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Voir la version complète : mes histoires d'y a longtemps !


hellshock11
11/03/2005, 15h08
bon voila pleins de resumés d'histoires que j'avais ecrite il y a quelque temps sous forme de BD ou court metrage ( les plus detaillées je vous les inflige pas ) !lol si il y en a qui ont des critiques ou des envies ( ce qui m'etonnerait ) de piocher dedans pas de probleme! et pour ceux qui s'ennuie c'est toujours l'occasion de lire pleins de petites histoires !

je crois qu'un post = une histoire
je commence !


Sombre futur :
Un homme dans la rue est accosté par un autre homme.
Après une discussion l’un des deux pose la question à l’autre : Si tu avais la possibilité de voyager dans le temps aurais-tu tué Hitler bébé sachant le mal qu’il allait faire ?
Réponse positive de l’homme.
L’autre ouvre à ce moment un passage ( style Sliders ) et demande à l’homme de le suivre.
Ils se retrouvent dans un futur très noir ( explication du premier homme)
Il n’y a ni religion, ni racisme.. Et tout cela grâce ou à cause d’un homme, devenu dictateur, qui a pris le pouvoir et qui voulant empêcher les guerres de religion, les actes racistes… fait pire que mieux.
On assiste à des spectacles de violences un peu partout. Nos deux hommes sont justes spectateurs.
Question : Serais-tu prêt à abattre cet homme.
Réponse toujours positive après longue hésitation et larme dues à son incompréhension.
Retour dans le passé ( mais toujours pas dans notre présent )
Image d’une maison paisible où un gamin de 7 ans joue. ( les deux hommes sont toujours deux spectres invisibles)
Un homme rentre dans la pièce où le gamin est en train de s’amuser.
Il y a une ressemblance avec notre héros. ( plus vieux )
Question : Es-tu toujours prêt à sacrifier un bébé sachant que c’est ton propre enfant ?
Son propre fils sera responsable de millions de morts.
Il regarde son double plus vieux tenant son gamin dans ses bras et pleure.
Retour au présent.
Le premier homme : Les choix que l’on fait ne sont pas toujours très simples.
Il disparaît.
Notre héros se retrouve seul et cogite sur ce qui vient de se passer.
Il décide de se suicider pour ne pas à avoir à tuer son propre fils.

hellshock11
11/03/2005, 15h09
clone story :
Dans le futur, il y aura une usine qui fabriquera des hommes qui ne pourront vivre qu’une journée ( comme certains insectes ).
Tous les matins on assiste au même spectacle, des milliers d’hommes sortent d’une immense usine.
La rumeur veut qu’on ait pris l’ADN de gens morts et qu’on les clone à l’infini, heureusement étant donné que ces clones ne peuvent pas vivre plus longtemps qu’une journée.
Ils n’ont pas tous les même fonctions, suivant leurs gènes, certains vont plutôt travailler ce qui normalement est leur fonction première, alors que d’autres vont ne penser qu’a s’amuser ou tuer. Même chez les morts il y a des psychopathes.
Des gangs s’attaquent à eux dés leurs sorties de l’usine, mais ils sont tellement nombreux que le nombre de morts importe peu.
Un des protagonistes se laissera séduire par une femme. Ils tomberont amoureux.
La femme viendra l’attendre tous les matins à la sortie de l’usine mais lui tous les matins ne la reconnaîtra pas.
Il ne reconnaîtra que des années plus tard son fils né de l’union de leur première rencontre.
Ce qui paraît illogique car ils sont normalement stériles
Le fils va finir par détruire les usines, ce qui signifie qu’il ne reverra jamais son père vu que l’usine sera inutilisable ou qu’il obligera les savants à faire que son père vive plus qu’un jour.

hellshock11
11/03/2005, 15h10
ange & demon :
Le Diable voulant dominer le monde réel rassemble ses armées des ténèbres.
Un ange envoyé par Dieu, qui a eu vent de se que mijotait le Diable, demande une audience.
L’ange et le démon après plusieurs minutes arrivent à se mettre d’accord.
Le Diable doit montrer à un humain, sans le tuer, de quel pouvoir, il est capable.
C’est un humain qui ne doit pas avoir été touché par la grâce de Dieu ni être sous sa protection.
Tout cela dans un temps limité.
Si l’humain ne montre aucune peur et qu’il ne crie pas au secours, le Diable devra renoncer à ses rêves de domination, car cela voudra dire que les hommes n’ont pas peur de lui et que c’est inutile d’essayer de les assujettir.
L’ange et le Diable arrivent sur Terre.
L’ange désigne un homme ( avec lunette de soleil) sur un banc.
Le Diable commence l’intimidation ( illusion d’être en enfer, homme trucidé, change de tête et de forme…)
Il s’épuise pendant 10 minutes à essayer de terroriser puis énervé, il réalise devant l’air stoïque de l’homme qu’il n’y parviendra pas.
« Tu as gagné, maudit ange, cet humain n’a pas peur de mes pouvoirs, ni de moi. »
Le Diable part, et l’ange s’avance vers l’homme, lui retire ses lunettes de soleil.
On voit en gros plan qu’il est aveugle.
L’ange a dans ses mains les lunettes de soleil ainsi que l’appareil auditif de l’homme.
Il lui dit : « Mon patron vous fait savoir que vous n’aurez plus besoins de tout ça. »
Il jette les objets et on voit l’homme qui avait les yeux blancs les récupérer peu à peu et il commence à parler, qui est là qui parle.
Il va retrouver l’usage de ses yeux et il ne sera plus sourd.
L’ange a berné le Diable et il s’en réjouit.
Il part en souriant.

hellshock11
11/03/2005, 15h10
dernier test :

Un gars se fait réveiller par la sonnette de la porte.
Avant d’ouvrir, il s’aperçoit qu’il est couvert de sang. ( en se regardant dans la glace )
Une femme gît, morte, à côté de lui.
Il ne se rappelle de rien, même pas de son propre nom.
Il panique : J’arrive…
Il décide finalement d’éviter les problèmes et de s’enfuir par une fenêtre opposée à la porte d’entrée.
En même temps, on entend des commentaires en voix off jugeant la prestation du gars.
Plus tard, le gars vole des fringues car les siennes étaient tâchées.
Il y a toujours ce commentaire ( on ne voit pas qui parle )
En errant dans la ville ( bars et autres ), il croit voir le visage de la femme qu’il pense avoir tué.
Il essaye de la rattraper, elle s’enfuie et là il est interrompu par la police qui était à sa recherche. ( temps : environ 1 ou 2 jours après le meurtre )
Il réussit à s’enfuir.
Les commentaires reprennent.
Quelques temps après, il comprend que la fille le suit à distance.
Cette fois-ci, il réussit à la choper et lui demande qui elle est.
« Tu ne te rappelles même pas que je suis la sœur jumelle de Tia, ta petite amie depuis 5 ans.
Terry, là tu abuses. »
Terry, c’est son nom pourtant cela ne lui rappelle rien du tout.
« Non ! Attends, je suis un peu perdu en ce moment, j’ai des problèmes. »
« Je sais ça fait deux jours que je te suis partout, je te vois traîné ici et là, au fait où est ma sœur, j’ai essayé de l’appeler chez elle pour la prévenir que je t’avais retrouvé. Ca faisait un petit moment qu’on te cherchait. »
« Ta sœur est morte et je crois que c’est moi qui l’ai tué, mais je ne me souviens de rien. »
Elle s’énerve.
« Quoi ? Comment peux-tu me dire ça, quel genre d’homme es-tu …
A ce moment il y a une sorte de déclic.
On voit un flash-back, d’un homme qui n’a pas le même visage que notre héros du début.
Se sont des souvenirs assez convenus ( famille, rire etc…)
Les commentaires se font plus stressés : « Il y en a un qui nous échappe, empêchez-le de se réveiller ! »
Là, l’homme du flash-back se réveille dans une pièce en rond dans une sorte de cocon qui lui fait ressortir que la tête. Il a la tête recouverte d’un casque et le corps couvert de fils et autres électrodes. Il commence à se les enlever.
Il n’a pas le temps de finir que des hommes (si on peut appeler ça des hommes ) l’encerclent et le mettent en joue.
« Halte humain! »
Les extra-terrestres en combinaisons le font sortir du cocon.
Il les assaille de questions.
Un seul lui répond ( avec traducteur universel ou autre )
« Qu’est-ce que je fais là, où je suis ? »
« Vous êtes sur notre vaisseau à l’entrée de l’atmosphère terrestre. Et quant à savoir ce que vous faites ici, c’est simple, vous nous aidez à mieux comprendre comment les humains réagissent devant des situations inconnues ou critiques afin de pouvoir réaliser le potentiel de votre race et ainsi savoir si nous pouvons conquérir votre monde. »
L’homme s’aperçoit en passant devant une surface plane qu’il n’a pas le même visage qu’au début quand il s’est regardé dans le miroir.
« Ca veut dire quoi, ce n’est pas moi, je rêve ! »
« Vous n’avez pas encore compris ? L’endroit où tu étais tout à l’heure n’était pas réel.
On a juste rassemblé vos divers souvenirs et désirs pour créer un monde virtuel qui vous convienne à tous. »
« Comment ça tous ? Je n’étais pas tout seul à vivre dans ce monde virtuel. »
« Oui et non, en fait, il y a environ mille humains pour un corps. On a amalgamé toutes vos caractéristiques physiques et mentales pour créer un seul homme. L’homme que vous avait cru être. C’est pour connaître les réactions dominantes dans telles ou telles situations. »
« Alors je n’ai pas tué cette fille ? »
« Non, cela aurait dommage car elle représente la femme parfaite pour vous tous. Vous auriez pu dans la prochaine simulation coucher avec elle. Pas aussi agréable qu’en vrai je vous l’accorde mais à mon avis vos compagnons ne vont pas s’en plaindre. »
« Mais comment j’ai pu sortir de cette simulation ? »
« Je pense que c’est en partie de notre faute, le fait de faire prononcer à cette femme cette phrase à dû faire ressortir tes propres souvenirs et te rappeler ta véritable vie.
Cela confirme que ton mental est fort, car sans toi dans le simulateur les autres ne réagissent pas aussi bien que tu l’aurais fait. Ils se laissent embarquer par votre police. ( il rigole ) »
Heureusement tu n’as pas réussi à réveiller les autres.
Tu es un danger, mais tu fais partie des exceptions et cela nous laisse entrevoir une victoire sur votre espèce. Adieu. »
Il demande à ses soldats de le jeter dans le vide sidéral.
Il se débat un peu mais les aliens sont trop nombreux et équipés.
On le voit qui tombe.
L’étude sur le comportement humain peut donc continuer.

hellshock11
11/03/2005, 15h11
god is all :

On suit une femme noire ne se souvenant de rien étendu sur le côté de la route. Elle se réveille à demi-nue.
Elle semble troublé. Mais d’un geste elle s’habille.
Elle marche le long de la route et fait du stop.
Deux personnes dans une voiture s’arrêtent. Ce sont deux femmes et elles ressemblent comme deux gouttes d’eau à notre amnésique du début.
-On vous emmène ?
-Oui, merci.
Elle monte. Elle ne réagit pas sur la ressemblance qu’elles ont avec elle car elle n’a pas encore vu son visage.
Elle s’aperçoit quand même que les deux femmes se ressemblaient.
-Vous êtes jumelles ?
-Non, on est à ton image.
-Quoi, Qu’est-ce que… ?
-Tu ne te rappelles pas ?
-De quoi je devrais me rappeler ?
Elles arrivent en ville. Et la toutes les passantes ressemblent à notre héroïne.
-Mais ça veut dire quoi tout ça, je suis où ?
-On est dans un monde crée à l’image de Dieu.
-Dieu n’existe pas, c’est une création de l’homme pour se rassurer.
-Tu as tort, Dieu c’est toi !
-Moi ? Je serais Dieu. C’est quoi ce délire.
-Oui, c’est toi et tu as le pouvoir de tout faire, et en particulier ici.
-Même d’arrêter cette folie ?
-Oui, si tu le veux.
Et d’un coup toutes les femmes disparaissent. Seule notre héroïne reste.
La terre se met subitement à trembler, elle essaye de se mettre à l’abris.
Elle commence à se dire que si elle a fait disparaître toutes ces femmes, elle pourrait peut-être arrêter ça.
Elle se concentre, essaye encore et encore mais elle échoue.
C’est alors que la catastrophe commence. D’énormes blocs de bétons tombent sur elle.
Au moment où les débris sont sur elle, elle se réveille en sursautant.
Une femme dans son lit (fait de nuages) lui demande si ça va.
-J’ai fait un cauchemar. Je ne croyais plus en moi-même.
-Ne t’inquiète pas, les mortels se chargent de croire en toi. Ils le font tellement bien que tu continueras à rester leur Dieu tout puissant pour un moment.
-Oui tu as raison, je ne devrai pas m’inquiéter.
Elles s’embrassent et on voit qu’elles sont dans les nuages très loin au-dessus de la Terre.
Elles sont carrément gigantesques, et on comprend que Dieu est une femme noire et lesbienne.

hellshock11
11/03/2005, 15h12
fou de rage :

