Surtout que quelque par il a laissé All New Wolvy pour X-men Red. A voir ce qu'il vont lui proposer maintenant !
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Citation:
bizarrement tu m as fait un peu peur sur Damned.. et pour l instant ca me choque pas. Autant là... pour l instant je trouve que c est un peu big.. de toute facon, il y a trop un truc chez DC de globaliser leur personnage d y inserer un passé ultra important.. une forme de destinée.. apres au moins WW et Aquaman (je compte pas batman car ca date d il y a un peu plus longtemps).. là hawkman.. il s y prete mieux... mais en même temps je suis pas fan d une forme de compte à rebours Spawnien qui finira par etre oublié.. |
Mr & Mrs X #6
Rogue et Gambit reçoivent leurs amis chez eux, pour fêter leur vie ensemble dans l’appartement de Gambit ; évidemment, cela tourne mal - mais, évidemment, Kelly Thompson en profite pour s’amuser, amuser le lecteur, tout en flattant le fan, et en posant des jalons pour le futur. Brillant, encore. Avec sa maîtrise totale de la caractérisation de son duo, la scénariste assure dans l’humour, avec un comique de situation, qui est parfait. Mais elle a aussi l’intelligence d’avoir bien compulsé sa continuité, et s’en sort très bien en faisant intervenir la Guilde des Voleurs (dont Gambit est toujours le Roi, si-si…) mais aussi Magneto avec Rogue (évidemment), tout en glissant une Bella Donna, pas uniquement pour le plaisir de la confrontation. Mais, en outre, Thompson livre quelques moments rigolos, mais aussi des instants plus durs, avec la gestion des pouvoirs de Rogue, et les non-dits entre époux ; c’est fin, et brillant, dans un ensemble très cohérent, très dynamique, très agréable. David Lopez, un peu moins fin que d’habitude, livre des planches malgré tout très jolies et fluides, pour servir un récit dense, parfois “dur” dans les thèmes abordés, mais avec une forme fun. Un graphique sûr et très agréable. Encore un épisode de grande qualité, vivement la suite ! |
Citation:
Après, ça ne me gêne pas. Déjà, parce que Hawkman n'a jamais eu de continuité claire, donc ça n'est pas choquant de modifier cela. En outre, j'apprécie beaucoup l'idée et la volonté de "simplifier", en glissant toutes les incarnations du personnage dans un seul tronc, commun, qui donne du sens à l'ensemble. Tout n'est pas parfait, mais j'apprécie l'effort ; maintenant, on peut expliquer Hawkman en une à deux phrases. Avant, non. En plus, Hawkman avait déjà un côté "élu" avec ses réincarnations, donc lui donner ce statut ne me choque pas. |
Il part pas de rien Lemire.. Johns avait déjà simplifié.. Là justement ca recomlique un peu (tout en restant assez cohérent).. c est un peu ca qui m ennuie.
Ca me fait penserà Ghost Rider.. dés que quelqu un arrive a simplfier... on cree un nouveau trucs a coté... |
Mais du coup, y a-t-il toujours une Hawkwoman ou Hawkgirl impliquée dans ce cycle de résurrection ?
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Si c'est le cas, elle n'a toujours pas montré le bout de son nez dans la série.
A moins que ce soit cette mystérieuse femme qui hante Ktar dans l'épisode de ce mois-ci ? Ou que Vendetti préapre l'entrée en scène de madame prochainement (ce qui serait opportun parce que réussir à avoir simplifier Hawkman pour oublier Hawkgirl dans l'affaire, ce serait ballot) ? |
J'ai un peu peur que Hawkgirl soit "réservée" par Scott Snyder dans Justice League.
Après, oui, je suis persuadé que la figure féminine, rousse (Hawkgirl & Hawkwoman l'étaient avant Shiera Saunders), sera bien Chay-Ara/Hawkgirl/Hawkwoman. Citation:
Après... moui, ça recomplique quoi ? Johns a simplifié Hawkman en ressuscitant Khufu/Carter sur Thanagar avec ses souvenirs et ceux de Katar, mais ça ne réglait pas le problème d'avoir eu deux hommes ayant les mêmes armes, le même titre, le même nom. Et le New52 réinstituait Katar/Thanagarien, alors que Metal ramenait Khufu/Carter. Ca me semble plus simple de dire que l'essence est la même, et qu'il s'agit de réincarnations successives ! |
Venditti en effet car Lemire a écrit uniquement un one shot dans le cadre de METAL et c'était mauvais comme tout :)
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Uncanny X-Men #5
Au #5, nous sommes donc à la moitié de la saga Disassembled, et ce qui est raconté me semble toujours tellement éloigné de ce titre. L'ensemble se lit sans difficulté, sans déplaisir, mais sans passion non plus ; ça se lit, tout simplement, mais ça se lit vite, et ça s'oublie encore plus vite. Thompson, Rosenberg et Brisson tentent de donner du caractère aux personnages, mais ça ne fonctionne pas. Ils essayent aussi de créer une division entre jeunes et vieux, mais ça ne fonctionne pas. Ils tentent d'opposer aussi ces deux camps à celui de X-Man, mais c'est tellement mal fait, soudain, brutal et hors de propos que ça ne fonctionne pas. Rien ne fonctionne, en fait. Hormis R.B. Silva, qui livre des planches solides, et une qualité graphique plutôt bonne jusque-là ; mais c'est tout. Et trop peu. Quoi qu'il arrive, Disassembled sera une déception. D'autant plus que Marvel a déjà spoilé sa résolution, en lançant les annonces sur Age of X-Man. Bon. Ben vivement que ça soit terminé, hein. |
