Ben disons que tout a été dit au moment de l'annonce de cette mini série ;)

12 numéros en 2 HS?
Ca va être dur surtout que cela serait espacé dans le temps.
Je mise plus sur une belle édition HC.

J'avais envie de rire ce soir alors j'ai lu Doomsday clock #1.
J'ai bien fait. Ce truc est risible.
Une mauvaise fanfic qui ne raconte juste rien, avec des personnages nuls.
Je suis déjà très impatient de lire le #2.

J irais pas jusque là..
Je trouve juste que ce 31 reste assez vide.. et qu ozymandias... ne ressemble pas vraiment à Ozymandias en tout cas comme je l envisageais... Il manque de conviction mais aussi de force et de cervelle... il ressemble pus à un villain type Riddler (que je n arrive vraiment pas à envisager comme un villain batman "important")

Autant je n'ai pas ri, autant je rejoins Zen sur le fait que Doomsday Clock fait plus office de fan-fiction, sur le #1, qu'autre chose.
Ce n'est, en soi, pas un drame (j'ai écrit et j'aime les fan-fictions, et plusieurs choses excellentes et publiées sont écrites par des fans de personnages vieux de plusieurs décennies... actuellement, des auteurs passionnés par tel ou tel personnage peuvent être considérés comme réalisant des fan-fictions, en pro')... mais il faudrait aller plus loin, et sortir de l'hommage/amour aux personnages pour justifier de les avoir ressortis, eux.

12 planches pour qu'un sorte de prison avec deux persos complètement inintéressants et une séquence qui se poursuit encore sur 8 pages avec un Ozymandias qui ne ressemble à rien, ça ressemble en effet au vide intersidéral.
Si tu rajoutes les 5 premières pages de mise en place qui sont juste nulles, ça te donne un comic dont le seul truc vaguement lisible, c'est les 4 dernières pages avec Clark Kent.

Le pire, c'est qu'on ne peut même pas brancher une dynamo sur la tombe de Moore pour récupérer plein d'énergie gratuite.. :D

Ce qui m'a marqué d'entrée c'est le style de Johns, loin de ce qu'il fait d'ordinaire, faussement bavard intello. Ensuite oui il y a des temps trop longs, et le seul élément qui donne du piment est le démasquage (de main) de Rorschach.
Mais ce qui m'a surtout interpellé c'est la transposition de la guerre froide qui se réchauffe, à une époque où l'échiquier des puissances n'est plus le même, ça y ressemble mais le coté manichéen n'y est plus.
En somme, ça peut devenir une oeuvre moderne, si et seulement si, elle réussi à s'émanciper de l'originale, et pour l'instant ça n'est pas encore ça.