L’action se passe dans un quartier pavillonnaire où les maisons se touchent.
Notre héros rentre chez lui en voiture et voit devant chez lui un rassemblement de policiers.
Il a peur de comprendre. Il se fraye un chemin ( il passe devant un voisin que l’on ne voit que de dos se faisant interroger ) et rentre chez lui pour découvrir horrifié que sa femme et son petit garçon ont été tué. Il est effondré. On lui dit que c’est apparemment ou plusieurs individus qui se sont introduit chez lui pour un simple cambriolage mais que quand son fils et sa femme les ont surpris en rentrant des courses, ils les ont tués.
A force de déprimer, notre héros ne devient plus que l’ombre de lui-même. Il n’arrête pas de ressasser ce qui s’est passé. Il a l’impression que sa vie est finie. Il vit dans le noir, il ne voit plus ses amis et ne répond même plus au téléphone. Il se laisse lentement partir.
Un jour où il était vraiment mal, il a traversé la route au passage piéton alors que s’était aux voitures de passer et c’est un vieux qui attendait lui aussi pour passer qui l’a chopé par le bras et qui l’a presque engueulé.
- Vous êtes aveugles ou suicidaires mon garçon ? Vous ne voyez pas que ce n’est pas à nous de passer.
Il eut un déclic à ces mots : S’il ne supportait plus la vie sans sa famille pourquoi ne pas en finir.
Le soir même, il se saoula et pris sa voiture. Il divaguait, il pleurait et de temps en temps il passait de l’autre côté de la route. Il fermait également les yeux de temps en temps. Au début quand les voitures arrivaient en face au loin il se rabattait, mais son désir de mourir et l’alcool aidant de plus en plus il le faisait au dernier instant.
Jusqu’au moment où en se rabattant de façon tellement juste qu’il perdit le contrôle du véhicule et partit dans le décor ( sans gravité ) Mais il avait fait aussi quitter la route à l’autre conducteur qui arrivait en face.
Il reprit ses esprits et paniqué sortit de la voiture.
-Mais qu’est-ce que j’ai fait bon dieu ? ! Quel con je suis !
Il décida d’aller porter secours à l’autre automobiliste.
Il le prit et le sortit de la carcasse de la voiture en flamme, il le porta sur ses épaules et le mit à l’abri.
L’homme était inconscient. Il l’allongea sur le dos et remarqua qu’autour de son cou il avait la même chaîne et le même médaillon que sa femme lui avait offert à l’époque. Il regarda la fermeture et comme celle-ci était cassé et qu’il vit les inscriptions derrière le médaillon. Il n’eut plus de doute. C’était belle et bien la sienne.
Il alla prendre un bâton et revînt vers l’homme. Il posa assez violemment son pied sur les couilles de l’autre qui se réveilla presque aussitôt.
-Où as-tu eu ce pendentif ?
-De quoi ? Mais t’es fou mec.
-Où as-tu eu ce pendentif ?
-On me l’a offert. Ma mère me l’a offert la semaine dernière.
Il prend son élan avec son bras et fracasse la jambe de l’homme avec le bâton.
L’homme hurle.
-Ce n’est pas beau de mentir ( il arrache le médaillon et le retourne ) pourquoi ta mère aurait fait marquer ça.
-AIIrrg, c’est bon je l’ai volé prend le si tu veux, mais je t’en prie arrête.
-Il y a marqué « A Paul pour la vie »et devine comment je m’appelle.
Le voleur vient de comprendre et se rappelle.
-C’est pas moi, je vous jure c’est pas moi. Je n’ai tué personne. J’étais juste là en cas de besoins.
-Dis-moi qui les a tué alors, et je te laisserai peut-être vivre.
-Ecoute man, je ne peux pas te le dire c’est la famille tu comprends ?
Il fait le geste comme s’il allait lui casser l’autre jambe.
-Non, c’est bon c’est bon, c’est mon cousin Nixxons. C’est lui. Je vous jure c’est lui.
-Et où est-ce que je peux le trouver ?
Une fois qu’il lui a donné l’adresse, il le frappe à mort au visage avec le bâton. Il cache ou il jette le corps. Il rentre chez lui avec sa voiture cabossée.
Il cherche un couteau qui pourrait lui servir d’arme contre Nixxons.
Il va chez Nixxons, qui habite dans un immeuble en ruine dans un quartier malfamé.
Il va frapper à la porte mais il n’y a personne, un toxico qui passait dans le couloir lui dit qu’il est sorti et qu’il était là en premier pour être servi.
Il décide de faire le guet devant l’immeuble.
Le toxico parle à Nixxons et il en vient à lui dire que l’homme qui était dehors ( notre héros donc ) le cherchait. Mais entre temps notre homme c’était caché et Nixxons regarde dehors et ne voit personne.
-Où il est ton gars, il n’y a personne dehors ?
Ils continuent leur transaction.
Un peu plus tard on retrouve Nixxons dans son appart. On sonne à sa porte.
Il prend un flingue par précaution et regarde par le judas.
C’est le toxico.
-ouvre-moi, tu m’as enculé sur la qualité !
-Quoi, tu te fous de ma gueule ou quoi, c’est la même que d’hab.
Nixxons entrouvre la porte et là notre héros qui était caché sur le côté de la porte se sert du toxico comme bouclier et enfonce la porte ( il a le couteau qu’il avait pris chez lui )
Le toxico est assommé, Nixxons est déséquilibré et perd son flingue.
Notre homme rentre, pose son couteau, récupère le flingue au sol et le pointe en direction de Nixxons.
-Je veux juste savoir une chose. Pourquoi ne pas les avoir épargné ? Ils ne représentaient pas une menace pour toi. Alors pourquoi.
-De quoi tu parles, mec ?
-La semaine dernière, ton cousin et toi vous vous êtes introduit dans une maison pour cambrioler et quand vous vous êtes fait surprendre vous avez paniqué et vous avez tué une femme et son fils. Manque de bol pour toi, c’était ce que j’avais de plus cher au monde.
Nixxons ne se dégonfle pas et sourit même.
-Ca ne s’est pas exactement passé comme ça.
Il lui raconte l’histoire et on voit en flash-back ce qui s’est réellement passé.
-Nous étions assis tranquillement dans le salon à siroter une bière en attendant que ta femme rentre, une fois qu’elle est rentrée, elle n’a pas eu le temps de poser ses courses que je lui ai allongé deux bastos dans le bide et pareille pour ton gosse. On a fouillé et pris quelques affaires après les avoir tués. Nous n’étions pas venus cambrioler ta maison. Nous étions là pour assassiner ta femme et ton gosse. C’était ça le contrat.
-Quel contrat ? De quoi parle-tu ?
-On nous a payé pour tuer ta famille.
-Qui ça on ?
-Je ne sais pas, je n’ai qu’un numéro de téléphone et le mec se fait appeler M. X.. Ce qui entre nous n’est pas très original.
-Arrête de te foutre de ma gueule !
-Je ne me fous pas de ta gueule, tiens.
Il s’est levé, toujours en gardant son calme et il a tendu un bout de papier à Paul qui lui serrait bien fort l’arme dans ses mains. Mais le fait qu’il tende la main pour récupérer le papier, a donné une ouverture à Nixxons qui en a profité pour le cogner.
Une bagarre s’engage, et Nixxons finit par récupérer son flingue et s’apprête à tirer quand Paul voit son couteau par terre et le balance sur Nixxons.
Il prend le couteau en pleine tête et il titube en arrière et bascule par la fenêtre.
Paul s’échappe en courant et met un coup de pied dans la tête du toxico qui sortait des vappes.
On le voit en bas de l’immeuble passer devant le cadavre de Nixxons.
Il rentre chez lui et interroge les renseignements pour savoir à quelle adresse correspond ce numéro.
A sa grande surprise, il connaît l’adresse.
-Quelle ordure ! Il va payer.
On le voit sortir de chez lui et aller chez le voisin. Il sonne.
C’est un petit homme assez laid et grincheux qui lui ouvre ( c’est le voisin qui témoignait de dos au début )
-Qu’est-ce que vous voulez ? Je vous ai déjà dit mille fois que je ne prêtais rien à mes voisins.
Il n’a pas le temps de finir sa phrase que notre héros lui décoche une droite en pleine figure et l’assomme.
Il ferme la porte, cherche du scotch ou de la ficelle et une fois trouvé, il attache son voisin à une des chaises du salon.. On le voit sortir et revenir avec un bidon.
Il l’imbibe d’essence et lui met des gifles pour qu’il se réveille.
Il se réveille :
-Mais qu’est ce que, que c’est, qui ? Mais enfin qu’est-ce que vous me voulez ?
-Comme si tu ne le savais pas, espèce d ‘enfoiré ? Pourquoi avoir fais tuer ma femme et mon fils ? On ne vous a jamais fais chier, on ne se connaissait même pas.
Là le mec change de visage ( plus colérique )
-Jamais fais chier. Et les soirées câlines en veux-tu en voila ! Les apéros avec les amis, les fous rires. Et vas-y que j’écoute de la musique forte et vas-y que le gamin s’amuse et chahute. Tout ce bonheur me foutait la nausée. Je n’en pouvais plus de vous voir si heureux alors que moi les seuls bons moments que j’ai passé dans ma vie, c’est avec mon chat.
-Vous voulez dire que vous les avez tués car vous étiez jaloux de notre bonheur ?
-Oui et alors ?
-Mais vous n’êtes qu’un putain de malade !
-Les médecins disent que je ne le suis plus.
-C’est un cauchemar.
Il grille une allumette et lui balance dessus.
-Non, non vous ne aarrrggh.
Il flambe.
-Fallait réfléchir avant mec.
Il le regarde un peu. Il sort et continue de regarder le feu qui s’est étendue à toute la maison.
C’est à moment que des voitures de polices et de pompiers arrivent.
Les pompiers s’occupent du feu et les policiers ordonnent à Paul de mettre ses mains sur sa tête et de se mettre à genou. Ce qu’il fait.
Ils arrivent sur lui et lui passent les menottes. Paul sourit. Il n’avait rien à perdre et en plus il a eu sa vengeance.

hellshock11
11/03/2005, 15h12
footing mortel :

On voit un homme en tenues de sport se mettre des chaussures de sports assez pourries ( il est dans son appart, qui lui non plus n’est pas top )
Il sort de chez lui et entame un footing en ville.
A un moment il voit une voiture où à l ‘intérieur un homme se sent mal. ( crise cardiaque ou autre )
Il se met à faire un sprint pour essayer d’atteindre les freins, malheureusement la voiture roule trop vite.
Il essaye de rentrer dans la voiture mais il a juste le temps de dévier la voiture de sa trajectoire afin qu’elle n’écrase pas des gens qui étaient en train de traverser. La voiture finie sa course dans une vitrine.
On le félicite, des secours et des journalistes arrivent. On lui pose plein de questions.
Il répond qu’il est chômeur et qu’il s’entraîne juste pour la forme et qu’a sa place tout le monde aurait fait pareil.
Peu après, un homme parmi la foule vient le voir et lui propose après l’avoir vu courir (et un peu aussi parce qu’il faisait partie des gens susceptibles d’être écrasé.) de faire parti de son team professionnel d’athlétisme.
Il toucherait un très bon salaire. L’homme lui laisse son numéro et de l’argent en lui disant qu’il pourra s’acheter des chaussures neuves.
L’homme est super content ; c’est un héros et il a trouvé un job bien rémunéré et tout ça dans la même journée.
Il va dans un magasin s’acheter ses godasses de sport. Il craque pour une paire assez chère et performante.
Il ressort du magasin ; il va pour traverser. Il se fait faucher par une voiture, qu’il n’avait pas vu, tellement il était occupé à regarder ses nouvelles chaussures.
Le lendemain autre image ; gros plan sur les nouvelles chaussures. Zoom inversé, on voit notre homme sur une chaise roulante.
Un médecin lui parle : Nous sommes désolés, votre colonne en a pris un coup, vous êtes paralysé à vie.
Sur la table de nuit, on voit le journal où on parle de lui dans un article. Il regarde à peine et baisse les yeux.

hellshock11
11/03/2005, 15h13
detaillé gorille albinos :

PLANCHE 1

Case 1 : On voit notre héroïne ( style aventurier ) dans un jet en train de lire des instructions.
La case est le hublot de l’avion et on la voit de profil.
Voix off : « On arrive sur notre objectif Miss Layne »
Case 2 : Gros plan de ce qu’elle lisait. On regarde par-dessus son épaule.
On voit une partie de l’arrière de sa tête à droite de la case.
Texte sur le papier : ( en gros )
Il faut que vous récupériez le trésor de Sorinna avant les membres de la secte du Cobra d’Or, qui pourrait s’en servir pour s’enrichir et mener à bien leur développement et ainsi accroître leur puissance. Nous avons regroupé toutes les informations que nous avions pour vous fournir une carte qui soit la plus exacte possible. Bonne chance…
Texte femme ( pour répondre au pilote ) : Ok, je me prépare !
Case 3 : Plan de pied de ¾ de profil. On la voit à la porte de l’avion ( ouverte ) et qui s’apprête à sauter en parachute. On la voit de dehors.
Texte Miss : Venez me chercher au point convenu dans 6 heures.
Case 4 : Elle est en l’air. On la voit de dessous en plan de pied.
Elle prend plaisir à sauter ( sourire )
Son parachute n’est pas encore ouvert . Ses jambes sont pliées et ses bras écartés.
Case 5 : Vue de dessus. On voit son parachute ( avec Logo de son organisation ou un clin d’œil du dessinateur. ) Plan assez large. Le sol est rocailleux et montagneux ( nuance de gris )
Case 6 : Elle est au sol. En même temps qu’elle enlève son parachute elle regarde légèrement en l’air.
Texte Miss : Ca a l’air d’être par là.
Case 7 : Plan moyen d’une montagne ( en ton de gris ) avec une sorte d’avancée à mi-hauteur.
On voit la montagne un peu plus loin d’elle.

PLANCHE 2

Case 1 : On la voit de dos en plan américain en train d’escalader la paroi à mains nues et sans sécurité.
Case 2 : On voit juste une main arriver à hauteur de la galerie creusée dans la montagne en gros plan. On voit la main de l’intérieur de cette galerie.
Case 3 : Plan américain de profil. Ses jambes sont encore en dehors de la galerie mais avec ses bras elle se hisse à l’intérieur de la grotte. ( buste et bras au sol )
Elle lève la tête.
Texte Miss : Oh oh !
Case 4 : Gros plan de la gueule d’un gorille albinos qui grogne et qui n’a pas l’air content.
Case 5 : Plan plus large, on voit le gorille en entier de face et notre héroïne qui se met debout. ( elle a un genou à terre )
Il y a un cadavre au sol d’un gars de la secte du Cobra d’Or ( on le reconnaît car ils ont des costumes spécifiques. ) C’est le gorille qui l’a tué.
Case 6 : On la voit qui sort une arme ( à feu ) Profil plan large.
Héroïne à gauche / Gorille à droite de la case.
Case 7 : Elle finit de se lever en vidant son chargeur sur le gorille qui s’approchait d’elle toujours menaçant. Plan américain.
Case 8 : Cela n’arrête pas le gorille qui la soulève et essaye de l’écraser dans ses bras. Ils sont face à face. ( elle n’a pas les bras coincés )



PLANCHE 3

Case 1 : Elle sort 2 couteaux ( soit de ceinture, soit de veste suivant ses vêtements. )
Case 2 : Elle plante un couteau de chaque côté du cou du gorille qui hurle de douleur.
Gros plan des mains de notre héroïne et de la tête du gorille.
Case 3 : Le gorille la lâche et essaye de s’enfoncer dans la galerie. ( blessé très grièvement )
Case 4 : Elle essaye de reprendre sa respiration. Elle se tient là où le gorille la serrait.
On entend une voix de l’intérieur de la galerie.
Texte voix off : Ne bouge plus !
Case 5 : On voit un second gars de la secte encore vivant mais salement amoché de face qui marche en s’aidant de la paroi et pointant une arme à feu vers notre héroïne.
Texte Gars : Merci de t’en être débarrassé. Je me voyais déjà finir comme mon camarade .
Case 6 : Gros plan de la tête du gars.
Texte Gars : Si tu es là c’est que tu cherches aussi le trésor, mais dis-toi que cela fait trois jours que je suis ici et que je n’ai pas vu le moindre gramme d’or.
Case 7 : Visage de notre héroïne en arrière plan et dos du gars en premier plan à droite.
Texte Miss : Ca ne m’étonne pas. Des caves comme vous ne trouverez même pas de l’eau à la mer. Et si j’étais toi je me retournerais.

PLANCHE 4

Case 1 : Gros plan de face de la tête du type qui rigole.
Texte Gars : Et c’est nous les caves ! Tu crois que je vais me faire prendre à la plus vieille ruse du monde. Eh ben là tu te goures.
Case 2 : Même plan sauf qu’une énorme patte de gorille ( blanc toujours ) lui enserre la tête.
On devine de l’effroi dans ses yeux.
Texte voix off Miss : Qu’est ce que je disais !
Case 3 : Le gorille est nettement plus grand que le premier ( toujours albinos ). On le voit en plan de pied. Il soulève le gars par la tête et le cogne violemment contre la paroi au niveau de la tête.
Case 4 : Plan assez large ¾ de profil. Elle regarde ce que le gorille a fait au gars.
Le premier cadavre est entre elle et le gorille ( plus prés d’elle )
Le gorille s’approche vers elle.
Case 5 : Gros plan des yeux. Elle voit un truc.
Case 6 : Gros plan des grenades à la ceinture du cadavre du gars de la secte.
Case 7 : On la voit qui dégoupille les grenades ( à la main ) très rapidement.
Case 8 : On la voit de dos se diriger en courant vers la sortie de la galerie. On a l’impression qu’elle va se jeter.

PLANCHE 5

Case 1 : Juste avant la sortie le gorille la chope par les cheveux. Ce qui la stoppe net dans son élan. On voit la tête et la patte du gorille.
Case 2 : Le gorille la soulève par les cheveux. Elle ne touche plus le sol. Plan américain de face. Elle grimace de douleur. Elle essaye de le faire lâcher prise.
Case 3 : Elle sort un autre couteau. On croit qu’elle va le planter.
Case 4 : Juste le mouvement du couteau. Effet de vitesse.
Case 5 : On voit ses cheveux tomber en gros plan.
Case 6 : Elle retombe sur la pointe des pieds avec les jambes pliées. Genoux très écartés et un bras d’appui entre ses jambes qui touche le sol.
Case 7 : On voit en gros plan sa main agripper la partie extérieure de la galerie à droite.
Case 8 : Gros plan des grenades.

