Ça me casse toujours autant les bonbons ce manque de cohérence entre les séries.

Comme Avengers ou Carole et Tony se disputent genre t as raye ma voiture alors qu ils ont faillis de tuer y a quelques mois

D ailleurs j ai lu le Iron Man 1. J arrives plus à lire Iron Man depuis secret wars. Je vais arrêter. Le fait de pas savoir comment Tony en est arrivé là depuis secret wars m énervé au plus haut point.

Dommage ça a l air cool

Soit. Pour cesser de te gêner quand j'ose critiquer tes favoris mais donner un avis différent du tien, si évident et si définitif, je ne rebondirais plus sur tes critiques et je n'y réagirais plus.
Si tu tiens à discourir seul, et à obtenir absolument raison, j'en prends acte ; mais ce n'est définitivement pas ma conception de la discussion - comme le fait de comparer, continuellement, les auteurs que tu n'aimes pas mais qui peuvent plaire à d'autres, à tes préférés que certains ont l'impudence de critiquer.

J'appréciais de te lire et je te trouvais souvent intéressant, mais ce genre de messages me donne juste envie de t'ignorer définitivement.

Deadly Class #35
 

mes lectures de juin

DEADLY CLASS #35
W : Rick Remender
P : Wes Craig
Fin d'arc. Aucune surprise : un mort de plus, des teenagers indestructibles, des aller retour incessants et une explosion graphique. La réaction d'un des personnages à la fin est disproportionnée et ne colle pas complétement à ce que l'on voit précédemment. Je m'arrête là en single, je verrais avec les critiques si Remender a encore quelque chose à dire sur ce titre porté désormais sur le petit écran. Dommage cela partait bien, il y eu d'excellent moment mais sur la durée ce titre tourne en rond.

Gideon Fall #4
 

GIDEON FALLS #4
W : Jeff Lemire
P : Andrea Sorrentino
En voilà un titre qui n'arrête pas de se bonifier depuis le début. A la différence de Royal City, titre trop tôt abandonné par rapport aux ambitions du canadien, Jeff Lemire sait où il va avec Gideon Galls et à annoncé que la durée dépendrait de l'accueil critique et public. Prudent il ne tire donc pas des plans sur la comète et de ce fait l'histoire avance : le passé de Gideon Falls est exploré dans ce numéro et on découvre l'existence d'une société secrète sensé protéger les habitants de la ville de la grange noire. 0 New York c'est la psy qui ne sait plus où tourner de la tête et se range (bientôt plus ?) du côté de son patient. Le cliffhanger lorgne sur un culte sataniste ou le père Tom risque d'être mouillé jusqu'au cou. Sorrentino se sent surement plus libre car ses pages sont superbes et ses compositions de pages empruntent au grand écran avec des cadrages qui immergent un peu plus le lecteur dans le récit. Une réussite.

Black Hammer Age of Doom #3
 

BLACK HAMMER AGE OF DOOM #3
W : Jeff Lemire
P : Dean Ormston
J'ai eu comme un doute à la lecture de ce numéro. Lemire a t il dans l'idée de continuer la série mère longtemps. Le numéro est bon mais l'accélération dans le récit me semble brutale, trop soudaine. Les scènes d'introspection (Abe et Mark) me laisse un arrière gout de jouets rangés et le retour de Lucy et ses annonces associées à un prochain numéro dans 2 mois me laissent penser, peut être à tord, que la fin est proche. A moins que derrière on enchaine sur une nouvelle saga ? J'ai comme un doute désormais, que Black Hammer ne se développe qu'à travers les spin off (déjà 2 et un troisième à venir le mois prochain).

NB : c'est les Endless de Gaiman qui ont le droit d'être croqué cette fois ci et c'est bien fait, tout comme l'auto clin d'oeil à Sweet Tooth.

Doctor Star & The LAst Kigdom of Tomorrows #4
 

DOCTOR STAR & THE LAST KINGDOM OF TOMORROWS #4
W : Jeff Lemire
P : Max Fiumara
Très beau numéro, avec beaucoup d'émotion à la clé. L'hommage au Starman de Robinson aura tenu toutes ses promesses mais cela va au delà. Une très belle histoire, simple mais puissante. Les liens avec la série mère à travers Abe sont bien fait également.

Bloodshot Salvation #10
 

BLOODSHOT SALVATION #10
W : Jeff Lemire
P : Doug Braithwaite
Donc une nouvelle série, Bloodshot Rising Project, est annoncée pour cet automne. Encore un titre que Lemire va arrêter ? A la fois il tient les rênes du punisher de Valiant depuis suffisamment longtemps pour passer le flingue à d'autre. surtout que c'est un quasi sans faute depuis le début. Toujours deux époques avec une excursion en 4002 histoire de boucler les intrigues et les flashforward entraperçus depuis un moment déjà. C'est également l'occasion de faire du lien avec l'univers Valiant (RAI et Shadowman). J'adore Doug Braithwaite, très à l'aise encore une fois.

