Niglo
14/02/2004, 21h55
Sentinel #12
Avril 2004
Marvel/Tsunami
http://www.thefourthrail.com/images/reviews/020904/sentinel12.jpg
Awakening, part 3.
Par Sean McKeever & Udon.
Ultime épisode de cette série. Encore un titre Tsunami qui disparaît. Dommage, car c’était l’un des plus réussis.
Cet épisode est assez représentatif de la qualité générale de cette série. Sean McKeever nous embarque dans un récit dont on imagine d’avance la conclusion, et au final part dans une direction totalement inattendue.
Dans ce cas précis, Juston Seyfert, le héros de la série, se trouve confronté aux conséquences de son geste dans le premier arc de la série (la réactivation d’une Sentinelle et l’utilisation qu’il en fait). Tout laisse à penser au fil de cet ultime arc que Juston devra in fine faire face aux conséquences de ses actes.
Et pourtant McKeever choisit une conclusion bien moins morale, à la fois plus intéressante et en même temps frustrante, puisque la série s’arrête. Il n’empêche, durant douze numéros, McKeever nous aura offert un joli portrait de gamin atypique et assez attachant.
Ma seule réserve concernant cet épisode porte sur les dessins du collectif UDON, visiblement bâclés, et en particulier sur l’encrage qui semble avoir été réalisé au marqueur à pointe pas fine du tout.
Avril 2004
Marvel/Tsunami
http://www.thefourthrail.com/images/reviews/020904/sentinel12.jpg
Awakening, part 3.
Par Sean McKeever & Udon.
Ultime épisode de cette série. Encore un titre Tsunami qui disparaît. Dommage, car c’était l’un des plus réussis.
Cet épisode est assez représentatif de la qualité générale de cette série. Sean McKeever nous embarque dans un récit dont on imagine d’avance la conclusion, et au final part dans une direction totalement inattendue.
Dans ce cas précis, Juston Seyfert, le héros de la série, se trouve confronté aux conséquences de son geste dans le premier arc de la série (la réactivation d’une Sentinelle et l’utilisation qu’il en fait). Tout laisse à penser au fil de cet ultime arc que Juston devra in fine faire face aux conséquences de ses actes.
Et pourtant McKeever choisit une conclusion bien moins morale, à la fois plus intéressante et en même temps frustrante, puisque la série s’arrête. Il n’empêche, durant douze numéros, McKeever nous aura offert un joli portrait de gamin atypique et assez attachant.
Ma seule réserve concernant cet épisode porte sur les dessins du collectif UDON, visiblement bâclés, et en particulier sur l’encrage qui semble avoir été réalisé au marqueur à pointe pas fine du tout.