PLANCHE 6

Case 1 : Explosion de la galerie. Elle se tient à l’extérieure de la galerie à droite. ( au même niveau de l’entrée pour éviter les rochers qui tombent. Tête tournée du côté opposé de l’explosion. Effet de souffle.
Case 2 : Une fois la poussière retombée, la galerie est bouchée par des rochers. Elle toujours agrippés.
Texte Miss : Je ne suis pas prés de le retrouver maintenant ce fichu trésor. Mais la consolation, c’est que ces fanatiques ne profiteront pas non plus de ces richesses.
Case 3 : On voit un avion, le même qu’a l’aller. ( On ne voit pas notre héroïne sur la case )
Case 4 : Elle se regarde dans un miroir avec ses cheveux court ( gros plan )
Texte Miss : Bah, après tout, c’est pas si mal comme ça.
Bruitage : Tél qui sonne.
Case 5 : On la voit répondre et converser avec son patron. Plan américain.
Texte patron : Alors vous avez réussi ?
Miss : Désolé Monsieur pas le moindre trésor.
Patron : Bizarre ! Mes sources ne se sont pourtant jamais trompées.
Miss : Apparemment non puisque j’ai rencontrer des gars de la secte là-bas.
Mais je vous dis, à part des gorilles albinos d’une tonne la grotte était vide.
Case 6 : Plan du visage et du combiné.
Texte Patron : Mais c’était ça le trésor. La rareté de ces animaux fait que les collectionneurs seraient prêts à payer des millions pour les avoir.
Miss : Comment ça ?
Patron : Le gorille albinos est considéré comme une légende. Personne, à part vous, n’a jamais vu de gorille albinos.
Case 7 : On voit en plan large une femelle gorille essayer de déterrer le mâle qui a été ensevelie par les rochers après l’explosion.
Voix off Miss : Vu comment se sont terminés mes recherches, je suis sûre que ce sera encore le cas pendant un petit moment.

hellshock11
11/03/2005, 15h14
goût amer :

Un homme assez fort ( presque gros ) rentre en prison, il va rendre une visite à son frère.
Son frère est en prison car il a tué le violeur et l’assassin de sa copine.
Le gros lui montre une photo de lui et d’une belle jeune femme et lui dit qu’il est amoureux. Il lui raconte que grâce à l’avocat de la famille, il a pu rencontrer la belle dans un bar et la revoir vu que c’est l’avocat qui les a présentés.
Il lui dit qu’il attend une semaine, la sortie de prison de son frère pour lui présenter.
Devant le bonheur de son frère, il n’ose pas lui avouer quelque chose.
Il repart.
Son frère se réjouit de voir son frère si heureux. Depuis toutes ces années où il venait le voir, c’est la première fois qu’il le voit comme ça.
Une semaine se passe.
L’autre sort de prison ; il ne voit pas son frère à la sortie.
Va chez lui : Personne.
Il décide donc d’aller au bar où il a rencontré la fille dont il lui a parlé.
Il montre la photo de son frère à la serveuse qui lui dit qu’il venait assez souvent.
Il lui dit qu’il avait rencontré une fille ici et demande à la serveuse si elle la connaissait.
Elle la désigne du doigt.
La copine de son frère est sur scène et elle fait un show ( genre strip-tease )
Il s’aperçoit qu’elle est plus craquante en vrai et qu’elle est carrément bien roulée.
Il décide d’aller lui parler dans les loges.
Il se présente et lui demande où est son frère.
« Cela fait 4 jours que je ne l’ai pas vu, il a disparu sans aucune nouvelles et je m’inquiète pour lui. »
Elle se la joue triste, et est quand même surprise de savoir que son compagnon avait un frère.
Il la réconforte puis il rentre chez son frère.
On voit la fille plus tard rentrer dans un château.
Elle y rencontre un homme bien habillé, la pièce est décorée bizarrement.
Elle lui dit que le gros n’était pas sans famille comme ils avaient bien pu le croire, et quand plus de ça son frère le cherchait. Elle demande ce qui faut en faire.
L’homme ( d’une 50aine d’année ) lui répond qu’elle se débrouille mais qu’il ne faut surtout pas qu’il mette le nez dans leurs affaires.
Le lendemain, la fille va à l’appart du gros et son frère qui a dormi là lui ouvre.
Elle lui fait du rentre dedans malgré son air attristé.
Lui, la repousse. ( fiancée de mon frère…)
Il va prendre sa douche tranquille.
Elle se déshabille et le rejoint.
On ne voit pas ce qu’elle cache derrière son dos ( elle cache ses mains )
Il la repousse encore.
Et là, surprise, elle brandit un couteau, et son faciès se transforme ; elle semble enragée.
Il a juste le réflexe de lui pointer la poire ( amovible )de la douche vers le visage, ce qui a pour effet de la perturber.
Il en profite pour la désarmer et il l’attache sur le lit une fois maîtrisée.
Il lui pose des questions en blocs : « C’est quoi ce cirque, qu’est-ce que tu as fais de mon frère… ? »
Réponse de la femme qui semble s’être calmée : « L’amour et l’âme de ton frère repose en chacun de nous. »
« Quoi ! »
« Le fait qu’un homme soit amoureux ajoute une saveur à sa chair, et ton frère était particulièrement délicieux étant donné qu’il était fou amoureux de moi.
Je ne me rappel pas pareil festin. »
« Espèce de malade, t’es en train de me dire que t’as bouffé mon frangin ? »
« Il était trop gros pour moi toute seule, mais crois-moi, j’y ai bien pris ma part. »
« Tu n’étais pas toute seule ? »
« Non, à chaque repas on se retrouve à plusieurs, c’est le maître qui veut ça. »
« C’est quoi cette secte de malade ? »
« Pas une secte, on ne demande pas d’argent et on n’organise pas de suicide collectif. »
« Vous devriez. Combien vous êtes ? »
Elle ne répond, mais notre héros avec un peu de persuasion et quelques gifles et menaces parvient à lui soutirer le nombre qui participe habituellement à ce genre de manifestation.
Il lui demande aussi les noms, et même manège, elle refuse tout d’abord de les lui dire puis après s’être fait tabasser et menacer par le couteau, elle lui balance la liste des complices.
Notre héros ne réagit qu’a l’énoncé d’un seul nom.
« Salopard ! »
Il demande où ils se regroupent, elle lui répond mais le met en garde.
« Ils vont te faire la peau si tu oses aller là-bas et je suis sûre qu’ils ne te feront même pas cuire pour te manger. »
Il l’assomme et resserre ses liens un peu plus.
Il va chez son avocat ( celui qui avait présenté la fille à son frère )
Il entre et l’avocat l’accueille à bras ouverts. ( l’avocat a un œil au beurre noir )
« Alors enfin libre ! »
« Tais toi et assied toi !
« Quoi je .. ! »
« La ferme !! Ce matin l’ex-petite amie de mon frère a essayé de me tuer et m’annonce qu’elle l’a bouffé avec ses petits camarades cannibales et que toi t’es aussi dans le tas.
C’est quoi c’est connerie ? »
« Alors t’es au courant ? »
« Oui je suis au courant, vous n’êtes qu’une bande de malade et je vais vous dénoncer aux flics. »
L’avocat sort une arme d’un de ses tiroirs de son bureau et la pointe vers notre héros.
« Tu ne vas rien faire du tout. Tu seras mort avant. »
« Tu ne vas pas tirer sur moi, je te rappel que j’ai fais dix ans en vengeant ta sœur. »
« Je sais, je t’en suis reconnaissant mais si le maître apprend que je t’ai laissé filer voir les flics, il me tuerait. Déjà qu’il n’a pas hésité à me cogner quand il avait appris que j’avais ramené un gars qui n’était pas seule. Je croyais que t’allais rester pourrir en prison pour un bout de temps. Pourquoi t’ont-ils relâché ? »
« Et dire que t’est mon avocat. Ils m’ont relâché car ils ont découvert qu’il ne me restait pas beaucoup de temps à vivre. J’ai chopé une maladie incurable et mortelle, et comme je me conduisais bien ils ont fait preuve de clémence à mon égard. »
« Beurk ! Moi qui rêvais de te ramener comme plat principal pour ce soir, tu risquerais de tous nous contaminer. Adieu donc ! »
Et c’est le frère, qui avait caché dans sa poche l’arme qui lui avait permis de tuer l’assassin de sa fiancée, qui fit feu dans la jambe.
« Tu m’a pris pour qui, tu crois que j’allais venir chez toi les mains dans les poches sachant ce que t’avais fait à mon frère. J’espère que tu reconnais l’arme. »
Il le met en joue et le tue d’une balle dans la tête.
Il l’embarque dans sa voiture ( dans le coffre )
Il se dirige donc vers le château où se regroupent les cannibales.
Il s’arrête à la poste et envoi à l’adresse du domaine son bulletin de santé ou autre démontrant qu’il avait bien une maladie mortelle.
Il arrive au château et rentre. Il se présente devant celui qui semble le maître sans le cadavre.
Arrive à le convaincre qu’il veut devenir cannibale. Il dit que s’est la strip-teaseuse qui l’a convaincue de se convertir, mais qu’elle n’était pas la car l’avocat l’avait tué et qu’a son tour il avait tué l’avocat.
Pour preuve il va chercher l’avocat.( son cadavre )
Le maître lui dit :
« Tu vas nous prouver ta bonne foi en restant mangé avec nous. »
Ils font cuire l’avocat mais s’aperçoivent qu’il y a des réactions bizarres à la cuisson.
Notre héros l’avait bourré de médicament et autre produits de ménages.
« Tu as essayé de nous tuer en nous empoisonnant, pour te punir c’est toi qu’on va dévorer. »
Notre héros a un léger sourire, c’est ce qu’il attendait. Mais d’un coup il semble plus inquiet ; il se rappelle que la fille n’est pas là et que son plan n’est pas parfait.
On voit la strip-teaseuse se réveiller et essayer de se détacher.
Ils tuent notre héros.
Ils le bouffent ( descriptif gore ou scène rapide )
La fille dans la maison continue de crier au secours, et un homme assez jeune la découvre à poil, attachée sur le lit.
Elle lui dit d’un air coquin : Détache moi et ensuite on va se régaler. »
L’homme la libère et on se doute qu’elle le tue. On entend juste les cris de l’homme après.
Le lendemain ou le surlendemain.
Première fin : On suit le facteur qui dépose la lettre au château. ( et on comprend qu’il vont apprendre qu’ils sont tous contaminés )
Deuxième fin : Le maître l’a lit et apprend qu’ils sont contaminés.
Seule la femme en réchappe.

hellshock11
11/03/2005, 15h15
ile flottante :

Un homme doit effectuer un reportage photo depuis une mongolfière.
Au bout d’une heure de vol, il est pris dans une bourrasque.
Il se retrouve alors devant un phénomène bizarre ; de l’eau s’écoule en cascade sans point d’origine. Il prend des photos.
Le vent reprend de plus belle et il échoue dans une forêt alors qu’il croyait être en plein ciel.
C’est une île flottante en plein ciel invisible à l’œil si on est à l’extérieur. Elle devient visible une fois qu’on y est.
C’est un paradis tropical.
Et désormais il voit la source de la cascade alors que jusqu'à présent il ne voyait pas d’explications logiques à cette eau qui tombait du ciel sans source.
Il marche et arrive dans un petit village, il n’y a que des enfants presque nus, qui d’ailleurs tentent de s’enfuir quand ils l’aperçoivent. Ils ont peur de lui.
Il les rassure, en fait, ils n’avaient jamais vu d’adultes.
Il prend toujours pleins de photos.
Il leur demande qui ils sont, pourquoi il n’y a pas d’adulte et beaucoup d’autres questions.
C’est en fait des enfants immortels qui vivent en autarcie et qui ne sont même pas conscient qu’il y a de la vie au-delà de leur île. Les petites filles l’observent d’un air amuseur.
Mais de par les dires du gamin qui semble être leur chef (et qui s’exprime souvent à la première personne ), il s’aperçoit que c’est une sorte de dictature.
Le chef des gamins lui fait visiter l’île.
En voyant les champs et les enfants travailler, il comprend qu’il n’y a que les petits enfants noirs qui travaillent.
Il s’en étonne et demande pourquoi.
La réponse du petit, malgré son apparence innocente lui fait comprendre qu’ils sont racistes.
Ils ne considèrent pas leurs camarades comme leurs égaux.
Cela rappelle trop de mauvaises choses à notre héros et décide d’agir.
Il appelle les noirs et les blancs à se rassembler prés de lui.
Il commence par dire que d’où il vient des gens se sont battus pour l’égalité des peuples…
Il fait un monologue sur le racisme, ainsi que sur la dictature et leurs conséquences.
Il fait un discours très convaincant. On lui pose tous de même des questions auxquelles il répond volontiers.
Petit à petit il les aide à faire évoluer les choses et en parallèle les petits lui réparent son ballon.
Il les quitte quand il est sûr que ses enseignements ont bien étaient compris et que désormais ils ne feront plus les même erreurs.
Il leur dit au revoir et une fois en l’air, il calcule qu’il a oublié son appareil photo.
Il découvre aussi qu’un des petits de l’île se cachait dans la nacelle. C’est un des petits garçons noirs qui s’était faufilé là pour le suivre et découvrir le monde qu’il décrivait dans ses histoires.
Notre héros voulu le ramener mais il craqua devant ce petit bout de chou et décida de l’emmener avec lui.
On les voit s’éloigner de l’île.

hellshock11
11/03/2005, 15h15
loup ou garou :

Gros plan d’un homme qui nous raconte une histoire.
Son histoire commence dans une forêt en banlieue, très éloignée de la ville. Il est dans sa voiture ( nuit et brouillard ) Il passe un épais nuage de brouillard.
Il renverse une bête ( la heurte violemment avec sa voiture ) Il sort de la voiture et il s’aperçoit qu’il a tué une sorte de loup-garou, sauf que là, l’animal est habillé ( il s’en étonne)
Alors qu’il l’examinait, une lumière l’aveugle, des gens qu’il ne voit pas s’avancent.
Il leur parle mais ils ne comprennent pas. Pour eux il ne parle pas, il grogne ( et inversement ).
Ce sont tous des loups-garous habillés, mais notre héros ne les voit pas ( lumière dans les yeux)
Il se fait tirer dessus. Ils le ratent, mais avant qu’ils réessayent, notre héros décide de prendre ses jambes à son cou. Les loups-garous lui donnent la chasse.
Il ne comprend rien, il est affolé et se demande où il est tombé.
Il arrive près d’une rivière, se laisse emporter pour masquer ses traces.
Quand il décide de sortir de l’eau, il aperçoit une petite loup-garou.
Elle est terrifiée par cet homme qui va la dévorer.
Il ne comprend pas comment il peut inspirer autant de peur, il se regarde dans l’eau et ne voit pas son visage changé comme il aurait pu le penser. Il essaye de la rassurer, elle ne comprend pas ( Pour elle, il grogne ) mais commence à l’apprécier.
Elle vient lui caresser les cheveux. Elle sent qu’il ne lui veut pas de mal.
Des bruits se rapprochent, les poursuivants arrivent.
Il se cache dans un arbre.
Les loups arrivent vers la petite et lui demandent si elle n’a pas vu un humain passer par là.
Il les entend et les voit mais ne comprend rien.
La petite baisse la tête et dit non.
-Menteuse, va dis-nous où il est ?
-Mais il est gentil !
-Un homme reste un homme, il ne peut pas être gentil, c’est dans sa nature.
Le loup va pour la gifler (c’est son père )
L’homme d’un bond descend de son arbre :
-Si tu la touches, je te jure que tu vas le regretter !
Il décide de jouer avec la peur qu’il inspire.
Il hurle et la moitié des loups prennent peur et s’enfuient.
Parmi un de ceux qui restent, il y a un qui dit :
-Cela va faire 20 ans que je chasse l’humain, je sais ce qu’il faut pour le tuer.
Il sort des balles en argent, et commence à tirer sur notre héros.
Ce qui devait arriver arriva, et notre héros prit une balle en argent en plein cœur.
Il tomba dans la rivière et flottait légèrement.
On reprend l’image du début et on fait un plan plus large et on voit qu’il est mort dans l’eau( la tête sur un rocher)
Et là, deux policiers sortent le corps de l’eau
- A première vue, on dirait une mort par noyade !
Le second policier sort des poches de l’homme des médicaments et les montre à son collègue.
-Je dirais plutôt une crise cardiaque.

hellshock11
11/03/2005, 15h16
la vie est une loterie :

C’est le matin.
On suit un homme se préparer ( prendre déjeuner…)
Il lit son horoscope et celui-ci s’annonce bon pour la journée.
Avant d’aller travailler, il dit au revoir à sa femme et prend sa voiture.
Il s’arrête à un tabac pour s’acheter comme à son habitude des clopes et un billet de loterie.
Arrivé au bureau, il est convoqué par son patron et apprend qu’il est licencié pour négligence.
En sortant, il est un peu déboussolé et décide de tourner en voiture, et c’est à ce moment là qu’il voit sa fille ( lycéenne ) sur un banc en train de se droguer au lieu d’être en cours.
Il s’arrête brutalement et va vers elle.
Ils s’engueulent et elle part, énervée.
Juste pendant le temps de la discussion, il y a un gars qui essayait de lui voler la voiture.
Il s’en aperçoit et réagit très violemment. Il tabasse le voleur.
Après ça il décide de rentrer chez lui, et là il découvre sa femme au lit avec son amant.
Notre héros ne s’énerve pas mais prie l’homme de partir.
Une fois l’amant parti, une discussion assez tendue s’engage alors avec sa femme.
Il met les problèmes de la fille sur le tapis, aucun coup bas n’est oublié.
Il finit par la gifler quand elle lui annonce qu’elle veut divorcer.
Déprimé, il part précipitamment et décide d’aller se saouler dans un bar en ville.
Il boit, il parle, il boit, il parle et il boit encore.
On entend la télé du bar en voix off.
Au bout d’un moment, alors qu’il n’arrive pratiquement plus à tenir debout il décide de rentrer.
Il sort du bar mais ne trouve plus sa voiture là où il l’avait garé. ( embarquée par la fourrière )
Il tombe sur le cul tellement il est bourré, une voiture s’approche de lui.
Et au volant c’est l’homme qu’il avait frappé dans l’après-midi. ( il a des bleus et des pansements )
Le gars le percute violemment et on voit voler ses papiers ( portefeuille plus le billet de loterie)
On entend la télé en voix off qui annonce les chiffres gagnants du jour.
En gros plan on voit les numéros et on découvre qu’il avait le ticket gagnant.
Le billet finit par s’envoler. Et le corps de l’homme est toujours au sol.

