Ce titre GI Joe n'a rien à voir avec l'Energon Universe : c'est l'historique.
Il y aura un autre titre GI Joe dans la continuité des autres titres Transformers, Void Rivals, Duke et Cobra Commander.

Oui, en fait je voulais dire que ce titre était pour moi un essai et il ne m'a pas du tout convaincu de me lancer sur cette franchise, que ce soit l'Enegeronverse ou pas.

Wonder Woman #5
Un nouveau numéro tout en démonstration, mais bien mené.
Diana défie Yara Flor (à l'arc), Cassie Sandsmark (au bras de fer) et Donna Troy (aux jeux vidéos), selon leurs choix, pour qu'elles jurent de ne pas se mêler de ses soucis. Diana gagne mais elles décident de ne pas respecter leurs serments. Ce qui va aider, car les ennemis forment aussi leur armée : Giganta, Dr Psycho, Angle Man, Circé, Angle Man et Grail.
Un épisode fluide mais poseur, où Diana est la meilleure et la voix off est lourde. Tom King gère, mais gère bien. Daniel Sampere assure aux dessins.
La back-up sur Trinity la montre défier Jon et Damian jeunes adultes pour savoir qui donnera un nom à leur trio. Trinity se met en danger, les autres s'engueulent et elle fait valider le nom Gen-S, pour l'espoir qu'ils incarnent après les troubles de Brainia, la Légion de Lex, Président Psycho ou le Joker Corps. Tom King me plaît sur ces petits récits très funs et Elen Ortega dessine bien tout ça.

Efficace mais toujours en gestion.

Jay Garrick: The Flash #4
Un point global sur les origines de Jay Garrick avec un retcon qui met Dr Elemental en grand cerveau vilain de ces débuts, mais aussi derrière ce que Jay et Judy apprennent avant de se faire attaquer.
Efficace. Jeremy Adams livre un épisode simple mais réussi, qui retconne sans trop gêner les origines de Jay. Diego Olortegu assure aux dessins nerveux.

Un ouvrage solide.

Nightwing #110
Un bon tie-in au Taylorverse. Le scénariste surfe ici sur Beast World poyr réunir encore Nightwing et Jon, qui ici cherchent un Damian devenu chat-garou et dans des combats clandestins gérés par une patiente de Arkham qui se contrôle en Beast Woman. Le duo sauve Damian, le libère et ils stoppent tout ça.
C'est bien fait. Tom Taylor gère très bien la dynamique des personnages, il écrit très bien Dick et Jon mais aussi Damian. C'est fluide et bien mené, avec un Sami Basri solide dans les dessins.

Un bon petit moment de caractérisation.

Titans #7
Efficace et réussi. Tom Taylor révèle la traîtrise du compatriote de Starfire, faisant même de lui le responsable de l'attaque de la Citadelle car il voulait récupérer son dieu ; c'est gros mais ça passe. Il est vaincu car Cyborg résiste aux spores, Tempest est sauvé en étant piégé et Nightwing quitte sa peau de renard quand Starfire le stoppe.
Ça se lit bien. Tom Taylor maîtrise, déroule, anime bien les personnages et c'est agréable à lire. Le retcon est facile mais se lit bien. Stuart Moore assure dans des dessins un peu figés.

Un bon tie-in.

Superman: Lost #10
Final réussi, mais surprenant, mais troublant, mais frustrant au fond, d'une maxi-série elle aussi très réussie. On voit ainsi l'arrivée de Hope sur Terre, la crispation avec Lois sur son bébé et les héros qui vont aider la fameuse planète, avec finalement Clark qui
C'est habile, malin, un peu facile et ça crée une fin douce amère qui fonctionne, mais touche et en tout cas m'a touchée durement. Christopher Priest assure, livre une fin réussie et marquante, qui trouble. Dommage que le graphisme n'ait pas tenu tout du long, même si ça n'a jamais été mauvais.

A relire et à méditer. Une histoire très forte de et sur Superman.

Batman / Superman: World's Finest #23
Une bagarre réussie et un numéro maîtrisé. Mark Waid ne surprend pas, confirme que Gog veut périr comme les siens du 3e Monde, en forçant une mort héroïque avec les héros de ce monde. Il a coupé tout lien avec le Multivers pour éviter des victimes inutiles, mais les Bats et Sups s'opposent et parviennent à ramener David/Magog qui rassemble les héros. Sauf que Magog a finalement l'équation d'anti-vie... et Darkseid arrive.
C'est bien, oui. Dynamique et prenant, bien écrit et fluide, avec une intrigue bien menée et surtout un Dan Mora en très grande forme. Une série toujours agréable et divertissante.

Un bon moment.

Justice League vs. Godzilla vs. King Kong #4
Ça avance doucement mais sûrement. Brian Buccellato mène efficacement sa saga, avec ici un point d'étape : Superman est mort mais Batman ne l'accepte pas, Lois arrive et enquête, les héros comprennent que tout vient de Toyman et de la Dreamstone, les héros stoppent un monstre dans Atlantis, et des éléments se posent lentement.
Ça se lit bien. C'est divertissant, pas extraordinaire mais ça fonctionne. Cristian Duce est bon sur les monstres mais moyen sur les gens, dommage on en voit beaucoup là.