Infinity Countdown tie in
 

3 tie in, pas les meilleurs.

INFINITY COUNTDOWN BLACK WIDOW #1
W : Gerry Duggan
P : Nik Virella et Brent Schoonover
L'histoire est tirée par les cheveux. On ne décroche quand on se rend compte qu'à part faire joujou avec sa pierre, Natasha poursuit on ne sait qui pour on ne sait quoi. Duggan s'aventure sur les terres d'Excalibur et nous ramène un personnage mort (comment c'est un mystère) et Merlin n'en finit plus d'être un deus ex machina grimmé en boufon. Décevant tout comme la partie graphique où Nik Virella est en deçà de ce qu'elle sait faire, son trait étant sans énergie ici.

INFINITY COUNTDOWN CHAMPIONS #1 (OF 2)
W : Jim Zub
P : Emilio Laiso
Pas mal même si les Champions se trouvent un peu trop rapidement dans l'espace et les moyens utilisés sont un peu gros pour être crédible surtout quand on voit comment Nova se fait balancer par Warbringer ensuite. La gestion de Thanos me fait un peu peur également. en fait c'est presque bien sauf que Jim Zub écrit un récit trop ambitieux comme si il avait eu les yeux plus gros que le ventre. Quand les Uncanny X-Men, les Avengers ou même les New Warriors partaient dans l'espace cela avit une autre gueule. Je ne connaissais pas Emilio Laiso : c'est propre, dessins très sympa et fort à propos.

INFINITY COUNTDOWN DARKHAWK #2 (OF 4)
W : Chris Sims et Chad Bowers
P : Gang Hyuk Lim
Après un bon premier numéro qui remettait Darkhawk-Chris Powell sur le devant de la scène c'est plutôt la douche froide avec la suite. Mal équilibré, le récit est ennuyeux au possible dans sa première partie avec des dialogues interminables, un Death's Head mal utilisé puis complètement absent. La suite tombe dans le trash avec une digression bizarre sur les humains devenant Raptor surtout quand on voit l'intervention du frère de Robie Rider. On termine avec un personnage en mode super saryen, où plutôt super raptor. Je n'apprécie pas spécialement les dessins de Gang Hyuk Lim.

Je suis indulgent oui. Mais je le sais. Je le cache pas vraiment sur avengers d ailleurs (j ai même du le dire pour le 1 en réponse à une intervention).

Mais franchement je lis de l indulgence dans tes critiques sur pas mal de séries de tes chouchous aussi pas plus ni moins que ma propre indulgence.

Ne t inquiete pas je sais qu avengers de Aaron n est ni la série de l année (ni dans le top 20) ni dans le top des séries de l auteur....

Enfin bon serrez-vous la main, les gars.. c est pas Avengers, JL de snyder ou les séries où on est pas d accord qui valent des disputes.
On les aura oubliées dans 5 ans.

J'ai un peu du mal à me "lancer" pleinement dans Valiant (j'ai les T1 des séries Panini, The Valiant, Bloodshot Reborn, le T1 de la relance récente de X-O, mais j'ai du mal à me pousser à suivre régulièrement même si j'aime bien), mais Bloodshot par Lemire est ce qui me donne le plus envie de combler mon retard.

- Daredevil #604 : Soule poursuit toujours bille en tête son arc le plus mouvementé avec New York en état de siège. J'ai rarement, voire jamais lu du DD aussi délirant mais ce n'est pas déplaisant, même s'il y a une impression de surenchère dangereuse.
Dernier épisode dessiné par Mike Henderson que je verrai partir sans regret car si sa prestation ne démérite pas, je le trouve un peu limité quand même. Et l'arrivée de Phil Noto me fait espérer des jours meilleurs (au moins il sera capable d'enchaîner plus de cinq épisodes).

- Skyward #3 : Joe Henderson maîtrise drôlement bien son affaire pour un type qui écrit sa première série : c'est toujours aussi entraînant en exploitant très intelligemment le contexte vraiment renversant de l'histoire, avec une héroïne attachante et déterminée.
Lee Garbett assure comme un chef au dessin et participe pour beaucoup au charme du récit, utilisant un découpage très habile pour rendre compte de la situation et dynamiser les rebondissements.
Très bonne surprise.

- Man of Steel #5 : un redressement notable après le précédent n° raté, même si le début est visuellement déroutant, avec des pages très sombres, un découpage brouillon.
Bendis s'est bien repris, dévoilant toujours au compte-gouttes les indices sur son subplot, puis développant l'affrontement entre Superman et Rogol Zaar. Le final promet d'être intense sur ces deux plans.
Hughes, passé donc le début, livre des planches superbes où son sens de l'expressivité et de la composition fait merveille. Tout comme Bendis, il sait suggérer habilement comment la Justice League (surtout Batman) comprend le plan du méchant.
La fin la semaine prochaine sera donc aussi le vrai début pour les relances des titres Superman-Action Comics, avec le seul Fabok pour l'illustrer.

