manou
25/10/2004, 12h59
http://www.midtowncomics.com/images/PRODUCT/FUL/24835_ful.jpg
Résumé:
Cet arc comprend les numéros 60 à 64, le 65 étant un épilogue à cet arc.
Il s'agit ici de la génèse de Carnaga, et des conséquences de sa création. Tout commence par la relation amicale entre Spider-man et Dr Conners, aka le fameux Lézard, qui sert de médecin attitré à Peter Parker_Spider-man. Celui-ci, après avoir soigné Peter, découvre que le sang de Peter est modifié génétiquement (ce que l'on sait tous).
Ce que l'on sait moins, c'est qu'il est réellement "différent". Devant une telle découverte, Dr Conners experimente des solutions avec l'accord de Peter. En mixant son ADN avec celui du père de Peter, il crée sans le savoir le monstre Carnage. Celui-ci va alors essayer de se construire, avec ce qu'il a comme psyché et comme souvenirs (souvenirs de Peter, très flous).
Et c'est ainsi que le drame arrive: il tue Gwen! Peter arrive à se débarasser de Carnaga apres un combat epique, et fait ensuite avouer Conners ses responsabilités.
L'epilogue (65) est sympathique, et replonge l'histoire dans l'ambiance Peter au collège. Cette histoire traite avec soin l'après-Gwen.
Dans ma série "je rattrape mon retard", j'ai donc rattrapé celui que j'avais avec les Ultimate titles. Hier, j'ai donc lu avec ma compagne tous ces numéros. Et si tout n'est pas parfait, ca reste du comics de très grande qualité!
ll faut d'abord dire que l'histoire est rondement menée. On se plaint souvent du rythme lent imposé par Bendis, ici je l'ai trouvé extremment intelligent. Il fait monter la pression au travers de chacun des episodes, de facon empirique. Les dialogues sont toujours au top, l'intrigue egalement, et amener Carnage dans l'univers Ultimate n'avait pourtant rien de facile. Il s'en sort admirablement, l'idée derrière Carnage est vraiment sympa, et nous change des symbiotes et autres conneries. Rien de franchement novateur dans l'idée, par contre le traitement est lui très sympa.
Tout n'est pas parfait, comme je l'ai dit. A commencer par ces covers (pourtant superbes, bien plus belles que les précédentes sur ce titre), qui n'ont aucun rapport avec ce qui s'y passe. On voit Carnage en couverture du 60, alors qu'il n'apparait qu'en toute fin du 61...
Ensuite, j'ai été limite décu par la mort de Gwen. Elle arrive tellement par surprise, que j'ai été plus surpris et choqué qu'attristé. C'est fait expres, c'est au final bien amené par les pages précédentes sans dialogues, mais c'est assurément le "petit" détail que je trouve moins bon que le reste. J'aurais préféré encore plus d'intensité pour ce moment très important dans l'histoire de ce comics.
Par contre, au niveau graphisme, c'est parfois du rush, mais parfois c'est aussi impressionant. La scène où la tête de Carnage disparait pour faire apparaitre le visage du père de Peter est EPOUS-TOU-FLANTE! Parfois, on a droit à des visages féminins assez comique (ma compagne a carrément explosé de rire avec un visage de Gwen qui, il faut le dire, etait passablement raté). Mais dans le design de certaines scènes, et dans les formes que prend Carnage, on sent bien que Bagley s'est bien amusé. Et c'est tant mieux.
Alors pour finir, ca n'est pas sans défaut, on peut toujours faire mieux, mais j'ai passé un excellent (bien que peu léger par rapport à l'usuel Ultimate Spidey) moment, et vraiment enchanté par cette série (et puis comment pourrais-je critiquer une série que lis ma compagne avec intérêt!! :D ).
Résumé:
Cet arc comprend les numéros 60 à 64, le 65 étant un épilogue à cet arc.
Il s'agit ici de la génèse de Carnaga, et des conséquences de sa création. Tout commence par la relation amicale entre Spider-man et Dr Conners, aka le fameux Lézard, qui sert de médecin attitré à Peter Parker_Spider-man. Celui-ci, après avoir soigné Peter, découvre que le sang de Peter est modifié génétiquement (ce que l'on sait tous).
Ce que l'on sait moins, c'est qu'il est réellement "différent". Devant une telle découverte, Dr Conners experimente des solutions avec l'accord de Peter. En mixant son ADN avec celui du père de Peter, il crée sans le savoir le monstre Carnage. Celui-ci va alors essayer de se construire, avec ce qu'il a comme psyché et comme souvenirs (souvenirs de Peter, très flous).
Et c'est ainsi que le drame arrive: il tue Gwen! Peter arrive à se débarasser de Carnaga apres un combat epique, et fait ensuite avouer Conners ses responsabilités.
L'epilogue (65) est sympathique, et replonge l'histoire dans l'ambiance Peter au collège. Cette histoire traite avec soin l'après-Gwen.
Dans ma série "je rattrape mon retard", j'ai donc rattrapé celui que j'avais avec les Ultimate titles. Hier, j'ai donc lu avec ma compagne tous ces numéros. Et si tout n'est pas parfait, ca reste du comics de très grande qualité!
ll faut d'abord dire que l'histoire est rondement menée. On se plaint souvent du rythme lent imposé par Bendis, ici je l'ai trouvé extremment intelligent. Il fait monter la pression au travers de chacun des episodes, de facon empirique. Les dialogues sont toujours au top, l'intrigue egalement, et amener Carnage dans l'univers Ultimate n'avait pourtant rien de facile. Il s'en sort admirablement, l'idée derrière Carnage est vraiment sympa, et nous change des symbiotes et autres conneries. Rien de franchement novateur dans l'idée, par contre le traitement est lui très sympa.
Tout n'est pas parfait, comme je l'ai dit. A commencer par ces covers (pourtant superbes, bien plus belles que les précédentes sur ce titre), qui n'ont aucun rapport avec ce qui s'y passe. On voit Carnage en couverture du 60, alors qu'il n'apparait qu'en toute fin du 61...
Ensuite, j'ai été limite décu par la mort de Gwen. Elle arrive tellement par surprise, que j'ai été plus surpris et choqué qu'attristé. C'est fait expres, c'est au final bien amené par les pages précédentes sans dialogues, mais c'est assurément le "petit" détail que je trouve moins bon que le reste. J'aurais préféré encore plus d'intensité pour ce moment très important dans l'histoire de ce comics.
Par contre, au niveau graphisme, c'est parfois du rush, mais parfois c'est aussi impressionant. La scène où la tête de Carnage disparait pour faire apparaitre le visage du père de Peter est EPOUS-TOU-FLANTE! Parfois, on a droit à des visages féminins assez comique (ma compagne a carrément explosé de rire avec un visage de Gwen qui, il faut le dire, etait passablement raté). Mais dans le design de certaines scènes, et dans les formes que prend Carnage, on sent bien que Bagley s'est bien amusé. Et c'est tant mieux.
Alors pour finir, ca n'est pas sans défaut, on peut toujours faire mieux, mais j'ai passé un excellent (bien que peu léger par rapport à l'usuel Ultimate Spidey) moment, et vraiment enchanté par cette série (et puis comment pourrais-je critiquer une série que lis ma compagne avec intérêt!! :D ).