hellshock11
11/03/2005, 15h16
invasion raté :

On voit des extra-terrestres planifiant d’envahir la Terre ( à cause des ressources que nous possédons et qui seraient profitables pour eux aussi )
Une invasion est prévue. On voit la flotte au grand complet dans l’espace.
Pendant le voyage spatial devant les conduire à la Terre, il y a un incident. Toute la flotte se retrouve dans un tourbillon.
On les retrouve, échoués, dans un monde où le sol est tout blanc. L’atmosphère est humide.
On ne voit rien qu’un océan à perte de vue. ( ambiance sombre )
La plupart des vaisseaux et des appareils sont endommagés. Les troupes se réunissent et essayent de savoir où ils sont.
Ils font des prélèvements et envoient des éclaireurs.
Soudain un léger vent, puis un grand flash aveuglant suivi d’une pluie acide déciment les troupes.
Ca s’arrête, petit moment de calme.
Un des extra-terrestres restant vient vers son commander et lui annonce qu’ils ont perdu le contact avec leur planète.
A ce moment là un gigantesque raz de marée fini de balayer la flotte alien.
En zoom inversé, on voit la caméra s’éloigner des vaisseaux et on voit un homme qui tire la chasse d’eau des toilettes.
On revient sur la planète alien et dans le QG .
Je répète si vous m’entendez, rappelez vos troupes. Nous nous sommes trompés ! La Terre est un milliard de fois plus grosse que notre planète. Votre mission est vouée à l’échec. Je répète.

hellshock11
11/03/2005, 15h17
mad :


L’histoire se déroule dans une ambiance entre Conan le barbare et Mad Max. Tout est à la débrouille. Plus beaucoup d’animaux sur Terre et encore moins d’habitants. Les grandes cités sont assez éloignées les unes des autres et le climat est rude ( soit très froid soit très chaud )
On voit Pamphil (notre héros ) se déplacer sur une sorte d’aile volante avec ses affaires dessus. Il fait très froid et il est couvert de façon à ce qu’on ne voit que ses yeux. ( Capuche plus foulard autour de sa bouche et son nez ). Il est très grand et très costaud, il a également des tatouages tribaux sur les bras ( que bien sûr on ne voit pas vu qu’il est habillé chaudement ) Outre ses affaires il a des armes ; une hache et une épée qui sont rafistolés et améliorées. Sur la lame de sa hache on peut voir des micros circuits et un petit générateur (en fait dès qu’il appui sur un bouton situé sur le manche de la hache, le générateur crée une sorte de rayon qui coupe tout à 20 m ) La lame de son épée est aussi trafiquée : son épée génère une chaleur incroyable assez rapidement ce qui fait qu’elle peut couper plus de chose quand le système est enclenché.
On le voit donc avancer sur son aile volante au-dessus de la neige pendant une petite tempête, lorsqu’il entend du bruit derrière des arbres. Il laisse son engin volant à l’abri et décide d’aller voir ce qui se passe.
Il y a un homme perché sur une branche assez haute qui tient une chouette dans sa main et l ‘empêche de s’envoler.
Un autre homme qui n’est pas avec lui essaye de grimper pour récupérer l’animal et ses acolytes attendent en-bas en insultant l’homme sur l’arbre. Les quatre hommes n’ont vraiment pas l’air d’enfant de cœur.
L’homme sur la branche balance du poivre sur l’homme qui monte, ce qui provoque sa chute. Les hommes s’énervent donc de plus belle.
Pamphil s’approche et reconnaît l’homme sur la branche, ils se sont connus dans le passé. C’est Sullivan, un voleur que rien n’arrête et qui se met toujours dans des situations pas possibles.
Il s’avance : « 4 contre un, ce n’est pas ce que j’appelle être courageux »
Sullivan ne le reconnaît pas, vu que son visage est camouflé.
« On ne t’a rien demandé à toi, tu ferais mieux de passer ton chemin. Tu ne sais pas que ce gars là vient de nous
voler et on récupère ce qui nous appartient »
« Si j’ai envie de rester pour voir ce que vous aller lui faire, je ne pense pas que vous pourriez m’en empêcher. »
« Tu as mal choisit ton moment, l’étranger. Kryll ! »
Il fait signe à un de ses hommes d’aller lui faire comprendre qu’il était de trop.
Le voyou s’approche et sort une arme blanche, il va pour planter Pamphil mais celui-ci esquive, lui chope le bras, d’un coup de genou il lui casse le coude et il lui tord le cou d’un coup sec. Ses acolytes en restent pantois.
« Tu vas regretter ce que tu viens de faire. »
Un deuxième gars s’approche avec des poings américains, il enclenche un mécanisme qui fait ressortir des lames assez grandes de ses poings américains. Il lui décoche un coup de poing mais toujours aussi habilement Pamphil l’évite et les lames viennent se planter dans un arbre ; ce qui a pour effet de l’immobiliser à l’arbre. Pamphil lui prend la tête et lui explose contre l’arbre. Mais un troisième gars en avait profité pour s’approcher de lui par derrière, heureusement Sullivan qui surveillait ses arrières, a balancé une fléchette empoisonnée grâce à un mécanisme accroché à son poignet et habillement camouflé. ( C’est une des armes de Sullivan ; un bracelet avec plusieurs sortes de flèche qui sont propulser à une très grande vitesse et avec une extrême précision )
Le regard des deux hommes se croise et Pamphil fait un signe de la tête à Sullivan en guise de remerciement.
Le quatrième larron, qui il faut l’avouer à l’air un peu plus bestial et qui est nettement plus grand que ses camarades dégainent ses deux épées et s’approchent de Pamphil avec un regard haineux.
Pamphil quant à lui dégaine sa hache et frappe un coup dans le vide horizontalement en direction de son adversaire et de l’arbre où est perché Sullivan. Bien sûr, il avait enclenché le rayon, ce qui coupe en deux son adversaire et l’arbre dans lequel était Sullivan. Sullivan se prend donc une gamelle d’assez haut.
Pamphil range sa hache et pendant ce temps Sullivan essaye de se dépêtrer des branches et se relève, avec sa chouette.
« Je suppose que je devrais te remercier, étranger. Mais vois-tu, je pouvais m’en débarrasser assez facilement, j’ai l’habitude de ce genre de conflit »
« Je n’en doute pas. N’est-ce pas le lot de tous les voleurs, Sullivan ? »
Sullivan semble surpris qu’il le connaisse puis Pamphil retire son écharpe et dévoile son visage. Sullivan très heureux de le revoir après tout ce temps le serre dans ses bras.
« Ca alors, Pamphil, qu’est-ce que tu deviens depuis le temps ? Cela doit bien faire 5 ans qu’on ne s’est pas vu. Toujours à la recherche de ton frère ? »
« Et oui, tu sais j’ai promis à mes parents sur leur lit de mort de retrouver Tollen, et toi toujours voleur à ce que je vois ? »
« Non pas du tout, j’ai été chargé par un restaurant assez luxueux de ramener une chouette, étant donné que c’est un met assez rare, mais j’avais la flemme alors j’ai attendu que ces gars-là en ramène une pour leur échanger »
« Echanger, mouais »
« Laisse-moi t’offrir un repas avec l’argent que je vais récupérer et on parlera du bon temps »
Pamphil récupère son aile volante et prend Sullivan avec lui.
Ils se dirigent vers une grande cité, et Sullivan va échanger la chouette contre de l’argent et nos deux amis se retrouvent dans une auberge. Pamphil plit son aile et prend ses affaires à la main.
Ils se rappellent tous les coups, qu’ils ont fait ensemble.
Ils vont se coucher, chacun dans une chambre et au bout d’un moment alors que Pamphil dort comme une masse, une femme s’avance vers lui et essaye de le caresser… Rien ne se passe, on la voit sortir et aller vres Sullivan et lui dire que son ami dort et que ce n’est pas la peine d’insister. Sullivan voulait faire plaisir à son ami en lui envoyant une prostituée. Sullivan ouvre la porte de la chambre de Pamphil et voit ce dernier étalé en train de ronfler. Il se dit que le voyage à dû l’épuiser. Il le laisse et va donc se coucher sans oublier de payer les filles et de les embarquer avec lui.
On voit Pamphil en gros plan, qui s’agite dans son sommeil. Le fait d’avoir reparler de souvenirs avec Sullivan lui fait rêver des bouts de son passé.
Il se voit arrêter à cause de l’alcool et rencontrer pour la première fois Sullivan.
Il se remémore quelques embrouilles qu’ils ont eu ensembles.
Il se revoit dire au-revoir à Sullivan car il avait appris que ses parents étaient mourants, et il se revoit leur promettre de rechercher son petit frère et de les brûler selon la coutume, une fois morts. ( C’est des souvenirs plus ou moins longs qui peuvent-être des dialogues ou à la première personne ; et donc explicatif )

histoire pas finie encore !

hellshock11
11/03/2005, 15h18
mauvaise etoile :


On suit en parallèle 3 hommes. ( histoire sans parole ) de nuit.
1 se préparant à faire un braquage.
1 se préparant à faire un cambriolage.
On les voit préparer leur matériel.
Le 3eme ( plus jeune rejoins ses amis )
Le hold-up ( dans un restau ou un bar se passe bien ). On voit toujours en parallèle.
Le cambriolage se passe également bien.
On voit une action de chacun des protagonistes au fur et à mesure.
La bande du 3eme homme décide de voler une voiture pour bouger en boîte.
Les deux premiers voleurs démarrent leurs voitures après avoir ranger le fric dans le coffre ou alors de s’être enlevé la cagoule. Ils sont assez fières d’eux.
Les jeunes vont vite et essayent de doubler un des deux voleurs, l’autre arrive en face.
Il essaye de les éviter. Il rentre dans la voiture du braqueur qui se faisait doubler.
Les deux voleurs accidentés à cause d’un autre voleur mais de voiture celui-ci.
Flics arrivent sur les lieu de l’accident et découvrent dans les coffres l’argent.
Un des deux voleurs est mort sur le coup, l’autre a été assommé et sera donc arrêté par la police.

hellshock11
11/03/2005, 15h18
mensonge et mat :

Un producteur ( ou autre ) assez riche propose à l’un de ses amis d’enfance ( divorcé et donc le rang socioculturel n’est pas très élevé )de l’amener à une soirée mondaine où il pourrait peut-être trouver une femme riche.
Il se met sur son 31 ( son ami lui prête des fringues chics ) et il s’arrange ( coiffure, style… )
Une fois à la soirée ( dans une belle villa ) il essaye de repérer des proies potentielles.
Il fait la connaissance d’une jeune femme sublime, qui était toute seule dans son coin quand il décida de l’aborder. Les deux discutent assez longuement ; il lui fait croire qu’il est réalisateur ; Elle est top-modèle.
Il voit qu’il y a peut-être une ouverture et demande les clefs de la voiture et de l’appart de son pote.
Ils couchent ensemble et le lendemain le gars rongé de remords, étant donné qu’il apprécie bien la femme, décide de lui avouer la vérité.
Pourtant c’est elle qui parle en premier et lui dit qu’elle n’est pas top-modèle mais caissière et qu’elle est venue grâce à une amie.
Et donc lui se sent en confiance pour lui avouer à son tour qu’il n’est pas celui qu’elle croit. Il n’est pas réalisateur et il est loin d’être riche.
Mais la femme se vexe et se dit trompé, elle le gifle et part.
Il reste comme un con tout seul.
Il ne comprend pas, il ont pourtant menti tout les deux.

hellshock11
11/03/2005, 15h19
not so blind :


Dans le hall d’un aéroport, un jeune homme avec des lunettes de soleil semble perdu quand il se bouscule avec une très belle femme. Il tombe ses lunettes mais cache ses yeux avec sa main pour ne croiser le regard de personne. Il cherche ses lunettes et malheureusement croise le regard d’un chien qui était un peu plus loin et celui-ci meure presque instantanément.
La fille les lui ramasse et lui tend.
-Ben dis-donc, t’es fragile des yeux.
-Oui ! Il prend ses lunettes et part tout aussi vite.
Gorilles arrivent et demandent à la fille si l’homme ne l’embêtait pas.
-Non, non, ce n’est rien.
Bizarre ce garçon se dit-elle, et là, elle remarque un couple de vieux qui tente de réveiller le chien mort. De plus en plus bizarre.
Notre homme va louer une chambre dans un hôtel assez minable.
Plus tard on le retrouve dans un parc. Il a des ennuis avec un loubard qui le braque.
Il prend une gifle et perd de nouveau ses lunettes. Il ferme les yeux instinctivement.
Mais le loubard continue de le faire chier.
-Regarde-moi connard !
Il n’ouvre pas les yeux et le loubard le violente de plus en plus, jusqu'à ce qu’il ouvre les yeux.
Le loubard meure. Il récupère ses lunettes et jette un œil pour voir s’il y a eu des témoins.
Malheureusement pour lui les amis du voleur n’étaient pas très loin et lui courent après.
-Salopard, tu vas voir si on te chope.
On le voit sortir du par, et courir dans la rue.
La fille du début est dans une limousine ( c’est en fait la fille d’un homme très riche ) et le voit passer, ainsi que ses poursuivants. Elle le reconnaît et lui propose de monter dans la voiture pour leur échapper.
Il monte et ils partent.
-Qu’est-ce qui t’arrive ? Pourquoi ils te poursuivaient ?
-Ça ne te regarde pas !
-Je t’ai sauvé, j’estime que tu pourrais au moins me dire pourquoi ces gars t’en voulaient.
-Ils pensent que j’ai tué leur pote.
-Et c’est vrai ?
-Je, ..peut-être , un accident.
-Comme celui à l’aéroport ou tu as tué ce chien juste en le regardant.
-Comment, comment sais-tu ça ?
-Je ne suis pas aveugle. Ne te ferme pas, je ne suis pas ton ennemie. Je veux t’aider.
-Personne ne le peut ! Arrête-moi là !
La voiture s’arrête et il sort. Il rentre à pied jusqu'à sa chambre.
Il se regarde dans un miroir ( sans ses lunettes )et baisse les yeux ; il s’écœure. Encore un mort pense t’il.
On frappe à la porte, il remet ses lunettes et va ouvrir : C’est la fille qui l’a suivie.
-Qu’est-ce que tu fais là ? ( il la repousse )
-Tu ne peux pas repousser tous les gens qui veulent t’aider.
-Tu ne comprends pas, personne ne peut m’aider.
Il lui explique sa malédiction ; enfant battu par son père, son pouvoir s’est déclenché lors d’une dispute et son père est mort foudroyé sur place ( il pleure en racontant son histoire )
Elle le console, elle lui dit qu’elle aussi ses parents sont morts dans un accident d’avion et que depuis, c’est son oncle qui s’occupe d’elle, et que c’est en réalité un gros pervers. Il la viole régulièrement.
Ils tombent dans les bras l’un de l’autre, s’embrassent…
Pendant quelques semaines, enchaînement du bonheur classique ( lui a toujours ses lunettes ) Ils se baladent.
Notre héros est en train d’acheter des glaces quand la fille se fait ramener par les deux même colosses qu’a l’aéroport. Sauf que cette fois-ci, c’est de manière un peu plus agressive. Il s’interpose mais ne fait pas le poids.
Il recherche donc où elle habite. Il est énervé, la femme dont il est en train de tomber amoureux et qui semble l’aimer, a été récupéré par son oncle.
Il se torture l’esprit.
Il trouve la villa et décide d’utiliser son pouvoir sans retenu. Il tue les chiens et les gardes. Il tue même l’oncle.
Mais malheureusement, encore les nerfs à vifs et sur la lancée il tue la fille qui s’était approché de lui.
Il la tue par accident. Il pleure et se lamente, mais décide de partir avant l’arrivée des flics.
Il rentre à son hôtel, continuant de se lamenter.
Il se haït pour ce qu’il vient de faire. Il se regarde une dernière fois dans le miroir qu’il brise avec le poing.
Il récupère des morceaux de verre et se crève les yeux. ( assez gore )
Il est à genou quand la fille ( et les deux gorilles) rentre dans la chambre.
-Idiot ! Tu n’aurais pas pu te suicider, cela nous aurait facilité les choses.
-C’est toi Clara ? Mais je t’ai tué. ! Je ne comprends rien.
-J’avais mis des sortes de lentilles qui t’on fait croire que je te regardais mais en fait, je n’y voyais rien avec.
Elle lui explique qu’elle s’est servie de lui pour tuer son père ( et non son oncle ) afin de toucher la thune.
Elle avait eu l’idée de faire ça en le voyant à l’aéroport. Elle l’avait fait suivre par la suite et elle avait provoqué l’incident du parc. ( elle avait payé les voyous )
-Mais tu aurais dû te tuer ou te faire arrêter. Heureusement mes hommes ont pris des photos de toi en train de tuer mon père, ce qui aidera sûrement la police pour te retrouver.
-Tu m’as berné, alors que moi je t’aimais !
-Dommage pour toi, moi je n’aime que l’argent. Je vais te laisser les flics ne vont pas tarder à arriver. Ce serait dommage qu’ils croient que j’ai un quelconque rapport avec toi. Ciao !
Elle part et lui reste planté là, à genou dans son sang.