Ça fonctionne mais c'est long.

Superman #10
Sympathique. Joshua Williamson plonge Superman dans le far-west, hélas sans revoir les Hawks de l'époque, mais avec un vieil ennemi et en creusant la mystérieuse Marilyn Moonlight. Ça se lit bien, c'est mignon et gentil, et ça finit sur un retour au présent avec une Metropolis aux mains de Pharm et Graft et leur Anti Lex Luthor Squad où ils veulent recruter Superman.
C'est bien, oui. Je suis déçu de ne pas revoir les versions passées des Hawks, mais le scénariste écrit bien Superman et Bruno Redondo propose de belles planches même s'il a déjà fait mieux sur Nightwing.

Un bon petit moment.

Avengers: Twilight #1
Début très prévisible mais sympathique.
Chip Zdarsky scénarise ce projet ancien et porté par un Tom Brevoort sur le point de quitter la franchise ; le clin d'œil est rigolo ppur ce récit de héros vieillissants qui vont tenter un dernier rush avant la fin. On a ici les évidences : futur déshumanisé où les héros sont oubliés, héritiers indignes et provocateurs (ici le fils de Tony et Jan en tenant du nouvel ordre mondial), complot obscur avec réécriture de l'histoire, drame fondateur ayant mené à la retraite des héros. Steve s'est rangé mais boue, il n'a plus de sérum mais
C'est sympathique, oui. Ça suit fidèlement le cahier des charges de The Dark Knight Returns, c'est un peu trop scolaire et Steve accepte un peu trop facilement de switcher, mais c'est fluide. Daniel Acuna se donne à fond, un peu trop car c'est souvent trop chargé mais c'est original et bien fait.

Solide à défaut de surprendre.

Fantastic Four #16
Très fun. Ryan North se concentre sur le quatuor d'enfants revenus du Temps et désormais installés en Arizona. Ils y sont des stars et les Richards (dans la même classe ?) veulent épater leur professeure de science en détournant un devoir pour accomplir un exploit scientifique espéré au 17e siècle : créer un solvant universel. Ils réussissent... trop bien, car ils ne savent pas comment le stocker. Ils multiplient les essais avec Jo et Niki, tentent de le mettre dans le Soleil et le ramènent en comprenant l'erreur. Ils admettent leur faute aux parents, Reed gère car... il a déjà fait ça et ils sont punis d'une mauvaise note.
C'est cool, oui. Ryan North m'amuse avec des épisodes légers mais très bons en science, avec ici les jeunes bien écrits et un Franklin qui ne grogne pas et s'en sort bien. C'est cool et fun, avec Francesco Mortarino qui propose des planches solides et agréables pour illustrer tout ça.

Fun et précis scientifiquement.

Guardians of the Galaxy #10
Grosse bagarre contre les Spartoi pour préparer la fin de la saga Grootfall, voire du titre. Colin Kelly et Jackson Lanzing gèrent bien leur bataille entre les Gardiens Grootisés et la soeur de Quill, avec de bons et beaux moments pour chacun qui protègent la galaxie Groot et volent un mini soleil pour le développer. Ça tourne mal et Peter va réclamer le trône à sa soeur pour en finir.
C'est bien, oui. C'est maîtrisé, bien dialogué et bien mené, avec des dessins réussis et intenses de Kev Walker. Ce ne serait pas un mal que cette version s'arrête bientôt mais c'est vraiment pas mal.

Une belle bagarre.

White Widow #3
C'est pas fou, hein. Sarah Gailey gère vraiment bien sa Yelena toujours trouble, à fois cool et fun, mais aussi mortelle, brutale et bizarre. Mais son intrigue de bourgade menacée par une corporation machiavélique qui manipule des blessés et paumés n'est pas intéressante, en fait, et ça avance lentement et lourdement.
Dommage, d'autant que les dessins d'Alessandro Miracolo ne font pas de miracle (pardon) et "passent" juste.

Dommage, oui, car cette écriture de Yelena mérite mieux.

Cable #1
Très cool. Fabian Nicieza revient efficacement sur Cable, écartant joyeusement la période Fall of Krakoa et Orchis pour s'occuper d'une menace à venir, à stopper avant qu'il ne soit trop tard : The Neocracy, une dérive d'une entreprise pharmaceutique qui changera les ADN pour tout unir dans un collectif oppressant. Old Cable sauve Young Cable de Orchis pour stopper The Neocracy, qui profite du chaos Orchis pour avancer discrètement. Avec des information de Irène Merryweather, le duo difficile remonte jusqu'à l'entreprise Parvenu et un chercheur,
C'est très cool, oui. Nicieza évacue intelligemment la période actuelle sans la nier, gère bien le duo même s'il écrit surtout Old Cable, qu'il tient très bien. The Neocracy est une bonne menace pour ces gentils Terminators, et la lecture est fluide. D'autant que Scot Eaton propose des planches solides et efficaces.

Un vrai bon moment.