- Old Man Hawkeye #6 : la maxi-série arrive à mi-parcours et Ethan Sacks se débarrasse d'un personnage en adressant plusieurs clins d'yeux aux runs de Lemire et Fraction. Le tout dans une ambiance entre Mad Max et Alamo. Les retrouvailles entre Clint et Kate ne font que commencer...
Checchetto ne lève pas le pied et continue d'enchaîner des épisodes d'un niveau impressionnant. Lui aussi cite ses prédécesseurs, notamment dans une course-poursuite que n'aurait pas désavoué Aja.
Entre la surprise du dénouement concernant le "joker" de Crâne Rouge et la révélation promise le mois prochain sur la défaite des super-héros dans le passé, la série ne risque pas de mollir.

Sans enclencher un débat pour/contre Bendis, et au-delà de l'appréciation de sa mini-série Man of Steel, je trouve, objectivement, que celle-ci peut s'avérer décevante dans ce qu'elle propose.
Ce que je veux dire, c'est que la précédente mini-série appelée ainsi racontait, clairement, les nouvelles origines et les nouvelles règles entourant Superman ; le film avec le même nom relançait le personnage au cinéma, avec une origine "modernisée" et légèrement remaniée. Bref, "Man of Steel", c'est une marque, une ambition, une force, bref, la promesse d'un truc gros et marquant.

Or, ici, qu'avons-nous ?
Une histoire, bonne ou mauvaise, qui explique qu'un type a détruit Krypton lui-même (on saura comment dans le #6, j'espère), et raconte comment il arrive sur Terre et entend supprimer Superman et les Kryptoniens du fait d'une haine... aux origines encore floues.
Et, en parallèle, quelques pages justifient la disparition de Loïs & Jon.

Bref, au-delà de leur qualité, ces épisodes me semblent carrément moins ambitieux, moins porteurs, moins essentiels que le MoS de Byrne, ou même le film.
J'avoue, je suis déçu de ce manque d'ambition.

Je préviens d'avances mes lectures de la semaine ne sont pas bonnes ... Ca va pas voler très haut les notes ^^

Aie, hâte de voir ça.

Juin avait si bien commencé alors comment cela peu encore m'arriver de pas trouvé une série vraiment très bonne. Au y'a du juste bon, mais très peu de plaisir pris dans mes lectures cette semaine. Même les séries que je m'étais en fin de pile parce que normalement les meilleurs m'ont beaucoup déçu.
Alors il va falloir faire mieux le mois prochain pour certains titre de cette pile. Et certaine vont déjà disparaitre de mes achats !

On commence avec un titre que j'attendais pour me faire une idée sur sa nouvelle direction. Justice League - No justice semblait lui donnait une base de travail. Qu'en est il de :

Detective Comics 983 (Bryan Hill, Miguel Mendonça, Diana Egea)
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Pitch :
Un jeune homme parle de son amour du Batman à la télé se qui énerve un spectateur devant son poste. Une semaine plus tard le Signal arrive dans l'appartement du jeune fan et le trouve en mauvais état attaché à son siège. Très vite l'appartement explose, blessant Duke. Batman va alors mettre en place sa nouvelle idée (Qu'il a validé avec les League) et va trouver Black Lightning. Et celui qui se fait appelé Karma s'attaque à Cassandra Cain.
Avis :
Couverture - Une très belle couverture mais pas en lien. 1/2
Scénario - C'est très décevant. Déjà juste après la first victime, ce Karma fait un peu redite. Encore quelqu'un sortie du passé de Bruce qui pense mieux le connaitre et savoir ce qu'il faut faire. De plus c'est très lent et sans aucun lien à ce que l'équipe de scénaristes semblait lancer dans JL:NJ. 2/3
Dessins - Les dessin sont pas mauvais, mais ont parfois des limites dans ls personnages. On peut avoir du très bon avec par exemple la planche avec Alfred soignant Duke mais c'est rare. 2/3
Sentiment : Je ne suis pas fan et ça me fait peur pour la suite que j'ai commandé. Je suis en train de remettre ma commande de se titre en question. Surtout que Robinson est loin de ce que j'attends de lui sur Wonder Woman. Je vais donc pas prendre les numéros à partir de Septembre. Et si ceux d'aout et/ou avant s'améliore je la remettrais alors dans mes solicitation. Mais si ça s'améliore pas je serais plus là pour le 1000.
Rendez-moi Tynion IV :ouf::'( 0/2
5/10