hellshock11
11/03/2005, 15h19
map montre :

Un beau matin un homme trouve sur la table de sa salle à manger un objet ressemblant à une montre avec un seul bouton mais sans aiguille. Il trouve ça bizarre mais ne la met pas ( pas de temps..)
La journée se passe et le soir il se décide à la mettre. Il trouve qu’elle lui va bien et décide de la garder.
Il se pose sur le canapé et regarde la télé.
Une émission parle d’une actrice assez bien foutue genre Pamela Anderson.
Il se dit : « Je me demande quels effets ça ferait si j’avais les seins de cette meuf. »
Aussitôt il se change en Pamela Anderson, il a un temps de réaction assez lent puis surprise.
Il va se regarder dans un miroir ( effet comique ) ( il se touche…)
Il calcule que c’est peut-être la montre.
Il tâtonne puis appuie sur le bouton et retrouve son vrai visage.
Décide de réessayer pour vérifier.
Il se concentre, mais ça ne marche pas.
Il comprend qu’il faut avoir la personne en laquelle on veut se changer sous les yeux.
Denzel Washington passe à la télé et il se transforme alors en Denzel W.
Il trouve ça cool et décide d’aller délirer avec.
Prend un ou deux CD et c’est parti.
Il va dans un concert reggae en Bob Marley et rigole de voir les tête des gens hallucinés de le voir.
Après il passe devant une affiche de cinéma, et se change en Tom Cruise. Il est harcelé par des fans, ça le saoule mais il en profite quand même pour manger à l’œil et s’incruster dans des endroits très chics et chères dont il avait pris l’habitude de se faire jeter.
Tôt le matin, en rentrant, il passe devant une affiche où l’on voit marqué que le King n’est pas mort.
Dernière blague, il décide de se faire prendre en photos par des passants qui n’en croient pas leurs yeux.
Une fois chez lui, il décide de prendre une douche.
Il se demande si sa montre est étanche et puis décide de ne pas prendre le risque et va pour l’enlever mais il n’y arrive pas.
Il insiste et se fait mal, il lâche donc l’affaire et se douche en essayant de ne pas la mouiller en l’entourant d’un plastique ou autre.
Il glisse dans sa douche et la montre tape le mur et se bloque mais lui ne s’en aperçoit pas.
Il s’en aperçoit qu’après sa nuit ( ou sa journée ) de sommeil.
Devant la télé chaque fois qu’une personne passe, il se transforme en cette personne.
Il s’affole. Il essaye de garder son visage en appuyant progressivement sur le bouton de la montre.
Ca ne marche pas, il essaye de l’enlever même violemment.( avec marteau et autres outillages)
On sonne ; C’est une collègue de travail.
Il lui ouvre changé en elle.
Elle panique et court.
Il se voit et s’imagine se crevant les yeux pour ne pas devoir changer de tête tout le temps.
Il est toujours devant sa porte ouverte et se dit que se crever les yeux n’est pas une bonne solution, il retente de casser la montre en la tapant contre la table ou le mur.
Il entend une sirène de flic.
Il prend peur et se change en Stallone. Il a peur de leur réaction et surtout qu’ils n’arrivent pas à le croire.
Il passe par derrière et se fait écraser par un camion en traversant la route.
Les flics ne sont pas encore là et le camion ne s’est pas arrêté.
Un homme dans la rue s’approche du corps, se penche et ôte très facilement le bracelet de la pseudo montre.
L’homme, une fois mort, a retrouvé son vrai visage.
L’homme met la montre dans une mallette contenant des centaines d’autres montres identiques à celle de notre héros.
Il part en disant juste une phrase du style : « Encore un qui a échoué… »
On suit le mystérieux bonhomme et on passe devant un kiosque où est publiée dans un journal la photo du King prise par les passants avec en titre « Le King n’est pas mort. »

hellshock11
11/03/2005, 15h20
wiz :


On voit un jeune homme buvant avec des amis durant une soirée (anniversaire ou autre )
Pendant que les gens s’amusent, on voit des yeux qui s’ouvrent directement dans le mur et personne dans la soirée ne semble les avoir remarqué.
La soirée finie, notre héros rentre chez lui (saoul).
Il voit la lumière de sa chambre allumée. Il rentre intrigué ( mais ne pense à aucun moment que cela pourrait être un voleur ; il est trop saoul).
Il ouvre la porte de sa chambre et voit un garçon fouillant dans ses affaires. ( papiers personnels et autre)
( c’est un garçon de 10-12 ans ) .
-Et qu’est-ce que tu fous là toi ?
-Rien ! Il fallait que je vous parle ( avec accent russe )
-Tu vas dégager sale voleur !
-Non attendez !
L’homme tente de l’attraper. Mais le garçon en avançant dans l’ombre commence à disparaître.
Notre héros se jette sur lui par-dessus le lit et se mange le mur. Trop saoul, il dort où il s’est cogné.
Il se réveille le lendemain avec la gueule de bois.
Il va au boulot et sur le trajet, tandis qu’il y allait à pied, un jeune garçon mal habillé l’aborde (le même que la veille )
-Aidez-moi, je vous en prie ! ( avec son accent russe)
L’homme ne le reconnaît pas, il le prend pour un mendiant et lui tend de l’argent.
Il continue, et d’un coup ça fait tilte, il revient donc sur ses pas.
Il voit l’enfant se transformer en papillon et partir en s’envolant. Il n’en croit pas ses yeux ( se dit que c’est les restes d’alcool de la veille )
Il va au bureau et sa journée se passe normalement jusqu'à ce qu’il reçoive un message sur son ordinateur.
« Je dois vous rencontrer pour vous parler de votre père. Lieu et date du rendez-vous. Signé quelqu’un qui a besoin d’aide. »
Son père était mort voilà quatre ans dans un accident.
Il décide d’y aller et voit que c’est encore ce gosse. Il se demande ce qu’il peut bien lui vouloir.
-Toi encore, mais qui es-tu ?
-J’étais l’élève de votre père.
-Mon père n’a jamais été prof, alors arrête de me raconter des salades !
-Dans ma dimension s’en était un. Et même le meilleure maître qu’on puisse rêver dans ce domaine.
-Quel domaine ?
-La sorcellerie.
-Quoi ? Dimension, sorcellerie, tu me prends pour un con ou quoi ?
-Laissez-moi vous expliquer depuis le début, vous comprendrez mieux.( En même temps qu’il parle ces propos sont illustré.)
Je viens d’une autre dimension. Ma terre, il y a environ dix ans a connu un phénomène inexpliqué qui a entraîné un orage magnétique planétaire sans précédent, ce qui a eu pour conséquences de stopper net tous les appareils et machines conçus par l’homme. Il y eut de nombreuses explosions et un nombre incalculable de morts ( avions crashés, trains, bombes déclenchées…) Tout ce qui était en métal était dangereux pour nous.
Des personnes mal intentionnées se sont alors partagé ce qui restait de la planète après l’explosion de tous les missiles et bombes atomiques. Mais il y en avait un plus terrible que les autres. Deathlord les élimina tous un par un et resta seul au pouvoir et se proclama roi du monde. Mais Deathlord n’a réussi à être roi que grâce à un sorcier, Stormbreaker, qui compris très vite que la magie était l’arme la plus puissante désormais.
La magie règne sur mon monde. Tout le monde la pratique désormais. Cela est devenu facile avec ce magnétisme, mais le plus puissant reste Stormbreaker. Personne ne pouvait lui tenir tête à part mon maître qui m’a trouvé quand j’étais encore tout bébé et qui m’a élevé comme son propre fils. Grâce à mon maître, la Sibérie était libre de toute menace du roi.
-Ouais, bon d’accord mais je ne vois toujours pas le rapport avec moi.
-Attendez, j’y viens. Un jour mon maître découvrit la formule qui permet aux sorciers de devenir immortel. Nous espionnant, Stormbreaker apprit la nouvelle et voulu s’en emparer.
Peu après, mon maître me donna la formule en me faisant jurer de ne jamais m’en servir et faire tout pour que Stormbreaker ne se l’approprie pas. Il ouvrit une porte dimensionnelle en me disant de le rejoindre, donc ton père dans ce monde. Il disait qu’il était sorcier bien avant qu’il n’y ait cette catastrophe, et que par conséquent son corps était propice à la magie. Et donc que je serais protégé par son double qui aurais forcement la même force intèrieure. Malheureusement j’ai appris qu’il était mort.
-Et oui.
En fait son maître avait senti Stormbreaker et ses hommes arriver. Il l’a vu partir le gosse par la porte dimensionnelle.
Stormbringer arrive à garder la porte ouverte pendant le combat qui l’oppose au maître.
Combats de sorciers.
Stormbreaker gagne.
-Tu aurais dû utiliser ta formule vieux fou .
Il tue le maître.
-Mon maître doit être mort à l’heure qu’il est et si Stormbreaker découvre où je suis, et qu’il existe un monde où personne n’est de taille à l’affronter, il voudra le conquérir. Tu restes donc le seul en mesure de m’aider.
-Très jolie histoire, mais je ne vois pas ce que je peux faire, je ne suis pas sorcier moi.
-Tu as peut-être des pouvoirs latents qui te vienne de ton père.
-Ouais, je suis un peu sceptique.
-Il faut me croire.
L’homme ramène le garçon chez lui.
Soudain en ville, un homme grille un feu et arrive sur eux ( ils étaient en train de traverser au passage clouté)
La voiture les traverse comme s’ils n’étaient pas là. Ils s’arrêtent et reprennent leur esprit.
Il demande au gamin.
-C’est toi qui a fait ça ?
-Oui, c’était facile.
Ils arrivent à la maison.
Le garçon ne veut pas dormir dedans car il fait trop chaud pour lui, il décide donc de dormir dans le garage.
Il fait des cauchemars qui semblent très vrais. Il voit deux hommes arriver par la porte dimensionnelle habillé de haillons comme lui et se transformer en faucons pour se déplacer.
Il se lève en sursaut
-Ils arrivent, ils arrivent.. !
L’homme accourt et le rassure.
-Tu as rêvé, ce n’est rien. Rendors-toi !
Avant de se recoucher notre héros tente de soulever un verre avec la pensée et bien entendue il n’y arrive pas, ce qui le fait sourire.
Le lendemain, l’homme se réveille, se prépare le petit-déj et va voir si le gosse va bien. A sa grande surprise, il n’est plus là.
Il l’appelle, il cherche dans la maison et il aperçoit les deux hommes en haillons passer devant la fenêtre. Il s’empresse d’aller ouvrir. Rien. Personne dehors. Au même moment on voit les deux hommes sortir d’une ombre à l’intérieur de la maison. Il se retourne, les voit. Comme ils ont l’air menaçant, il va se réfugier dans la cuisine. Un des deux se transforme en tigre et va vers lui. Il a le réflexe de lui jeter de l’eau bouillante dessus ( qui servait pour son petit-déj)
Ca a pour effet de retransformer le sorcier en homme, qui se tord de douleur.
Notre héros décide de monter dans sa chambre, l’autre sorcier le suit par l’ombre.
Quand il réapparaît en haut, ( pas complètement ) le jeune homme lui braque une lumière dessus ; le sorcier est coupé en deux car il n’avait pas réapparu complètement dans la chambre.
Il veut sortir de sa chambre, mais derrière la porte il y a l’autre sorcier ( montée entre temps) avec la figure brûlée assez gravement. Il est rouge de colère .
Le sorcier attrape notre héros par le cou et essaye de l’étrangler. ; l’homme se débat et il se fait jeter dans les escaliers.
Le petit garçon arrive et demande si ça va.
-Comme un mec qui vient de dévaler des escaliers sur le dos. Où étais-tu ?
-Je me promenais, je n’ai pas pour habitude de dormir beaucoup.
Le combat commence.
Le sorcier envoie une table vers le garçon, qui lui, la casse avant qu’elle ne le touche.
Le petit garçon, lui envoi un tapis et plus le sorcier se débat, plus ça le serre. Il finit par disparaître.
Dans l’autre monde Stormbreaker s’entretient avec Deathlord.
-Envoyer des troupes dans ce trou dont on ne sait même pas où il nous amènera alors que la Sibérie m’appartient presque. Tu veux décimer mes hommes sur des suppositions.
-Si ce vieux fou y a envoyé son disciple, c’est qu’il n’y a rien à craindre.
-Mais pourquoi veux-tu poursuivre ce gamin, je croyais que seul le maître t’intéressait.
-Il détient une formule qui rend immortel, et je veux cette formule.
-Il fallait le dire, s’il y a possibilité que je devienne immortel ça change les données. Je pourrai régner pour toujours.
-Malheureusement seul les sorciers sont concernés et je ne pense pas avoir dit que je voulais partager cette formule.
Le trône du roi se met à s’animer et une main sort du dossier et étrangle le roi.
Après ça, il passe la porte dimensionnelle qu’il maintenait ouverte depuis la mort du vieux ssorcier.
Retour sur notre monde. Nos deux héros prennent des affaires et quittent la maison.
Dans la voiture le gamin ressent la présence dans notre monde de Stormbreaker ( il a des maux de tête)
-Je le sens, il est là et il semble déchaîné. Vite, allons à la bibliothèque chercher la formule que j’y ai caché.
Ils y vont et retrouvent la formule. En même temps le sorcier assis dans une bulle d’air ou d’énergie, et volant dans le ciel, se dirige vers eux.
Il passe à travers le toit de la bibliothèque. La formule est dans la main du jeune. Tu ne peux pas m’échapper petit, tu es très facile à repérer dans ce monde ou ton aura se voit comme la lune dans la nuit. Le passage s’est refermé derrière moi. On ne peut plus rentrer chez nous. Partageons la formule et dominons ce monde ensemble.
-Non, jamais je ne pourrais être comme vous…
-Bien tu as décidé de ton sort.
Il immobilise le garçon et fait apparaître un miroir. Il attire le gosse dans le miroir et une fois dedans il le brise. Il rigole de sa propre cruauté.
Notre héros est fou de rage.
-Assassin, ce n’était qu’un gamin !
Le sorcier le regarde sans considération et d’un geste il fait disparaître le papier de la main de notre héros pour le faire réapparaître dans les siennes.
D’un autre geste il envoie valdinguer notre héros à travers les couloirs de la bibliothèque et il fait tomber toutes les étagères et tous les livres.
Le sorcier s’en va par le haut. Pendant ce temps notre héros récupère et essaye de sortir de sous tous les trucs qui lui sont tombé dessus.
Le sorcier déplie la feuille, elle est vierge.
Enervé au plus haut point il décide de revenir dans la bibliothèque. Il se met en chasse de notre héros.
Le jeune homme va vers sa voiture, il cherche ses clefs ( on voit que c’est lui qui a la formule )
Il voit le sorcier sortir de la bibliothèque. Il démarre, le sorcier plane au-dessus de lui et pénètre sans effort dans la voiture.
-Dis-moi où est cette formule, sale ver de terre !
-Je ne sais pas !
-Mauvaise réponse !
Il fait disparaître le volant. Et la voiture se dirige droit vers une falaise avec la mer en bas.
Le jeune homme sort la formule de sa poche et la jette sur la planche arrière. Le sorcier se tourne tranquillement pour ramasser la formule et notre héros en profite pour sauter de la voiture en marche.
Le sorcier qui n’est toujours pas paniqué lit la formule.
_GYRT EGF POYU LUIBRE SUZZA…
On voit la voiture plonger dans l’eau.
Les conséquences de la formule sont qu’il se fond avec la voiture et atterri dans l’eau. Cela annule aussi sa magie. Il est prisonnier au fond de l’eau pour toujours.
Le jeune homme se relève et on s’aperçoit qu’il était tombé sur des cailloux mais qu’il y était passé au travers. Lui ne s’en aperçoit pas. Son pouvoir s’est réveillé mais il n’en est pas conscient. Il s’avance vers la falaise. Regarde en bas.
-Immortel mon cul.
Il ne voit pas qu’au fond de l’eau le sorcier ou du moins ses bras chope un poisson qui nageait trop prés de la voiture et le tue.
Le jeune homme s’éloigne.
-J’aurais quand même bien voyagé comme eux, ça m ‘aurait évité de rentrer à pied.
On voit le poisson remonter.

