Niglo
09/10/2003, 00h19
Spider-Man 45 : Embarquement immédiat
(Octobre 2003)
Spider-Man : Embarquement immédiat
(Bad Connections, in Amazing Spider-Man #49, mars 2003)
Par J. Michael Straczynski, John Romita Jr. & Scott Hanna.
Spider-Man : Je déteste le Lundi
(Just another manic Monday, in Peter Parker : Spider-Man #51, février 2003)
Par Zeb Wells, Francisco Herrera & Wayne Faucher.
Venom : Chair de poule (1)
(Shiver, part 1, in Venom #1, juin 2003)
Par Daniel Way, Francisco Herrera & Carlos Cueva.
Spider-Girl : Humiliations
(Overkill !, in Spider-Girl #34, juillet 2001)
Par Tom DeFalco, Pat Olliffe & Tim Livesay.
Pas grand chose à dire sur le dernier épisode d’Amazing. Il sert essentiellement de conclusion à l’arc précédent et de prologue au cinquantième du mois prochain et au face à face Peter-M.J. qui devrait être crucial. Une ou deux remarques tout de même. J’aime beaucoup le monologue d’Ezekiel dans la première scène, qui tente de convaincre Peter d’accepter la part de surnaturel que recèlent ses pouvoirs. L’explication s’adresse autant au personnage qu’aux lecteurs sceptiques face à cet élément introduit par le scénariste. Et si au final on n’est pas forcément convaincu de la nécessité de la chose, il apparaît en tous cas que Straczynski sait parfaitement ce qu’il fait et justifie son choix de façon tout à fait intéressante.
L’autre réussite de cet épisode, c’est une fois encore le travail de Romita Jr., qui nous fait ici une démonstration impressionnante de son sens de la narration. C’est fait avec une clarté et une économie de moyens qui forcent le respect.
Cet épisode achevé, place au Herrera Show. On retrouve le dessinateur sur l’épisode de Peter Parker : Spider-Man et sur celui de Venom. Dans un style très proche de celui d’Humberto Ramos, dont je ne raffole pas, mais je reconnais que c’est bien foutu. Niveau scénar, le Spider-Man propose deux récits parallèles, l’un où Spidey se lève du mauvais pied un lundi matin, distribue quelques gifles à l’Homme aux Echasses et papote avec tante May, l’autre où le Shocker et Hydro-Man prennent conscience qu’il faudrait qu’ils cessent d’être des vilains de troisième catégorie pour enfin viser plus haut. C’est sympathique, sans plus, on attendra la suite pour se faire une opinion définitive.
Idem pour le premier épisode de Venom, qui réussit la prouesse de ne jamais mettre en scène le héros ( ?) en question, même si on se doute qu’il n’est jamais très loin. Ambiance très ‘The Thing’, avec la découverte près du cercle polaire d’une base dont tout le personnel a été massacré. Enfin presque tout le personnel. C’est bien foutu, même si le dessin d’Herrera me paraît encore plus caricatural que sur Spider-Man. Comme pour la plupart des nouveaux titres Tsunami, il ne se passe pas beaucoup de choses en 22 pages, donc là aussi wait & see.
La revue s’achève par 22 pages de Spider-Girl, que j’ai lu, mais je ne me souviens plus très bien pourquoi…
(Octobre 2003)
Spider-Man : Embarquement immédiat
(Bad Connections, in Amazing Spider-Man #49, mars 2003)
Par J. Michael Straczynski, John Romita Jr. & Scott Hanna.
Spider-Man : Je déteste le Lundi
(Just another manic Monday, in Peter Parker : Spider-Man #51, février 2003)
Par Zeb Wells, Francisco Herrera & Wayne Faucher.
Venom : Chair de poule (1)
(Shiver, part 1, in Venom #1, juin 2003)
Par Daniel Way, Francisco Herrera & Carlos Cueva.
Spider-Girl : Humiliations
(Overkill !, in Spider-Girl #34, juillet 2001)
Par Tom DeFalco, Pat Olliffe & Tim Livesay.
Pas grand chose à dire sur le dernier épisode d’Amazing. Il sert essentiellement de conclusion à l’arc précédent et de prologue au cinquantième du mois prochain et au face à face Peter-M.J. qui devrait être crucial. Une ou deux remarques tout de même. J’aime beaucoup le monologue d’Ezekiel dans la première scène, qui tente de convaincre Peter d’accepter la part de surnaturel que recèlent ses pouvoirs. L’explication s’adresse autant au personnage qu’aux lecteurs sceptiques face à cet élément introduit par le scénariste. Et si au final on n’est pas forcément convaincu de la nécessité de la chose, il apparaît en tous cas que Straczynski sait parfaitement ce qu’il fait et justifie son choix de façon tout à fait intéressante.
L’autre réussite de cet épisode, c’est une fois encore le travail de Romita Jr., qui nous fait ici une démonstration impressionnante de son sens de la narration. C’est fait avec une clarté et une économie de moyens qui forcent le respect.
Cet épisode achevé, place au Herrera Show. On retrouve le dessinateur sur l’épisode de Peter Parker : Spider-Man et sur celui de Venom. Dans un style très proche de celui d’Humberto Ramos, dont je ne raffole pas, mais je reconnais que c’est bien foutu. Niveau scénar, le Spider-Man propose deux récits parallèles, l’un où Spidey se lève du mauvais pied un lundi matin, distribue quelques gifles à l’Homme aux Echasses et papote avec tante May, l’autre où le Shocker et Hydro-Man prennent conscience qu’il faudrait qu’ils cessent d’être des vilains de troisième catégorie pour enfin viser plus haut. C’est sympathique, sans plus, on attendra la suite pour se faire une opinion définitive.
Idem pour le premier épisode de Venom, qui réussit la prouesse de ne jamais mettre en scène le héros ( ?) en question, même si on se doute qu’il n’est jamais très loin. Ambiance très ‘The Thing’, avec la découverte près du cercle polaire d’une base dont tout le personnel a été massacré. Enfin presque tout le personnel. C’est bien foutu, même si le dessin d’Herrera me paraît encore plus caricatural que sur Spider-Man. Comme pour la plupart des nouveaux titres Tsunami, il ne se passe pas beaucoup de choses en 22 pages, donc là aussi wait & see.
La revue s’achève par 22 pages de Spider-Girl, que j’ai lu, mais je ne me souviens plus très bien pourquoi…