John Keats
10/04/2004, 23h39
par garth ennis et richard corben, marvel max, 48 pages, 4.5$.
une bien belle surprise, étant donné que ces histoires racontant les derniers moments des plus grands héros, voire même de l'univers marvel en général, n'ont pour l'instant pas accouché de chef d'oeuvre, au mieux d'histoires distrayantes, comme c'était le cas, de mon point de vue, pour hulk par david et keown.
tout d'abord un scénario très très noir, point d'espoir ici, on est avec le punisher pour assister à la fin de l'humanité! le personnage va jusqu'au bout de ses idées, son besoin cathartique d'éliminer le mal étant poussé à son paroxysme, à un point que je n'aurais jamais cru capable! ennis laisse un peu tomber pour la peine son coté vulgaire et trashos extrème qui ont fait sa célébrité pour rentrer dans le coeur de la psychose de frank castle, où quelle serait sa réaction dans une situation d'apocalypse. ça sonne juste et très crédible par rapport à ce qu'on connait du Punisher, une très belle fin à n'en pas douter.
ensuite que dire de richard corben? pas assez de superlatif pour décrire la majesté du travail, que ce soit sur l'atmosphère eschatologique de ce new york en flammes, ou sur de magnifiques splash plages qui montre la qualité du dessin du gars corben.
ouais vraiment à la lecture de ce numéro double on se dit que c'est l'histoire parfaite avec l'artiste parfait pour réaliser cette dernière histoire du plus célébre anti héros de l'univers marvel, une vraie réussite.
une bien belle surprise, étant donné que ces histoires racontant les derniers moments des plus grands héros, voire même de l'univers marvel en général, n'ont pour l'instant pas accouché de chef d'oeuvre, au mieux d'histoires distrayantes, comme c'était le cas, de mon point de vue, pour hulk par david et keown.
tout d'abord un scénario très très noir, point d'espoir ici, on est avec le punisher pour assister à la fin de l'humanité! le personnage va jusqu'au bout de ses idées, son besoin cathartique d'éliminer le mal étant poussé à son paroxysme, à un point que je n'aurais jamais cru capable! ennis laisse un peu tomber pour la peine son coté vulgaire et trashos extrème qui ont fait sa célébrité pour rentrer dans le coeur de la psychose de frank castle, où quelle serait sa réaction dans une situation d'apocalypse. ça sonne juste et très crédible par rapport à ce qu'on connait du Punisher, une très belle fin à n'en pas douter.
ensuite que dire de richard corben? pas assez de superlatif pour décrire la majesté du travail, que ce soit sur l'atmosphère eschatologique de ce new york en flammes, ou sur de magnifiques splash plages qui montre la qualité du dessin du gars corben.
ouais vraiment à la lecture de ce numéro double on se dit que c'est l'histoire parfaite avec l'artiste parfait pour réaliser cette dernière histoire du plus célébre anti héros de l'univers marvel, une vraie réussite.