hellshock11
11/03/2005, 15h21
ombre et mort :

C’est l’histoire d’un homme qui se retrouve avec une ombre indépendante de lui.
Elle reste à le suivre tout le temps mais elle ne fait pas ce que l’homme fait.
Petit à petit cette ombre commence à commettre divers délit ( comme le vol ), mais l’homme ne s’en aperçoit pas.
Cela paraît de façon assez comique, vu que pour l’instant se ne sont pas des gros délits.
Un beau jour pourtant, l’ombre finit par tuer.
L’homme prend peur et essaye coûte que coûte d’empêcher ça.
Il commence par diminuer son ombre de diverses façons (comme en pointant une lampe torche lorsque celle-ci devient trop entreprenante.)
Même malgré cela les meurtres continus.
Rongé de remords, l’homme envisage de se suicider pour mettre fin aux délits de son ombre dont il se sent responsable.
Il finira en ermite dans une montagne où les seuls habitants sont à des miles à la ronde.

hellshock11
11/03/2005, 15h21
profonde amitié :


C’est l’histoire de deux amis, l’un est étudiant avec une copine et l’autre est célibataire.
Le célibataire ne travaille pas et pourtant il est toujours plein d’argent, il est également assez mignon pour ne pas passer tous les soirs de la semaine tout seul.
Un jour, l’étudiant découvre chez son pote que quand il est avec une maîtresse, il filme ses ébats pour faire chanter les femmes ensuite, vu que pour la plupart d’entre elles sont mariées.
Ils en discutent ensemble plutôt calmement et même amusés.
L’étudiant intrigué lui pose des tas de questions ( combien de temps ?…)
L’autre lui propose de faire pareil ; thunes et cul, deux plaisirs en un.
Refus de l’étudiant étant donné qu’il est déjà avec quelqu’un.
Plus tard pour diverses raisons sa copine le lâche, hésite et se laisse tenter par l’expérience.
Il prend conseil auprès de son ami.
Après un coup d’essai foiré.
Durant un vernissage où il était invité, il charme une femme qui paraissait assez sophistiquée et riche. Il tenta donc le coup.
Il la ramène chez lui.
Ils s’apprêtent à faire l’amour mais comme le garçon est aux toilettes ( ou dans la salle de bain ) la femme, curieuse, jette un coup d’œil un peu partout et s’aperçoit que le garçon voulait la filmer à son insu. Sur le coup elle ne réagit pas et remet tout en place comme si de rien n’était.
Le garçon revient sans savoir qu’elle est désormais au courant.
Ils comment donc à s’enlacer et à se déshabiller et, stupéfaction, ce n’est pas une femme, c’est un travesti.
Il est surpris et s’arrête net mais le travesti remonté lui dit : Tu as voulu me baiser, maintenant c’est moi qui vais te baiser. On a déjà essayé de me faire le coup il y a quelques années mais manque de bol je suis du genre curieux.
Il le viol.
Une fois finis, l’autre repart. L’étudiant reste assis sur le bord du lit dégoutté et dépité.
Il se pose plein de question et bloque (il a le regard vide )
Un moment plus tard, il sourit. Il venait de comprendre que son meilleur pote aussi avait du se faire un mec et ne l’avait jamais dit.
C’est un petit soulagement.

hellshock11
11/03/2005, 15h22
possession :



Un petit garçon de 8-10 ans assez timide avec pas beaucoup d’amis et fils unique découvre qu’un homme lui parle à travers le miroir de la salle de bain ( l’homme fait ami-ami avec le petit garçon et fait tout pour que ses parents ne le voient pas ) Il lui parle gentiment et ainsi gagne l’amitié de l’enfant.
Un jour il demande à l’enfant de toucher le miroir avec les deux mains.
L’esprit de l’homme qui s’avéra être un démon prend possession du corps de l’enfant.
Il y a dès lors un changement radical dans le comportement et dans la vie du gosse.
Il devient indiscipliné, insolent et agressif. ( se bat avec ses camarades à l’école, réponds à ses profs et ses parents…)
Le démon est très fière de lui et félicite le garçon. ( son esprit est en quelque sorte prisonnier dans son propre corps )
Le démon au bout d’un moment ( sachant que le père de l’enfant cachait une arme ) prend l’arme et décide d’éliminer les parents du petit.
Et un soir alors qu’ils rentrent du boulot, ils voient leur enfant pointant une arme à feu vers eux.
Il tire et ses parents s’écroulent, morts. Les voisins arrivent et découvrent que c’est le petit garçon qui a tiré.
Le démon choisit ce moment pour quitter le corps du gamin (invisible pour tous sauf pour l’enfant )
Il le regarde et rit : Tu vois ! La vie ne tient à rien. Te voilà orphelin et accusé de double homicide. Je sais c’est injuste mais tu n’es pas mon premier ni mon dernier.
Le démon prend alors possession de la voisine.
Les policiers arrivent et le gamin baisse la tête et s’efforce de ne pas pleurer.
Sa vie est gâchée.

hellshock11
11/03/2005, 15h22
paradis perdu :


Dés le début un homme meurt dans un accident de voiture.
Il monte au paradis, mais le paradis s’apercevant de son erreur ( il est mort carrément trop tôt)
Le paradis lui propose un marché : L’homme redescendra sur Terre une semaine par an et il ne doit jamais dire à personne ce qu’il est sous peine de ne plus pouvoir revenir sur Terre.
( quoi qu’il fasse il est certain de regagner tout de même le paradis )
A partir de là.
Première semaine : Il retrouve l’homme qui l’a tué dans l’accident et arrive à lui pardonner car il voit bien que celui-ci est déjà plein de regrets et que d’une certaine façon il est déjà puni.
Dans l’intervalle d’un an, on voit quelques scènes transitoires, mais pour notre héros un an ça passe très vite. ( Le temps au paradis une fois qu’on est mort ne semble pas si lent )
Deuxième semaine : Il veut revoir sa famille. ( sans se montrer )
Malheureusement sa mère meurt pendant la semaine où il est sur Terre.
Troisième semaine : Il use et abuse des drogues et des plaisirs de la chairs, jusqu'à emmener un de ses amis qui n’était pas au courant de sa mort au seuil de la sienne. Il part avant de savoir si son pote s’en sortira ( semaine écoulée ).
Il ruminera une fois au ciel.
Quatrième semaine : Il tombe amoureux ( rencontre coup de foudre )
Ne peut se résoudre à la quitter, il invente un mensonge et lui dit qu’il doit partir à la fin de la semaine qu’ils ont passé ensemble.
Pendant un an, il ne fait que penser à elle.
Cinquième semaine : Il revient impatient de la revoir, mais il se trouve que la fille est avec quelqu’un d’autre. Il hésite à lui faire savoir qu’il est là, puis il réapparaît dans sa vie. Ils retombent amoureux, mais cette fois-ci pour se soulager et ne pas la faire souffrir, il décide de lui annoncer la vérité en toute connaissance de ce que cela entraînera. Il lui dit alors adieu.
Il remonte au paradis pour la dernière fois.

hellshock11
11/03/2005, 15h23
essai sur une pub anti alcool : ( je suis con de faire des trucs pareil moi non , )


C’est l’histoire de deux jeunes hommes d’une vingtaine d’années mis en parallèle.
Pendant que l’un sort en boîte et s’amuse l’autre est en uniforme et fait la guerre.
On alterne une scène de l’un par une scène de l’autre mais l’action du premier se déroule sur une soirée tandis que l’action du militaire peut se dérouler sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines.
Il n’y a pas de parole.




1° scène : En plan large, on voit le premier jeune qui rentre en discothèque et qui tient sa petite amie par l’épaule. Il fait sombre et du monde passe devant eux.

2° scène : Le jeune homme en uniforme tient un compagnon d’arme par l’épaule et l’aide à marcher ( car celui-ci est blessé à la jambe et il boîte ) et tous deux entre dans une tente qui sert d’infirmerie. Là aussi, il y a d’autres personnes qui passent devant, mais ce n’est plus des clients mais des médecins ou des blessés. On les voit avec le même plan que le jeune qui rentrait en boîte.

3° scène : En plan moyen, on voit notre premier jeune qui après avoir enlevé son Sweat-shirt, s’affale sur une banquette autour d’une table où est posée sa bouteille. Il est entouré d’amis. Il a les bras ouverts bien accoudés au haut de la banquette. Il s’apprête à passer une bonne soirée.

4° scène : Contrairement à lui, notre jeune engagé essaye de se réchauffer les mains entre ses cuisses. Il est serré avec d’autres militaires en parka eux aussi dans un camion de l’armée. La route est longue et ce n’est que de la toile qui les protègent du vent. On le voit aussi en plan moyen et de léger profil. Il s’apprête à passer un long moment.

5° scène : On voit en gros plan le jeune se servir un verre d’alcool avec des glaçons et le boire presque aussitôt.

6° scène : En gros plan toujours, on voit une ration de combat et une gourde. Mais là, le jeune ne semble pas emballé pour avaler ce qu’on lui présente. On le voit même faire la grimace.

7° scène : On voit la petite amie du premier jeune debout, lui tenant la main et l’incitant à aller danser avec elle. Il refuse, il préfère rester assis avec ses amis et continuer à boire. Cela déçoit sa copine mais bon, elle y est habituée, c’est pratiquement tous les week-ends pareille. Elle va donc danser toute seule. On voit à la tête du jeune que l’alcool commence à monter, et il continue de boire.

8° scène : Le jeune engagé marche avec son gros sac sur le dos et ne s’arrête pas pour boire à la gourde. Il semble lui aussi exténuer mais ce n’est pas la même fatigue.

9° scène : On voit de dos le jeune homme se lever pour aller vomir, mais malheureusement il n’aura pas le temps d’y arriver. Il vomit presque sur la table et un de ses amis le retient pour ne pas qu’il tombe.

10° scène : On voit également de dos notre soldat qui s’appuie contre un arbre et qui vomit lui aussi. Un autre soldat vient pour le soutenir ( surtout mentalement .) Avec un zoom inversé, on voit qu’il vient de découvrir un cadavre mutilé. ( On en déduit qu’il n’en voit pas tous les jours .)

11° scène : On voit notre buveur du samedi soir en train de dormir sur le canapé.

12° scène : Le militaire lui monte la garde la nuit autour d’un feu. Il a bien envie de dormir mais il ne peut pas. Des personnes comptent sur lui.

13° scène : On voit de face en plan moyen notre premier jeune ( plus tout à fait frais ) qui se met au volant. Sa copine insiste pour ne pas qu’il conduise mais il ne veut rien savoir. Il l’écarte d’un geste de la main.

14° scène : De face, on voit notre soldat dans un tank mais ce n’est pas lui qui conduit. Il est tellement souriant qu’on en déduit qu’il n’était jamais monté dans un tank.

15° scène : On voit le jeune de face en assez gros plan du visage ( et surtout des yeux .) Il est tout d’abord éblouit et ensuite on voit de l’effroi dans ses yeux. On change de plan ; On voit en plan large de profil la voiture emboutir un camion.

16° : scène : On voit le même plan du visage du soldat. On voit ses yeux qui cherchent et ensuite on voit qu’il sourit. On voit aussi en plan large de profil notre soldat dans un aéroport qui se jette dans les bras de sa fiancée. Même effet de contact qu’avec le camion.



Et le slogan pourrait être : L’alcool tue chaque année en France plus de jeune que la guerre.
C’est lui le véritable ennemi !

hellshock11
11/03/2005, 15h23
Richer hit:


