jameson.... c est un peu lent mais ça pose bien les persos. Hates de lire la suite |
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The Sensational She-Hulk #4
Ca continue sur la même ligne, et ça me plaît. Rainbow Rowell interroge ici les conséquences des dégâts causés par Hulk, alors que Jennifer tentait de l'arrêter face à April, l'autre Mutée Gamma venue ici tout perturber. La ville se méfie de Jennifer, les gens la rejettent, le quotidien est dur. Jack la réconforte, mais elle ne peut le toucher. Elle veut refuser la sortie prévue avec Patsy, qui insiste, et elles retrouvent Carol, qui tente d'apaiser Jen puis toutes se décoincent en dansant. Tout va bien, mais... le problème de Jack demeure ; et, surtout, leur club semble soudain possédé par des démons ! J'aime, toujours. Rainbow Rowell gère bien les conséquences d'une bagarre, avec le rejet et la peur qui mènent à l'isolement de Jennifer. Cela est intensifié par l'impossibilité de toucher Jack, et donc d'obtenir du réconfort. Les discours de Carol et Patsy se complètent, et c'est cool et touchant. Très agréable. Graphiquement, Ig Guara propose des planches correctes, solides. Un rendez-vous intimiste régulier et agréable. |
The Sentry #2
Surprenant. Pas désagréable, mais surprenant. Jason Loo avance doucement son étrange saga, où plusieurs anonymes sont dotés du pouvoir de Sentry et... traqués par le jeune Ryan, qui les tue et absorbe leurs pouvoirs. Jessica Jones et Misty Knight enquêtent, identifient un lien entre tous via une station de métro, alors que l'autre dépositaire des pouvoirs tente de bien agir. Et Ryan apparaît aux Avengers pour les rejoindre... En soi, c'est pas mal ; mais ça risque d'être long et scolaire si c'est bien l'origine de la jeune fille comme nouvelle Sentry. L'ensemble se lit, c'est fluide même si la multiplication des anonymes tués est lassante. Je suis curieux, mais peu emballé. Graphiquement, Luigi Zagaria propose des planches propres, mais pas épatantes. A voir la suite, mais ça risque d'être long. |
Thunderbolts #2
Pas mal, pas mal. Collin Kelly & Jackson Lanzing avancent leur intrigue, avec ici les conséquences de la mort de Crâne Rouge : ses avoirs et sa fortune vont être redistribués, et cela va se faire au Club des Damnés, sous l'autorité de son Roi Blanc, Wilson Fisk. Bucky y va, en surfant sur son côté super-vilain lié à l'Outer Ring, avec Yelena et Natasha à ses bras ; et Val' qui suit de loin. Fisk menace Barnes s'il tente quelque chose, donc... Bucky tente quelque chose. Les filles identifient l'entité qui "absorbe" la fortune de Schmitt, elles font exploser sa dimension de poche et toute la fortune. Bucky bat Fisk, qui révèle que Crâne Rouge est vivant, et Val' le confirme car Schmitt est Ca se lit bien, oui. Les deux scénaristes présentent des conséquences intelligentes, jouent bien avec la continuité et l'univers partagé. C'est cool, notamment voir Natasha avec son symbiote : l'idée ne m'emballe pas, mais c'est bien que ça soit repris. Par contre, Bucky est un peu concon et... ça n'avance pas tant que ça. Mais c'est prenant. Graphiquement, Geraldo Borges ne m'emballe pas ici : ses filles ne sont pas très sexy, ses hommes passent, l'action est confuse. Dommage. Agréable, mais je m'interroge sur ce que ça veut raconter. |
J'attends mon numéro! ^^
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Rise of the Powers of X #1
Pas mal, pas mal. Kieron Gillen l'autre mini-série de fin de l'ère Krakoa, miroir de celle de Gerry Duggan et écho d'une des sagas de lancement de Jonathan Hickman. Et il s'en sort bien, en respectant autant le principe de Hickman sur Powers of X avec une projection dans un futur possible, apocalyptique pour les Mutants, où en vérité Pas mal, oui. Kieron Gillen est en terrain connu, avec le Dominion et Xavier, et s'en sort bien. Il reprend habilement les éléments de Hickman, et les arrange intelligemment. Le final surprend et paraît "gros" pour en finir avec Krakoa, mais ça a le mérite d'être cohérent ; mais quand même gros. Graphiquement, RB Silva assure et propose de très belles planches. Un bon lancement, qui rend curieux et intéressé. |
Ultimate Spider-Man #1
Je ne suis pas emballé, pour des raisons que je vais développer, mais... c'est la lecture comics qui m'a le plus interrogé, interpellé, et a provoqué le plus de discussions avec des copains. C'est en outre agréable et fluide, et ça confirme ainsi que c'est une réussite. Pas pleine et entière, pour mon approche, mais c'est une réussite. Bravo. Jonathan Hickman relance donc Ultimate Spider-Man, ici, après une étonnante mini-série et un one-shot "rebootant" l'univers Ultimate. Je ne suis pas pleinement convaincu par son approche sur l'univers lui-même, mais ici il en tire des conséquences surprenantes, où chaque scène est une surprise. Cool. Bref, quelle est la situation ? Peter Parker est un adulte de 35 ans ; marié avec MJ, deux enfants : Richard et May. Il n'a jamais été mordu par une araignée radioactive, car The Maker a empêché cela à la fin d'Ultimate Invasion #1. Quelle est sa vie, alors ? C'est bien, oui. Objectivement, c'est bien. Jonathan Hickman surprend, tient le buzz autour, multiplie les surprises, et adopte vraiment une autre approche. On est presque plus ici dans la réalité de la promesse initiale d'Ultimate, le tout-différent, qu'à l'époque du lancement. C'est en outre bien fait. Bien écrit, avec de l'humour (les "PARKER!" de Jonah avec Peter, c'est drôle), un peu d'émotion, beaucoup de surprises. Bien cadré, avec des liens avec Ultimate Invasion et du sens. Bien prenant, bien fluide, bien intéressant et bien joli, avec un Marco Checchetto très en forme, qui livre des planches magnifiques. C'est bien, oui. Mais je ne suis pas emballé. En fait, je ne suis pas emballé car je ne "sens" pas Peter, ici. Je vais spoiler, mais Ok, d'accord. Ca ne me gêne pas de changer les choses, et j'accueille ces changements avec plaisir ; hé, c'est Ultimate, c'est le principe de changer. Ce qui me gêne, c'est que les personnages disent tous que Peter semble toujours en "manque" de quelque chose, décalé donc, en pilote automatique, mais... je ne le sens pas. Je vais être personnel, pour expliquer mon avis ; c'est donc plus mon retour sur moi et ma lecture, et ça peut vous intéresser peu. Navré, donc. Bref, Bref, un épisode qui interpelle et pose des questions. C'est déjà énorme chez les Big Two. |
Comment se fait-il qu'un Peter
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Bonne question. On peut aussi se demander pourquoi "l'autre" y est.
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Sinon, je tiens à recommander THE MIDNITE SHOW de Cullen Bunn et Brian Hurtt chez Dark Horse qui est un excellent comics d'horreur en 4 tomes. L'histoire (même si pas très originale) fait le taf et les dessins sont sublimes.[/QUOTE]
Je recommande aussi. Vite lu mais très fun et très beau mais je suis un inconditionnel du duo depuis Damned. |
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