The Green Lantern #2
Grant Morrison poursuit sa reprise du titre, et demeure dans le flou, volontairement. Sans grand lien (en apparence) avec le #1, il livre ici un récit sur Evil Star, sur la création d'une nouvelle force de "protection" dans la galaxie, et un complot général, qui visera la Terre ; volontairement ou non. En bref, l'Ecossais poursuit sa gestion de la franchise, avec lenteur, avec mystère, et il risque de laisser beaucoup de lecteurs de côté. Le style de Liam Sharp rappelle, évidemment, la Hard SF à l'Anglaise, et je pense que Morrison en profite pour reprendre quelques habitudes de ses premières années, avec une approche sèche et sans concession des personnages et de la galaxie. J'aime bien. J'ai préféré au #1, parce que j'ai un peu plus compris, et je suis curieux de lire la suite. En fait, le fond me plaît beaucoup, le complot, la gestion des Lanterns, etc. ; tout ça me plaît beaucoup. Mais je n'aime pas le Hal Jordan de Morrison - car je ne suis pas fan du perso', à la base. Ca me semble donc cohérent. Surprenant, sec comme je l'ai dit, sans concession, avec un Liam Sharp en forme mais avec des traits "lourds", et une ambiance qui suit, cette intrigue m'intéresse mais risque d'en perdre beaucoup, je le répète. A voir. C'est quand même très exigeant, j'espère m'en réjouir quand tout commencera à prendre sens. |
Avengers #11
Jason Aaron poursuit sa gestion du titre, qu'il oriente désormais dans un aspect géopolitique surprenant mais agréable. En positionnant les Avengers au milieu de jeux de guerre et de diplomatie, l'auteur s'interroge pour savoir comment le monde les appréhenderait, comment l'équipe gérerait... et ça ne se passe pas très bien ; mais c'est plutôt pertinent. Instituer Black Panther comme nouveau président des Avengers est légitime vu son historique et son succès actuel, mais le scénariste a l'intelligence de se demander comment le monde Marvel réagirait à ce qu'un chef d'Etat africain, connu pour ses secrets et manipulations, dirige l'équipe ; encore une fois, ça se passe mal, et c'est encore une fois pertinent. Je reste peu convaincu par quelques éléments, et même si le couple Thor/She-Hulk ne me choque pas, le passage dans ce numéro est poussif. Je ne suis pas non plus convaincu par la proposition d'Aaron sur Coulson, mais je reste curieux. J'aime bien la gestion d'Aaron de toute la géopolitique Marvel, et ça commence à prendre forme. C'est intriguant, intéressant ; mais ça reste un peu "poussif" dans sa globalité, ça se lit bien mais ça n'est pas forcément passionnant. A voir la suite, mais le titre a quand même déjà de nombreux boulets, et l'ensemble roule mais dans un faux-rythme. La série n'est pas aidée, bien sûr, par un graphisme irrégulier, souvent en-deçà de ce qu'on peut attendre. Ed McGuinness revient aujourd'hui, et n'est pas brillant. Je suis curieux de lire la suite, mais Jason Aaron va bientôt boucler ses douze premiers numéros sans réussite ; sans déplaisir, avec beaucoup de promesses et de bonnes idées, mais une forme qui ne me convainc pas, malgré de bons moments. |
X-23 #7
Efficace, drôle et addictif : voici les meilleurs mots pour décrire cette série. Après une première saga plutôt maligne, même si la fin ne brillait pas par son originalité, et un one-shot rigolo centré sur Gabby, Mariko Tamaki enchaîne, mais demeure sur le coeur de son propos : la manipulation génétique, le clonage, l'utilisation des créatures en armes. Du classique, mais du très approprié pour les X-Men, et encore plus pour X-23 & Gabby. Ca n'est pas choquant d'en faire des détectives spécialisées dans ce domaine, et l'univers Marvel a assez d'historique dans ce domaine pour se diversifier. Bon, la scénariste replonge dans leurs origines ici, mais ça se lit très bien, très vite. Je le répète, c'est très efficace, mais aussi très drôle : malgré un propos sur le fond lourd, la présence de Gabby et sa relation avec Laura rend le tout plus léger ; ça fait du bien. Et chaque épisode me donne, toujours, envie de lire la suite. Une grande réussite, ici bien illustrée par Diego Orlotegui, au trait très européen. Quel plaisir de lecture. Vivement la suite ! |
Wonder Woman #60
Bon sang, ça ne s'améliore pas. G. Willow Wilson s'enfonce dans des passages déjà-vus et mieux vus en d'autres temps, par d'autres créateurs. Ses personnages semblent empruntés, bêtes, perdus au milieu d'un champ de bataille vide et creux. J'ai l'impression de voir de mauvais acteurs déclamer de mauvais textes, sans y croire, mais en essayant d'y aller à fond, pour gagner leur pitance ; quelle tristesse. C'est chiant, long, mais ça se lit vite car il n'y a rien de bien, là-dedans. Rien n'a de sens, Diana va et vient en changeant constamment d'avis, elle a l'air d'avoir trois jours d'expérience dans ses combats, et Arès est une pleurnicheuse qui fait de grands gestes. Les discussions sont navrantes, et il y a quantité de moments gênants pour les personnages. Ha, et Cary Nord est une catastrophe. C'est laid, et il n'y a pas de décor. Rien ne fonctionne. C'est une catastrophe définitive. J'arrête là. |
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