Un homme assez pauvre qui vit dans une roulotte ne fait que rêver d’être riche à million.
Il se voit entourer de superbes femmes sur son yacht, flambé au casino, manger des choses qu’il n’aurait jamais imaginées manger, plonger dans sa piscine, se faire servir par des domestiques… Il veut à tout prix être cet homme là, cela l’obsède au plus haut point.
Il essaye donc de réfléchir à un moyen de s’enrichir :
- Le loto ; il n’y joue jamais et il faudrait vraiment de la chance pour qu’il gagne beaucoup et rapidement. Ce n’est donc pas une bonne solution pour lui.
- L’héritage ; Option vite oubliée vu qu’il ne lui reste pas de famille et que si dans sa famille il y avait quelqu’un de riche ça se saurait.
- Se faire passer pour quelqu’un de riche et s’inviter dans des fêtes mondaines. Cela ne l’intéresse pas. Il veut de l’argent et non pas parader devant des vieux riches qui s’apercevrait tout de suite de la supercherie.
Il ne trouve pas de solution, il tourne en rond et finalement décide de sortir boire un coup.
Il va dans un bar, commence à boire et commence à discuter avec un des clients. Après quelques tournées, ils se lâchent et discutent comme deux vieux collègues.
Bien plus tard, le bar fermant, ils sont obligés de sortir, et ne tenant plus sur ses pieds l’homme du bar s’appuie sur notre héros qui lui propose de le ramener chez lui à pieds vu qu’il n’habite pas si loin ( il avait dû donner son adresse dans la discussion )
Ils continuent à discuter ( comme des ivrognes mais pour notre héros qui a peut-être plus l’habitude ça commence à aller mieux )
Une fois chez l’homme, qui habitent une très jolie baraque, il le pose sur son lit et le félicite pour sa belle maison et c’est à ce moment là que l’autre commence à se lâcher et à lui avouer qu’il n’est pas vraiment commercial mais qu’il est en fait tueur à gages. ( tous ça en dialogue d’ivrogne ) Il lui explique deux trois trucs, il commence à parler plus posément et à expliquer comment il en est arriver là, comment il se fait payer, ses états d’âmes… Notre héros l’ écoute avec une attention toute particulière. Et plus l’autre parle plus il semble intéresser par ce métier ( ses avantages financiers…) Il en oublie presque qu’il faut tuer des gens à chaque fois mais cela ne semble pas lui poser problème.
L’homme allongé se lève et lui tend une enveloppe et demande à notre héros de l’ouvrir, il continue de chercher autre chose tout en lui expliquant que cette enveloppe contient la photo de l’homme qu’il faut qu’il tue, un cellulaire et une importante somme d’argent. Il continue de dire qu’il en a marre ( de tuer des gens qu’il ne lui ont rien fait )
Il titube et tombe sur le lit. Avec un geste du bras il montre la direction de l’armoire. Notre héros comprend qu’il essaye de trouver quelque chose qui est dans l’armoire, il y va, l’ouvre, fouille et découvre des armes blanches ainsi que des armes à feu.
Il ajoute que c’est avec cela qu’il tue ses victimes.
Notre héros reste fasciné par les flingues qu’il n’arrête pas de contempler. Il trouve ça beau.
Quand il sort de cette attraction provoquée par ces armes c’est pour poser une question au tueur à gages qui ne lui répond pas vu qu’il s’est endormi comme une masse.
Le voyant dormir, il se passe des millions de choses dans la tête de notre héros. Est-ce là le moyen de se faire beaucoup d’argent facilement ? Il hésite, il tourne en rond. Et vient le moment où il prend un coussin et le pose sur le visage du tueur à gages. Il essaye de l’étouffer mais le tueur, dans un sursaut de vie, le déséquilibre sur le côté et le fait tomber. Il se lève énervé et s’approche de notre héros pour, s’en doute lui apprendre qu’il ne fallait pas jouer dans la cour des grands. Heureusement il prend l’arme qui était prés de lui et voyant l’autre s’approchant avec un couteau à la main ( sorti de sa cheville ) il tire et le tue.
Il vérifie qu’il est bien mort et il décide de partir, s’en oublier de prendre l’enveloppe et les armes.
Le lendemain, on voit la photo, le téléphone et le fric de la victime posée sur la table de notre héros. Il contemple tout en réfléchissant, il hésite. Il se lève, tourne en rond. Il reste là un bon moment à se poser des tas de question jusqu'à ce que le téléphone du tueur sonne. Il marque un temps d’arrêt puis décide de répondre tout en essayant d’imiter la voix du tueur.
C’est une voix de femme qu’il a au téléphone, elle lui annonce l’emploi du temps de sa cible pour les deux prochains jours et lui dit que ‘autre moitié de l’argent sera versé comme d’habitude sur le compte fantôme.
C’est à ce moment là que notre héros tilte, étant donné qu’il fait ça uniquement pour le fric ; Il n’a pas le numéro de comte. Il lui demande donc d’en créer un autre prétextant qu’il n’aime pas avoir trop d’argent sur un seul comte. Son interlocutrice ne comprend pas bien, mais ça passe ; il aura un nouveau compte et le numéro lui sera donné par téléphone.
Il se dit qu’il a de la chance en raccrochant. Il sourit.
Puis il commença à s’agiter car il vient de comprendre qu’il n’avait apparemment, que deux jours pour exécuter sa cible. Il nota de ce qu’il s’était souvenu. Le nom d’un hôtel et un numéro de chambre.
En parallèle, on voit la cible donner une conférence.
Un peu plus tard, on revient dans la roulotte. Une caméra filme en assez gros plan les moindres recoins de sa ‘maison’. Puis on sort de la roulotte et on la contourne et on va dehors et on voit notre héros s’entraîner au tir sur des bouteilles. Le verre cassé fait la transition avec la scène suivante où un mec sur le trottoir casse un verre lui aussi et là on voit passer notre héros qui repère les lieux. Il passe devant l’hôtel où loge sa victime pendant deux jours et il s’aperçoit que c’est en fait un hôtel de luxe et qu’il ne pourrait même pas rentrer dans le hall habillé comme il l’était.
On revoit le professeur ( cible ) dans une de ses activités. ( dîner ou autre )
On change de plan et on retrouve notre héros faire comme séance de shopping de luxe. Il s’habille dans des endroits selects, passe chez le coiffeur…Il commence à aimer ça. Il savait bien qu’il était fait pour ça, vivre dans le luxe. ( Pretty woman )
Il sort complètement changé. ( en mieux forcément )
Il ne lui reste qu’une journée.
Il repasse chez lui récupérer ses armes et les mettre dans un sac qu’il vient d’acheter, puis il se rend à l’hôtel. Il demande au standardiste tout en l’arrosant d’être au même étage que sa victime en prétextant être superstitieux. Il s’inscrit forcément sous un faux nom.
Il s’installe dans sa superbe suite et commence à se lâcher, il prend un bain, commande de la bonne bouffe… Puis au bout d’un moment, il décide de repérer où se trouve la chambre de sa victime.
Il rentre et attend l’heure où normalement l’homme doit arriver.
On voit le professeur sortir d’un taxi et se diriger vers l’ascenseur et monter dans sa chambre.
Notre héros, lui, commence à se préparer mentalement pour ne pas commettre d’erreur et se fait la scène dans sa tête. Il frappe en faisant croire qu’il demande une personne ( aller ouvre René je sais que c’est toi …) l’autre finit par lui ouvrir et là, il dégaine et lui lâche les bastos dans le buffet. Il rentre dans sa suite et balance l’arme par la fenêtre.
Cela ne devrait pas poser de problème. Il faut juste qu’il n’y ait personne à ce moment là dans le couloir.
La cible rentre dans sa chambre à peu prés à l’heure dite.
Notre héros se laisse un peu de temps pour répéter une dernière fois ce qu’il doit faire.
Il cache son arme dans son pantalon après l’avoir vérifier, il souffle, prend son courage à deux mains et y va. Il marche dans le couloir en direction de la porte mais là la porte de l’ascenseur s’ouvre, il décide de faire semblant de rentrer dans sa chambre. Il dit bonsoir aux gens qui sont sorti de l’ascenseur et attend qu’ils soient eux aussi rentrer ( c’est un couple de vieux )
Il ressort et se dirige à nouveau vers la porte de sa cible. Il frappe, rien, pas de réponse. Il trouve ça curieux. Il se dit qu’il a pris du retard, il repassera. Mais avant de partir, l’habitude ou autre lui fait tourner la poignet et il s’aperçoit que ce n’est pas fermé. Il rentre et ferme la porte derrière lui. Il sort son arme et commence à chercher discrètement si l’homme est là. C’est alors à sa grande surprise qu’il découvre l’homme assis sur un fauteuil qui ne bouge pas, il allume et voit que l’homme à déjà reçu une balle en pleine tête. Il regarde et voit la fenêtre ouverte, il y court, regarde et ne voit personne. C’est alors qu’il commence à paniquer et qu’il décide de s’enfuir. Malheureusement pour lui, il croise une femme dans le couloir et comme il a une arme à la main elle commence à hurler. Il essaye de la calmer mais les gens alerter par les hurlements sortent peu à peu de leur chambre. Il s’enfuit par l’ascenseur, range son flingue, essaye de se calmer. Il faut juste qu’il passe le hall. Mais, dés que la porte s’ouvre, il est tenu en joue par deux gardiens.
Il se fait arrêter. On apprend que le professeur était en fait un agent double ou autre truc important.
On surprend une conversation au téléphone entre la femme qui a contacté notre héros et un de ses supérieurs. Elle lui annonce que jamais cela ne pourra remonter jusqu'à eux, étant donné que la police avait déjà un bouc émissaire.
Notre héros ( mais avant lui le tueur à gages ) n’a été qu’un pion dans un jeu qui le dépasse.
( un peu comme Lee Harvey Oswald).
On revoit notre héros dans une cellule plus petite que sa roulotte. Il ne croyait pas ça possible. Sa quête d’argent ne l’a amené que plus bas encore sur l’échelle sociale.
On voit la femme qui parle à un des gardiens qui lui-même parle à un des prisonniers, enfermé depuis longtemps et on comprend que notre pauvre héros ne restera pas tés longtemps en vie.

hellshock11
11/03/2005, 15h24
sangzamis :


On suit des jeunes gens ( entre 20 et 30 ans ) dans une cité ( d’horizons différents )qui jouent un peu les caïds. Ils piquent des sacs de vieille, sifflent des filles …
On voit ensuite un marocain de 30 ans environ qui donne un cours de karaté, se préparer, prendre son sac et rentrer chez lui. Il passe devant les jeunes et à part un petit chambrage, rien ne se passe.
Quelques jours plus tard, on voit le leader de la bande tout seul qui agresse une jeune fille avec un couteau ( peut-être tentative de viol ).
On voit le prof de karaté, qui entend du bruit, se diriger vers le lieu de l’action et voyant ce qui se passe décide d’intervenir.
Le leader le menace avec son couteau et tente de le planter mais d’une parade assez efficace, le jeune marocain évite la lame et lui brise le genou d’un grand coup de pied de travers.
Le voyou hurle à la mort : « Tu vas le regretter, tu sais pas qui je suis mec, mes potes vont te faire la peau… »
Le prof ne l’entend pas t aide amicalement la jeune fille à se relever.
Plus tard on voit le leader avec des béquilles dans un squat ( appart de l’un ou de l’autre ) qui parle, et surtout qui donne des instructions à ses potes.
« Vous faites ce que vous voulez mais cet enfoiré je veux le voir raide mort. »
A partir de là, on suit un par un les amis du chef de groupe.
- Le premier : Il suit notre jeune prof dans le métro en heure de pointe, il voit qu’il est prés de la voie et il tente d’aller le pousser sur les rails, mais involontairement le prof se pousse au dernier moment et le mouvement de foule fait que c’est le voyou qui se retrouve sur la voie et se fait par conséquent écraser par le métro. Le prof ne s’en ai pas rendu compte.
- Le second : Il décide de le suivre en voiture et d’attendre qu’il sorte du bus de ville. Il l’a en vue et commence à se diriger sur le prof plein gaz pour l ‘écraser. Manque de pot un bus peut en cacher un autre, il se fait tamponner de côté et traîner sur plusieurs mètres. Les témoins de l’accident, dont le prof accours sur le lieu de l’accident et découvre une épave et un corps sans vie.
- Le troisième et le quatrième : Il y en a un qui suit le prof dans la discothèque et l’autre qui l’attend dans la voiture. On voit le jeune marocain dire bonjours à ses amis ( il fait la bises aux hommes et aux femmes ) L’autre se pose et l’épit, mais c’est là qu’il se fait accoster par une superbe femme. Il commence à discuter avec elle et ils se trouvent un bon nombre d’atomes crochus. Il en oublie même pourquoi il était là. Son collègue commençait à s’impatienter dans la voiture. Et à un moment il décide de rentrer voir. Il cherche d’abord le prof qu’il aperçoit dans un coin accompagné de ses amis et ensuite son pote. Il le retrouve finalement dans les chiottes avec la fille en train de faire l’amour.
« Putain mais qu’est ce que tu branles, il est où l’autre ? »
« J’en sais rien et je m’en fous, je te présente Noémie,, je crois bien que c’est la femme de ma vie. »
Débité le mec sort des chiottes et va revoir le prof. Il voit qu’il se prépare à sortir de la boîte, il le précède. Il suit notre prof de karaté et ses amis qui se dirigent en fait dans une autre boîte ( à pied.). Il les suit même à l’intérieur et on découvre dedans que c’est en fait une boîte homo. Le voyou pas très à l’aise, préfère se la jouer macho et dés que des mains baladeuses lui touchent le cul où que des mecs le regardent bizarre, il répond par la violence ( quoi, qu’est-ce qui y a ? …) Personne ne dit rien. A un moment il se fait vraiment tripoter et il cogne le mec et gueule. « Sale pédé, tu me dégouttes » ; Il lui file même un coup de pied alors qu’il est par terre.
Il se rend vite compte de son erreur car tous les yeux se sont tournés vers lui et des mecs arrivent vers lui et l’embarquent dans une pièce et là il se fait mettre par pas mal d’hommes de la boîte.
- Le cinquième : Il suit notre prof dans un endroit ( stade, aéroport…) où il y a des détecteurs de métaux et de la sécurité. Il se fait forcément pincé étant donné qu’il est armé. De plus, il a pas mal de drogue sur lui. Il se rebelle quand les policers tentent de l’embarquer. Il parvient même à récupérer une arme et à prendre un otage, mais c’est en se croyant sorti d’affaire et ayant relâché l’otage qu’il se fait descendre par la police.

Le prof de karaté n’a calculé à aucun moment qu’on en voulait à sa vie.
L’histoire se passe sur plusieurs jours ( ou semaines ).
On voit notre chef de gang tout seul avec son attelle dans le squat, il ne lui reste plus aucun amis. Ils sont tous morts ( ou autre ) en essayant de le venger. Il inspire de la pitié.

hellshock11
11/03/2005, 15h25
secheresse :


Le matin une femme essaye de prendre sa douche avant de partir au boulot et après avoir pris son petit déjeuner. Seulement il n’y a pas d’eau.
Elle pense à une coupure ou autre problème, et se résigne à ne pas se laver sinon elle finira pas être en retard.
Elle va à son bureau et quelques détails l’interpellent ( plus d’eau dans une fontaine du parc)
Au travail elle s’aperçoit que ses collègues n’avaient pas d’eau non plus.
La journée se passe et le soir avant de rentrer, elle décide de faire des courses. Mais un spectacle inattendu s’offre à elle. Une masse de gens s’engouffrent dans les grandes surfaces.
Elle demande ce qui se passe ( croyant qu’il y avait des promotions ou autre chose )
On lui explique que les gens sont tous là pour acheter des bouteilles d’eau et qu’on était obligé de se limiter à un nombre de bouteilles pour que tout le monde en ait.
C’est à cause d ce qui s’est passé.
Mais qu’est ce qui s’est passé ? Demande t’elle.
Elle n’avait même pas fini de poser sa question que la femme était déjà partie.
Elle préfère rentrer plutôt que de se taper la foule aux caisses.
Elle rentre et allume la télé ( entre autre chose )
Un flash d’info annonce que toute les sources d’eau sont asséchées.
Il n’y a plus d’eau ni dans les océans, les mers ou les rivières.
Seule l’eau stockée reste et c’est pourquoi on la limite.
Images des mers asséchées, de gens paniqués…
Explication de tout ce qui va en découler ( problèmes économiques…)
En apprenant ça elle tombe d’un coup sur le canapé avec le regard horrifié.
Elle n’en croît pas ses yeux.
D’un coup elle se lève et va vers son frigo, elle l’ouvre et s’aperçoit qu’elle n’a plus aucune bouteille.
Elle décide d’aller voir ses voisins qui lui disent qu’eux non plus n’en ont pas.
On voit ses yeux en gros plan horrifié puis on voit qu’elle se réveille ( elle faisait un cauchemar mais tellement réalistes qu’elle sort du lit en sueur )
Elle se sent tout de même mieux et rassuré.
Elle va pour boire un verre au robinet et pas la moindre goutte en sort.

hellshock11
11/03/2005, 15h25
pitite transfo :

On suit notre héros dans une de ses journées normales ( métro, boulot, dodo )
Mais on dirait qu’il n’a pas l’habitude; Tous ses gestes sont hésitants ( que ce soit pour ouvrir une porte ou pour utiliser des appareils qui sont d’usages quotidiens )
Il y a un changement de rythme lorsqu’il rencontre dans la rue quelqu’un qui maltraite un chat.
Il interpelle l’homme et s’ensuit une dispute qui tourne mal et il tue l’homme.
Il va donc en prison. Et une fois enfermé, un vieux apparaît en prison; ( style classique)
Il lui dit : tu n’as pas su freiner tes instincts… J’ai fait de toi un homme et tu continue en te conduire en animal.
Le vieux le transforme en tigre ( ou autre de la même espèce )et disparaît.
Il lui rend en fait sa forme initiale.
Le gardien de la prison apercevant le prédateur panique et le tue en souriant après une brève hésitation.
Pour une fois que ce n’est pas le contraire pense t’il.
Réapparition du vieux.
Il dit : Toi non plus, même après tout ce temps passé parmi les hommes tu n’a toujours pas compris. Tu était pourtant le plus prometteur.
Le gardien est transformé en lapin et le vieux disparaît en le laissant sur place.

hellshock11
11/03/2005, 15h26
brother's wiwi :


