Niglo
03/08/2003, 17h09
The Darkness 23
(Août 2003)
Sommaire :
The Darkness #1 & 2
Par Paul Jenkins & Dale Keown.
De cette série, je ne connais que les tout premiers épisodes d'Ennis et Silvestri. On me dit que le héros est mort depuis. Je réponds ah. On me rétorque que depuis il va mieux. Je répète ah.
Effectivement, on apprend ici pourquoi et comment Jackie Estacado (le héros en question) est ressuscité. Tout est donc comme avant. Effectivement, ce que je lis ici ne diffère guère de ce que j'ai lu précédemment. Si ce n'est qu'il y manque cruellement cette dose d'humour noir qu'Ennis savait parfois y injecter.
Pour le reste, il est toujours question de mafieux, de règlements de compte, et d'un héros dont le pouvoir est de libérer des créatures monstrueuses n'aimant rien tant que de massacrer tout le monde de la façon la plus gore possible. Les scènes sanguinolantes ne manquent donc pas ici, et puisque c'est Dale Keown qui tient le crayon, tout cela est parfaitement joli (quoique le terme ne s'applique sans doute pas très bien à ce genre de description).
Ceci dit, on ne sort jamais des clichés, que ce soit ceux des films d'horreur ou des histoires de gangsters. Le héros a le charisme d'une palourde abandonnée au soleil, et au final tout ça n'a qu'un intérêt des plus relatifs. A réserver aux afficionados de Keown. Ou aux moins de 12 ans alléchés par la mention 'Pour lecteurs avertis'.
(Août 2003)
Sommaire :
The Darkness #1 & 2
Par Paul Jenkins & Dale Keown.
De cette série, je ne connais que les tout premiers épisodes d'Ennis et Silvestri. On me dit que le héros est mort depuis. Je réponds ah. On me rétorque que depuis il va mieux. Je répète ah.
Effectivement, on apprend ici pourquoi et comment Jackie Estacado (le héros en question) est ressuscité. Tout est donc comme avant. Effectivement, ce que je lis ici ne diffère guère de ce que j'ai lu précédemment. Si ce n'est qu'il y manque cruellement cette dose d'humour noir qu'Ennis savait parfois y injecter.
Pour le reste, il est toujours question de mafieux, de règlements de compte, et d'un héros dont le pouvoir est de libérer des créatures monstrueuses n'aimant rien tant que de massacrer tout le monde de la façon la plus gore possible. Les scènes sanguinolantes ne manquent donc pas ici, et puisque c'est Dale Keown qui tient le crayon, tout cela est parfaitement joli (quoique le terme ne s'applique sans doute pas très bien à ce genre de description).
Ceci dit, on ne sort jamais des clichés, que ce soit ceux des films d'horreur ou des histoires de gangsters. Le héros a le charisme d'une palourde abandonnée au soleil, et au final tout ça n'a qu'un intérêt des plus relatifs. A réserver aux afficionados de Keown. Ou aux moins de 12 ans alléchés par la mention 'Pour lecteurs avertis'.