Dans le futur ou dans le passé, on voit un homme mourant aller chez un autre homme. (C’est un homme mystérieux et cagoulé, mais il est très respecté )
Le vieux lui demande d’avoir pitié et de l’accepter en lui.
Refus de l’homme mystérieux : « Non, je ne prends pas les vieillards, je prends uniquement les guerriers et autres chevaliers. Va dans la vallée d’Eragos, peut-être que mon frère acceptera si tu n’est pas mort avant de l’avoir trouvé. (rire) »
On suit le vieil homme durant son long et pénible voyage jusqu'à Eragos.
Il trouve Ellios, le frère du premier mais celui-ci ne semble pas aussi sévère.
Il lui demande la même chose qu’au premier.
« Désolé vieil homme, je possède déjà des milliers voire des millions d’âmes en moi et cela fait plus d’un siècle que je n’ai recueilli personne. Plus il y a de monde et plus je dois rester concentrer et être donc condamné à être vulnérable. Et de ça mon frère était au courant. »
« Mais n’êtes-vous par immortels ? »
« Non pas, les humains ne peuvent nous tuer, mais mes frères le peuvent. »
Et la surprise, Yttios, le premier frère que l’on a vu au début débarque.
« Ah Ellios, content de te revoir après tout ce temps. »
« Que viens-tu chercher, scélérat ? »
« Le pouvoir, Ellios, le pouvoir ! »
« Le pouvoir, tu en as déjà assez pour accomplir ta tâche, qui est de recueillir le plus de gens possible avant la fin de notre Monde qui n’aura pas lieu avant au moins Mille an si on en croit la prophétie. »
« Il est toujours possible d’avoir plus de pouvoir. Imagine que je possède les pouvoirs De, Darios, Delvios et Myrios? Oups c’est vrai j’ai oublié, j’ai déjà les pouvoirs de Darios je l’ai tué, il y a plus de 50 ans. »
« Tu n’es qu’un monstre. »
« Avec vous quatre morts, je récupèrerais vos pouvoirs et pourrais ainsi collecter des âmes à l’infini. J’ai chargé des faux prophètes d’annoncer la fin du monde un peu partout dans le monde. Les gens seront prêts à tout pour y échapper et me vénèreront comme leur sauveur ou même comme Dieu et non plus comme un vulgaire sorcier ou un mendiant.
Pousse-toi vieil homme ! »
Il écarte le vieux et l’immobilise par la magie.
Les deux sorciers s’agenouillent l’un en face de l’autre et se prennent les mains.
On rentre dans leurs corps et on voit deux univers.
L’un surpeuplé de mendiants, de paysans, de vieux et d’enfants malades.
L’autre où il n’y a que des guerriers sans scrupules.
C’est un massacre ; Même plus nombreuses les âmes dans Ellios se font tuer par les âmes recueillies par Yttios. ( on voit des scènes de combats )
On retourne sur Terre. Ellios est affaiblie, Yttios se relève.
« Tu aurais dû choisir les âmes que tu accueilles, maintenant te voilà sans âmes, sans pouvoir, tu me fais pitié. Laisse moi abréger tes malheurs. »
Il le tue d’un coup d’épée.
Le vieil homme se retrouve libre et tente d’arrêter Yttios en le tuant avec une arme. Il transperce le sorcier mais rien ne se passe.
Yttios regarde la lame dans son corps et l’en extrait.
« Ne sais-tu pas que les humains ne peuvent rien contre moi. Ce que tu viens de faire aurait mérité que je te tue, mais heureusement pour toi une malédiction m’interdit de tuer les humains. Je laisserai donc le temps s’en charger. »
Il part.
Le vieux va voir Ellios qui respire à peine, et là Ellios lui demande d’aller prévenir ses frères en commençant par D arios étant donné que Yttios ne savait pas où il vivait.
Il donne à l’homme une preuve comme quoi il vient bien de sa part.
Ellios meurt.
Yttios et le vieux sont en chemin, l’un pour aller chez Delvios et l’autre chez Darios.
Yttios rencontrent des brigands et les enrôlent ( ils font partie de lui ) en leur promettant la vie éternelle. ( il ne peut forcer personne en rentrer en lui.)
Yttios tue Delvios assez facilement car ce dernier était un alcoolique et donc personne ne lui faisait confiance, et c’est pourquoi il n’avait pas beaucoup d’âme.
Le vieux, pendant qu’il se reposait une nuit dans une taverne a failli se faire voler les objets d’Ellios par un voleur.
Vieux se sert des rideaux pour le faire tomber et l’immobiliser ( c’est lui aussi un sorcier mais pas du tout du même niveau qu’Yttios)
Le voleur, qui est assez jeune, une fois calmé, lui explique qu’étant orphelin il a été obligé très tôt de voler et qu’il ne sait faire que ça…
Le vieux lui propose de le payer comme guide pour le conduire jusqu'à Darios.
« Facile, il est juste en bas au bordel. »
« Au bordel ? »
Il va donc voir Darios et lui explique ce qui s’est passé, lui montre les objets d’Ellios.
Darios a la rage contre Yttios, il veut l’attendre et se préparer à l’affronter et se ravise.
En fait, il annonce qu’il n’a recueilli que des âmes de femmes.
Le vieux réfléchit et dit : « tu pourrais m’y envoyer, je les préviendrais, je les entraînerais et je leur montrerai des tours…
Le voleur, prétextant qu’il est son guide se propose aussi, mais en fait tout le monde a bien compris que c’est surtout pour les filles qu’il y va.
Ils entrent donc tous les deux dans le corps de Darios.
C’était vrai, il n’y a que des femmes à perte de vue.
Ils se regardent et se sourient, puis commencent les choses sérieuses. ( les prévenir et les préparer )
Jusqu’au jour où Yttios arrive.
Darios l’accueille avec un sourire.
« Je sais pourquoi tu es là Yttios, commençons ! »
Dans leurs corps ; les filles se sont cachées, elles font des embuscades et ont tendu des pièges.
Le sorcier utilise quelques sorts pour les aider, le voleur sauve deux ou trois demoiselles en détresse.
La surprise et le fait que les quelques prisonniers pris dans les corps des autres sorciers se rebellent ( ils étaient prisonniers) font que la bataille tourne à leur avantage.
Victoire sur Yttios.
Mais sur Terre, Darios hésite à tuer son frère car cela voudra dire qu’il aura tout les pouvoirs.
Dans le corps de Darios le jeune calcule que s’il tue son frère il y aura encore plus d’homme pour toutes ces femmes. Il prie pour ne pas qu’il le tue.
Darios fini par tuer son frère pour pas que les âmes prises dans ses frères morts redeviennent esclaves dans le corps d’Yttios.
Le jeune voleur est dégoutté mais heureusement les femme savent se montrer très reconnaissante envers lui.
Là le père de Darios apparaît ( c’est une sorte d’entité divine )
Père : « Darios, mon chère fils, tu es donc seul désormais chargé de donner une alternative à la mort à tous ses humains, et sache que je suis là pour veiller sur toi… »

hellshock11
11/03/2005, 15h26
wood eater :


Dans une gare de métro, un homme fumant une clope lit le journal, dont les gros titres parlent du déboisement de plus en plus massif des forêts. ( C’est le soir ; il n’y a pas grand monde )
3 ou 4jeunes font chier une femme assez mignonne.
En s’interposant notre héros prend un coup de couteau dans le ventre.
Il se retrouve à l’hôpital.
Son médecin lui annonce que ce n’est pas trop grave et il lui demande quand est-ce qu’il a perdu un poumon.
Il s’en étonne ( il n’était pas au courant )
-Comment ça ?
- Oui, on a remarqué en vous enlevant la partie de la lame cassée qu’on vous avait enlevé un poumon. C’est d’ailleurs du travail très propre. A part une toute petite cicatrice, il n’y laisse rien paraître.
-Vous voulez dire qu’on m’aurait enlevé un poumon et que je ne m’en serais pas aperçu ?
C’est pour lui une énorme surpris. Il profite du temps qu’il reste à l’hôpital pour réfléchir où il aurait bien pu se le faire enlever et aussi quand.
Une des solutions c’est peut-être quand il y a 2 ans il a eu un accident de voiture ( on voit la scène en flash-back)
Il décide en sortant d’aller vérifier sa théorie à la clinique où il reçut les soins.
Il reçoit la visite de la jeune femme du métro qui le remercie de l’avoir aider et promettent de se revoir.
A la fin de sa convalescence, il va à cette clinique. Il demande à voir le médecin qui s’était occupé de lui pour lui poser des questions et avoir des renseignements.
On lui annonce que le médecin est mort, il y a un peu moins de 2 ans.
Il demande s’il avait une femme ou de la famille proche.
Il est de plus en plus intrigué et prend l’adresse du médecin pour voir sa femme.
Dès son départ, l’infirmier qui a répondu à ces questions regarde 2 infirmiers et leur fait signe de suivre l’homme.
Une fois chez la femme il pose quelques questions sur le fait qu’il n’est plus de poumon et sur la mort de son mari. ( il fume une clope ). La femme ne semble au courant de rien.
Tout à coup les infirmiers débarquent assez violemment chez la veuve. Ils la tuent et tentent de tuer notre héros.
Ils se battent et à un moment le héros met à terre un des deux agresseurs qui s’allonge à côté de la clope que notre héros avait allumé précédemment.
Cela a pour effet de le tuer et de révéler son visage pas tout à fait humain.
Son complice prend peur et s’enfuit. Notre héros le stoppe dans sa fuite et lui demande des explications avec une autre clope allumé pour lui mettre la pression. ( il lui souffle la fumée de plus en plus prés du visage )
-Qui êtes-vous et qu’est-ce que vous me voulez ?
Il bafouille mais sous la menace finit par parler.
-Nous sommes arrivés sur votre planète il y a un peu plus de 2 ans terrestres. Mais sans combinaisons, nous ne pouvions pas survivre sur votre planète. Et avouez qu’une combinaison nous ferait repérer tout de suite et mettrait notre mission en difficulté. Heureusement, en faisant des recherches, nous avons découvert qu’en nous greffant un poumon, nous pourrions respirer sans combinaisons et ainsi rester discret, car imiter la forme humaine n’est pas un problème pour nous. Au début, nous avons demandé l’aide du docteur Finbdoh, il savait qui nous étions et quand la première transplantation a échoué, nous avons cru qu’il l’avait fait exprès. Il avait tué l’un des notre, nous l’avons donc logiquement tué.
-Super logique en effet.
-On ne s’est aperçu que plus tard que c’était le goudron dans tes poumons qui nous était fatale. Eh oui tu as été le premier humain à être alléger d’un de ses organes.
-C’est génial, j’ai gagné quoi ? Dis-moi plutôt pourquoi vous vous obstiner à vouloir à tout prix rester sur Terre, je suppose que vous n’êtes pas venu à pied et que vous avez donc les moyens d’aller ailleurs ou même rentrer chez vous, là où vous pourriez respirer.
-Notre planète n’a plus de ressources et ceux d’entre nous, qui y sont encore, sont en train de mourir petit à petit. Votre planète regorge de bois et nous nous nourrissons de bois.
-Et je suppose que vous n’êtes pas là pour partager. Vous êtes nombreux ?
-Suffisamment !
-Encore une chose, dis-moi pourquoi tu as si peur de la cigarette ?
-Tu l’as bien vu, la cigarette nous empoisonne.
-On va bien voir ça.
Il lui souffle la fumée dessus et l’autre crève.
Il rentre chez lui comme un vrai parano ( se retourne tout le temps…)
Chez lui, peu après, il reçoit la visite de la jeune femme du métro avec laquelle il avait rendez-vous.
Ils discutent, boivent, mangent ( mais chaque fois que notre héros fume soit la femme est aux toilettes ou dans une autre pièce…)
Ils sont toujours chez le héros et à la fin du repas quand celui-ci veut allumer une cigarette elle l’enlace et l’embrasse. Ils font ensuite l’amour.
Les jours passent et l’amour de la jeune femme semble lui avoir fait peu à peu oublier ces priorités.
Il lui raconte quand même ce qui lui est arrivé et elle en rigole.
Elle continue tout de même à éviter habillement les trop grandes expositions à la fumée.
Un jour ils vont au cinéma ensemble. La lumière s’éteint et le filme va commencer quand elle tue discrètement notre héros. Elle sort alors de la salle dans le noir.
Dès sa sortie, un gaz s’échappe et tous les clients du cinéma meurent empoisonnés. Et là d’autres hommes et femmes sortent les corps, et prennent leurs places et leurs identités.
Même notre héros ( enfin son double ) est là. La fille revient et se met à côté de lui. Ils mangent du bois qu’elle à ramené.

hellshock11
11/03/2005, 15h29
voila voila c'est tout pour le moment et c'est deja pas mal ! je sais la qualit"é n'est pas forcement au rendez vous mais bon à l'epoque rien que de reflechir à ces histoires ça me faisait bien tripé ! bon faut dire je dessine mal mais j'imagine bien ! lol
bonne lecture et si des concepts ( on peut rever vous interesse ne vous inquietez pas je ferais rien payer en droit d'auteur ! :lol: )

hellshock11
16/03/2005, 08h47
bon je comprend ! ça donne pas envie de lire tout d'un bloc comme ça ! 8)

grogramane
18/03/2005, 23h48
détrompes toi l'ami ily a d'exellentes idées là dedans.... :nerd:
peut etre pas aussi bonnes que les miennes mais...(il n'y a pas de smiley jaloux?):p

grogramane
19/03/2005, 04h19
engagez vous dans la guerre contre l'alcool!;)

hellshock11
20/03/2005, 15h26
tu sais quoi ! just merci ( d'avoir lu et d'avoir donné ton avis ! ) et si tu veux te servir de trucs n'hesite pas !
:merci:

MattMurdock
20/03/2005, 18h52
jai commencé bravo...je lirai la suite plus tard!

Mycroft
20/03/2005, 19h09
:Smiley Jaloux: :Smiley qui se pend: :Smiley qui rate son coup: :Smiley diabolique qui dit "tu devras vivre avec":

:Smiley désespéré:

grogramane
20/03/2005, 21h27
tu sais quoi ! just merci ( d'avoir lu et d'avoir donné ton avis ! ) et si tu veux te servir de trucs n'hesite pas !
:merci:
si je m'en sers ce sera pour développer: je suis une 'plumeuse' comme toi, pas une 'dessineuse' comme "EUX" :p

hellshock11
20/03/2005, 22h58
je n'ai developpe que 2 ou trois histoires au case par case que je n'ai pas là mais sinon c'est clair que c'est des idees qui trottaient dans ma pitite tete et pour s'en debarasser rien de mieux que de mettre sur papier ! ( un peu comme toi je pense !)

grogramane
20/03/2005, 23h05
un gars te manque de respect dans le métro?
Sur le papier tu le fait se faire raquetter à la station suivante...un exellent défouloir.
T'as lu les oeuvres de Sunder,Diablo et Ben?

hellshock11
21/03/2005, 10h16
oui c'est sympa ! faut dire je suis assez bon public! ( je ferais un tres mauvais critique ) :nerd:

grogramane
24/03/2005, 05h03
TTTTT...il n'y a pas pire public que celui du sud.
On aime: on enscence
On deteste : on descend.
:p

hellshock11
24/03/2005, 23h11
je ne peux que te donner raison miss !

hellshock11
26/03/2005, 11h55
et si t'as une histoire preferée ou une que tu deteste ton avis m'interesse ( vu que tu dois être une des seule à lire ces histoires ! lol

grogramane
26/03/2005, 22h18
brother's wiwi !
elle nest peut etre pas finie mais le debut me plait bien

Ben Wawe
26/03/2005, 23h18
j'ai lu jusqu'à la moitié de la page 1 et ça m'a bien plu. j'ai beaucoup aimé ange&démon, une belle "enculerie" si on me pardonne ce gros mot. :fonbou:

le coup du Dieu femme black lesbienne c'est de la pure provoc', mais c'est sympa.

l'histoire avec le voisin jaloux et malade mental, la dernière que j'ai lue pour le moment, est moins bien. trop longue peut etre.

cytrash
26/03/2005, 23h35
moi aussi pour le moment ,je n'ai lu que la moitié de la 1ere page :huhu: ,c'est vraiment sympa en particulier Sombre futur (je me suis toujours posé cette question ) et Ange & Demon ...
j'ai un peu aimé moins aimé l'histoire des clones ..
la suite demain :D

Ben Wawe
27/03/2005, 12h18
l'histoire des clones est un peu zarbe, oui...moi je vois ces histoires comme des sortes de Comtes de la Crypte un peu, avec une histoire par épisode...

hellshock11
28/03/2005, 00h07
en tout les gars c'est sympa de lire ! du moment que vous arrivez à passez un bon moment c'est le principal ! et oui c'est vrai que c'est de qualité variable les histoires mais bon la premiere excuse qui me vient là de suite, c'est que j'ai fait ça il y a au moins 6 à 7 ans. :ouf:

petite precision : si vous voulez developper et vous servir de persos ne demandez même pas! allez y !

DaNang4
30/03/2005, 21h34
oh que oui j'ai passé un bon moment ! il y a vraiment des histoires surprenantes d'autres sont moins originales, mais le format court ne me dérange nullement

merci de les faire partager.

hellshock11
31/03/2005, 11h04
je ne compte pas en faire un metier ! c'etait juste pour mettre des idees sur papier qui me trottais dans la tête , apres que certaines histoires soient appreciées ce n'est que du bonus pour moi! donc encore ( je sais je me repete ) merci d'avoir lu :merci:

hellshock11
05/04/2005, 12h55
c'atait juste pour faire arriver le thread a 51 messages! :oups:

grogramane
12/04/2005, 00h57
un de plus pour 52:lol:

hellshock11
12/04/2005, 09h55
c'etait une petite dedicace pour toi vu que tu es de Marseille ( le pastis tout ça quoi ! lol ) mais merci pour le 52 alors !